Cauchemar inquiétant

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Nocturne
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Cauchemar inquiétant

Message par Nocturne »

J'ai fais un cauchemar récemment qui m'as fait très peur. Et me fait encore peur maintenant. D'habitude je m'en remet assez facilement, mais pour l'instant j'ai encore des frissons qui me parcours le dos quand j'y repense. J'éprouve même des craintes à  dormir ce soir.


Je suis dans un bus, la seule personne qu'il me semble connaître et la chauffeur de bus qui me conduit chaque jours jusque mon école.
Il y a également quelque étudiants dans le bus. Nous roulons de nuit, elle nous ramène à  la maison , donc sur le chemin du retour de l'école.
Il fait très sombre, nous arrivons vers l'entrée de mon village. Quelqu'un clame qu'il y a quelque chose d'étrange. Nous nous précipitons tous vers les fenêtres.

Effectivement, il y a des gens assis, sur le bord de la route au milieu de nul part avec des vêtements très sales. Ils me font très peur... Je me rend compte qu'il s'agit peut être de personne alcoolisé ou drogués. Quelque mètres plus loin, nous voyons des draps blancs tâché de sang au sol. Des gens blessé, certains ont d'énorme trous dans le corps.

Je ne saurais décrire le sentiment d'horreur qui à  parcourus mon corps. Même quand je me suis réveillé c'était encore très intense.
Nous ne comprenons toujours pas ce qu'il se passe. Ma chauffeuse décide de faire demis tours. Pour aidé peut être des blessés. Beaucoup d'élève commence à  protesté , et a hurlé. D'autant plus...

Que nous voyons une très vielle femme, traversé la route à  toute allure, avec une robe de chambre, dont la longue traîne et tâché de sang. Elle nous regarde , un sourire très très très (très) effrayant se dessine sur son visage tandis qu'elle traverse la route en poursuivant l'une de ses victimes.
Elle semble irréelle. être un horrible monstre. Elle est cannibale , même à  l'heure qu'il est je ne peux m'empêché de pensé qu'elle est là  dans mon dos. BRRRRRRRRR Je me suis vraiment sentit menacé à  ce moment là . Même si cette menace ne m'était pas adressé personnellement, elle l'était à  toute les personnes présentes dans ce bus.

Les gens hurlent à  la conductrice d'accélérer. Ils veulent s'enfuir. Trop tard. La vielle femme cannibale est munis d'un pistolet et nous tire dans les roues. Elle ne les crèvent pas. Par contre le bus va rouler il me semble, sur du verre , ou quelque chose comme ça. Le bus se renverse sur le bord de la route.

Nous nous regroupons tous dehors à  côté du bus. Nous discutons. Je veux me caché dans les soutes à  bagages. Mais les méchants ( car la femme ne semble pas être la seule folle dehors ) Nous trouverons tout de suite. Pas idiots comme remarque. Incapable de nous décidés, entre les cris des personnes complètement folle aux alentours, des victimes qui sortent de nul part, et de mes camarades effrayés. Tous nous nous bousculons. Je cours, afin de me mettre à  l'écart et à  l'abris, je monte sur le toit d'une maison. Puis sur un second toit. Je regarde a scène de loin, le bus doit être à  200 ou 300 mètre de moi.

Soudain, quelqu'un m'interpelle , une vielle femme me regarde d'en bas. Elle est plutôt bien habillé, bien coiffé, elle porte des lunettes ronde. Je crois que je lui demande si elle veux de l'aide.
Tout en me demandant ce qu'elle peux foutre à  cette heure là  dehors, habillé d'une façon aussi chic.
Elle me dit "Tu ne me reconnaît donc pas?"
Elle sourit.
Ce sourire effrayant... Je la reconnaît immédiatement, c'est la cannibale.

J'ai très peur. J'ai envie de fuir. De pleuré.

Elle me menace. "Je vais te tué, tu le sais? Tu va crevée" et d'autres choses dont je ne me rappelle pas. Les menaces cependant redouble, sont très perverses et effrayante. Mon sang et complètement glacée. Je suis tétanisée. Mon coeur va sortir de ma poitrine.

Puis soudain... Je ne tremble plus. J'ai toujours peur, mais mon corps ne tremble plus, mon coeur ne bat plus la chamade , je me déplace lentement, surement , calmement. Je sens que mon visage prend une expression totalement décontracté. Je marche comme je marcherais d'une pièce à  l'autre un dimanche cocooning à  la maison.
J'ai beau avoir très peur. J'ai le sentiment que mon corps ne transpire en rien, ce que je ressens.
Je saute du toit. Mes pieds touche le sol. Je me dirige vers elle.

Elle s'étonne de ce comportement. Elle le commente. Mais je ne me rappelle plus. Je me dirige vers elle, je la saisis par le cou. Je la plaque au sol, derrière le bâtiment, que ces copains fous ne puissent pas venir l'aidé, et que personne ne puissent me voir. Même si je sais que je suis en état de légitime défense.

Je l'étrange alors d'une façon très simple. Elle se moque de moi. Elle me dit : Ha ha ha ! Toi, tu penses être capable de tué quelqu'un? tu es trop fragile.
Elle rajoute , malgré les difficultés à  parler quelque moqueries. : Tu ne ferais pas de mal à  une mouche, petite minable. Faible que tu es.
: Je te connais trop bien, tu es incapable de faire ce que tu essaies de me faire croire que tu va faire.

Elle se tue, dans sa moquerie, elle semble remarqué quelque chose en moi. Dans mes yeux, il n'y a plus aucune lueur.
Je me dis alors , qu'elle à  enfin compris qu'aujourd'hui, elle mourrait et que quoi qu'il arrive, je ne lui laisserais pas l'occasion de me tué.

Je n'ai pas lâché son cou. Malgré quelque supplice. Même quand elle semblait morte je ne l'ai pas lâché, tant j'avais peur qu'elle reprenne vie, tant j'avais peur de n'avoir pas serré assez fort, et qu'elle me dupe. J'avais peur de m'arrêté, et de contrôlé son pou cardiaque, et qu'elle m'attaque à  ce moment là .

Son corps à  diminuer de taille, jusqu'à  devenir la taille d'un playmobile enfant. Je continuais alors à  serré encore son cou entre deux pulpes de doigts. Je ne comprenais pas pourquoi cela se produisait. Si elle était réellement vivante au final, ce qu'elle était, si elle allait revenir. Si je l'avais vraiment tué...

J'allais pouvoir faire disparaître son corps facilement, en tout cas c'est ce que je me disais. Je voulais la brûlé dans la cheminé. Je me suis dis qu'après, je pourrais jeté ses cendres à  la mer. Puis tout compte fait, je me suis dit, pauvre mer, elle ne mérite pas ça.
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