bonjour à tous,
Je suis Eurydice, j'ai 28 ans, c'est la première visite sur ce site.
voici mon rêve cette nuit : Les images d'une prison; un homme est jeté à la rue, nu, sans papiers d'identité, il est affolé. je l'emmène chez moi mais ce n'est pas chez moi en vrai (je suis Maryline dans le rêve), la pièce, unique, est trés éclairée. l'homme est en danger (dans mon rêve, il s'appelle John), il se cache sous le lit, puis décide de partir. il dit : "il fait trop clair ici, on va me trouver".
Maryline (moi) le cherche dans toute la ville, elle le décrit aux passants et demande partout si on ne l'a pas vu. Quelqu'un me montre une impasse et dit : "il est entré là "
Elle (moi) entre à son tour dans l'impasse, angoissée avec le sentiment qu'il est perdu, incapable de fuir dans cette voie sans issue. Je (Maryline) découvre un album de photos.
Elle (moi) regarde avidement les photos qui montrent toutes des enfants. A ma droite surgit "mon" mari qui me dit sur un ton désinvolte : "tu ne risques pas de le trouver dans tes souvenirs"; puis il disparaît.
En continuant mes recherches, j'aboutis devant une sorte de grande salle de bal largement ouverte sur l'extérieur. Des couples dansent doucement. Je (c'est-à -dire Françoise)les dévisage, et à ce moment brusquement un rideau de bois (ou un mur) tombe avec violence, séparant les danseurs affolés.
Le bruit me réveille. Je ne connaitrais jamais la suite. merci de l'interpréter.
Eurydice
ps : si Cela peut auider : çà se passe à une autre époque, d'aprés la mode vestimentaire, dans les années 50, je dirai.
A la recherche d'un fugitif (Maryline et John)
Modérateur : ROSA ALBA
- Geshtinanna
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- Cyclopea
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- Localisation : Ouvre LE 'LIVRE' : il t'ouvrira !
Bonjour,
La prison, parle et évoque l'enfermement psychique,
La nudité, chez l'Homme <générique s'entend>, c'est l'humain dans sa vérité, sa naïveté, sa réalité,
Cet homme peut vous représenter en tant qu'espèce ‘humaine',
Chez vous, ça vous représente dans toutes vos dimensions physique & mentale,
Jolie Dame dans votre rêve chère « Maryline », Ne pas oublier que « Marie est son préfixe et line, signifie ‘chemin', et l'image majeure que l'on conserve d'elle, c'est là où elle est avec sa Robe Blanche du fameux "Sept ans de réflexion"
La pièce unique très éclairée, semble être un lieu d'interrogatoire ‘policier' ou de soins ‘psychiatrie',
John, c'est Jean (le Baptiste, ou l'Évangéliste) ?,
Le lit, c'est le lieu de la détente du corps, de la récupération, de la lecture de soi, par les songes,
Se réfugier dessous, c'est le prendre pour protection, sans vouloir qu'il livre ses secrets,
Sa fuite, correspond au renoncement d'apprendre ce qu'il va découvrir,
La ville, c'est la société, le monde, l'immensité des vies qui nous indiffèrent,
Rechercher Jean, c'est rechercher la pureté, et vouloir la protéger,
L'impasse, c'est le mur, ce qui est bouché qui ne peut déboucher sur rien,
L'angoisse dans le rêve, parle de la contrition de la vie, fameuse impasse, ainsi que vous le dîtes fort bien,
L'album photos (correspond à la compilation des souvenirs), ‘album' en homéopathie soigne des maladies chroniques <le consulter, c'est reprendre le film de sa vie depuis l'origine>,
Votre mari, l'est probablement dans la vie ici <sans cela ce peut être votre part masculine animus/mental fort>,
Une salle, c'est là où l'on peut s'exprimer, faire, découvrir « salle de travail pour accoucher »,
Le bal, c'est là où l'on danse, où les idées et les corps virevoltent, espèrent aussi, (expression du corps et du mental, volubilité),
L'ouverture sur l'extérieur exprime l'horizon, l'étendue, la respiration ample, l'avenir,
« Françoise = France/franchise/doloris » , ici vous retrouvez votre prénom réel,
Le rideau, symbole de ce qui sépare et doit être révélé, si tant est qu'on le souhaite véritablement et que l'on cherche à comprendre,
Le bois (symbolise la construction, la putréfaction (c'est-à -dire ce qui se dissout pour renaître différemment), on en fait également des « flutes » (ce qui peut enchanter),
La violence ici, évoque le réveil auquel vous songe vous convierait !
Il semble que ce soit une invite à vous interroger sur le but de votre vie, sur la spiritualité qui vous habitait dans votre enfance, votre « compagnon » semblant se jouer/ se moquer de vous par les choses qui vous habitent.
