merci
Alors dans la première partie de mon rêve, j'étais à côté de ma voiture et je rejoignais Léa et des personnes que je ne pense pas connaitre. Quand j'arrive vers les filles, j'aperçois Emma et dans la rue il y a une foule de personnes, tout est très dense et désagréable. Je veux m'adresser à Léa mais elle s'énerve rapidement et je sens qu'elle me méprise, sincèrement et presque violemment. Alors je me sens trahie et si seule que je décide de m'enfuir. Je ressens une tristesse immense que je traduis par de la violence, alors j'attrape Emma par le visage et celle-ci rigole. Elle rigole tant et tant avec Léa que je me mets à courir, je pousse tous les gens sur mon passage et je veux juste m'échouer dans un endroit où la vie n'existe pas. Finalement j'entre dans la deuxième partie de mon rêve, plus étrange et moins réaliste. Je suis dans ma voiture et je roule vite, très vite, je dois partir et je ne sais pas pourquoi. Jules (un autre ami) est à côté de moi, et rapidement on se retrouve sur un ponton en bois au dessus de l'eau, un ponton très étroit sans place pour un demi tour. Je ne peux qu'avancer, et je vois que l'eau est au bord, je suis si proche de la chute dans l'eau avec ma voiture, je panique et je m'inquiète. Comme par magie, en appuyant sur un des boutons de mon Opel, cette dernère commence à se replier sur elle même jusqu'à devenir un tout petit bloc blanc, comme le mécanisme d'une poussette que l'on plie et que l'on déplie en fait. Mais la panique ne s'efface pas pour autant et j'aperçois à cet instant un groupe de personne, tout est très réaliste (semble l'être). Ce sont des gens bienveillants et chaleureux, sympathiques. Ils me parlent et nous invitent avec eux. En les suivant, on tourne le dos à ce ponton qu'orne un ciel magnifique, un coucher de soleil intense et coloré. Je regrette à cet instant d'avoir eu tant de panique en moi au point de vouloir m'en aller le plus vite possible. Puis arrivés en endroit plus sur, je rappuie sur le bouton de ce petit bloc et ma voiture se remonte seule, morceau par morceau sous mes yeux ébahis. La troisième partie de mon rêve est la plus perturbante. Je me sens si fatiguée (je l'étais en réalité), mais je suis chez Lucas (mon copain) (bien que le lieu de mon rêve ne soit pas comme dans la réalité) et je suis allongée. Dehors, sous de grands arbres aux branches très allongées et tendues vers le ciel. Ce ciel qui peu à peu se transforme pour laisser apparaitre (à très peu de distance), la lune et le soleil. Les deux astres gravitant l'un vers l'autre afin de former une éclipse. Le ciel se scinde en deux et les couleurs sont divines, l'éclipse se forme et je veux l'observer, j'insiste avec mes yeux mais ça me brûle réellement. Ca me brule tant que j'attrape un tissu pour observer en transparence le phénomène. Et le spectacle est époustouflant, dingue. L'atmosphère est délicieuse et douce, chaude comme dans le giron maternelle et rafraichissante en même temps. Puis je rentre car je souhaite dormir, me reposer enfin et quand je m'allonge sur le matelas, je réalise qu'il est spécial et empli d'eau, il est si agréable que je me laisse bercer et je rigole sincèrement avec Lucas à mes côtés, tout aussi ravi.