Il semble être une espèce de rappel à vos fondements d'autrefois pas forcément mauvais, loin s'en faut. Il faut souvent se perdre pour se retrouver ; c'est l'impasse qui permet le retour sur soi.
Voyez
La prison, parle et évoque l'enfermement psychique,
La nudité, chez l'Homme <générique s'entend>, c'est l'humain dans sa vérité, sa naïveté, sa réalité,
Cet homme peut vous représenter en tant qu'espèce ‘humaine',
Chez vous, ça vous représente dans toutes vos dimensions physique & mentale,
Jolie Dame dans votre rêve chère « Maryline », Ne pas oublier que « Marie est son préfixe et line, signifie ‘chemin', et l'image majeure que l'on conserve d'elle, c'est là où elle est avec sa Robe Blanche du fameux "Sept ans de réflexion"
La pièce unique très éclairée, semble être un lieu d'interrogatoire ‘policier' ou de soins ‘psychiatrie',
John, c'est Jean (le Baptiste, ou l'Évangéliste) ?,
Le lit, c'est le lieu de la détente du corps, de la récupération, de la lecture de soi, par les songes,
Se réfugier dessous, c'est le prendre pour protection, sans vouloir qu'il livre ses secrets,
Sa fuite, correspond au renoncement d'apprendre ce qu'il va découvrir,
La ville, c'est la société, le monde, l'immensité des vies qui nous indiffèrent,
Rechercher Jean, c'est rechercher la pureté, et vouloir la protéger,
L'impasse, c'est le mur, ce qui est bouché qui ne peut déboucher sur rien,
L'angoisse dans le rêve, parle de la contrition de la vie, fameuse impasse, ainsi que vous le dîtes fort bien,
L'album photos (correspond à la compilation des souvenirs), ‘album' en homéopathie soigne des maladies chroniques <le consulter, c'est reprendre le film de sa vie depuis l'origine>,
Votre mari, l'est probablement dans la vie ici <sans cela ce peut être votre part masculine animus/mental fort>,
Une salle, c'est là où l'on peut s'exprimer, faire, découvrir « salle de travail pour accoucher »,
Le bal, c'est là où l'on danse, où les idées et les corps virevoltent, espèrent aussi, (expression du corps et du mental, volubilité),
L'ouverture sur l'extérieur exprime l'horizon, l'étendue, la respiration ample, l'avenir,
« Françoise = France/franchise/doloris » , ici vous retrouvez votre prénom réel,
Le rideau, symbole de ce qui sépare et doit être révélé, si tant est qu'on le souhaite véritablement et que l'on cherche à comprendre,
Le bois (symbolise la construction, la putréfaction (c'est-à -dire ce qui se dissout pour renaître différemment), on en fait également des « flutes » (ce qui peut enchanter),
La violence ici, évoque le réveil auquel vous songe vous convierait !
Il semble que ce soit une invite à vous interroger sur le but de votre vie, sur la spiritualité qui vous habitait dans votre enfance, votre « compagnon » semblant se jouer/ se moquer de vous par les choses qui vous habitent.
Il semble être une espèce de rappel à vos fondements d'autrefois pas forcément mauvais, loin s'en faut. Il faut souvent se perdre pour se retrouver ; c'est l'impasse qui permet le retour sur soi.
Voyez
Dernière modification par Cyclopea le 24 nov. 2010, 14:27, modifié 1 fois.
merci pour l'interprétation de mon rêve qui correspond bien à ma vie réelle.
je m'appelle vraiment françoise et mon mari ne s'appelle pas jean (jean c'est mon père) mais il se moque de mes croyances comme vous m'avez dit :
(Il semble que ce soit une invite à vous interroger sur le but de votre vie, sur la spiritualité qui vous habitait dans votre enfance, votre « compagnon » semblant se jouer/ se moquer de vous par les choses qui vous habitent. )
(Il semble être une espèce de rappel à vos fondements d'autrefois pas forcément mauvais, loin s'en faut. Il faut souvent se perdre pour se retrouver ; c'est l'impasse qui permet le retour sur soi. )
je m'appelle vraiment françoise et mon mari ne s'appelle pas jean (jean c'est mon père) mais il se moque de mes croyances comme vous m'avez dit :
(Il semble que ce soit une invite à vous interroger sur le but de votre vie, sur la spiritualité qui vous habitait dans votre enfance, votre « compagnon » semblant se jouer/ se moquer de vous par les choses qui vous habitent. )
(Il semble être une espèce de rappel à vos fondements d'autrefois pas forcément mauvais, loin s'en faut. Il faut souvent se perdre pour se retrouver ; c'est l'impasse qui permet le retour sur soi. )