Bonjour !

Comment allez vous ?

Personnellement, après ce rêve, je ne saurais pas quoi répondre.

J'ai rêvé que j'étais avec mon frère, très cool, très tranquille, limite flegmatique. Moi, je suis assez curieuse et plutôt réactive. Je me retrouve dans un hangar, très grand, avec plusieurs porte de garage métallique autour (4 sur ma gauche et deux en face de moi), toutes fermées. Je sais qu'il faut sortir de là , assez rapidement. Une porte de garage se lève dans l'angle à  gauche, sachant que la 2e porte est perpendiculaire à  la 4e, et celle-ci qui se lève. Je tourne sur moi-même une fois et sors d'un coup de ce lieu, sa tourne une impression de tornade. Mon frère me suis tranquillement, sa frôle la rêverie. Il regarde le ciel, me donne l'impression de profiter du paysage.

Je me retrouve avec mon frère dans un véhicule, je suis à  côté du conducteur, mon frère derrière mon siège. Le conducteur est un vieil homme, pour ceux qui connaissent il à  un air de ressemblance avec Jacques Grimault. Il conduit tranquillement, on est sur l'autoroute. Mon frère dit : c'est génial, qu'il nous conduise, il vit à  côté de mon université "Tout sur le Savoir" n°2 bâtiment. (Je percevais le chemin dans mon esprit pour aller à  son école, il y avait une montée longue et peu pentue, et un léger virage, l'ensemble était gris-blanc.) L'homme passe un appel et dit : Oui, je l'ai, je t'apporte la chatte à  14h. Alors là ,je me met dans un état d'alerte maximal. Je commence à  attaquer l'homme, je le griffe, le frappe, le cogne, le menace. Il est à  peine toucher par mes coup de griffes avec mes ongles, je vois à  peine les traces rouges de mes ongles sur sa joue et son cou. Il retire son pull en coton de couleur sombre. Je l'attrape et le menace de le jeter s'il touche à  la chatte. L'homme ne réagit même pas. Je suis exaspérée. Je me retourne et vois mon frère endormi paisiblement. Je balance le pull violemment dans son ventre pour le réveiller. Il se réveille péniblement, et me dit: quoi ? Qu'est ce qu'il y a ?
Je lui explique qu'il essaye d'enlever la chatte, qui dors sur la tableau de bord. Il me fait : Ah. En haussant presque les épaules.

Je me retrouve dans la maison, (dans la réalité c'est l'ancienne maison de ma grand-mère), Mon compagnon est là , aussi flegmatique que mon frère que je ne vois plus. Comme si l'un avait remplaçait l'autre. Il prend la chatte, l'enferme dans une pièce en sécurité. Je sais que la clé de la porte est dans la poche avant gauche de son pantalon. Je sais aussi que l'autre le sais, et me dit : c'est pas possible, il veut vraiment qu'il lui arrive des noises, celui-là . L'homme regarde Flavio avec un air qui ne me plaît pas. J'agis, le brutalise, l'assomme et l'enferme dans une pièce sans fenêtre. C'était une sorte de buanderie. Je le lie a une chaise, que je fais basculer sur les pied arrières, en appuie sur un rebord de l'évier. Je ferme à  clef, un seul tour.

Mon frère me dit: et là , on fais quoi ? je répond : ben là , je vais appeler la police et ils viendront le chercher. Je ne veux pas qu'il nuit à  ma chatte. Maintenant, que je l'a savait en sécurité, je regarde l'heure sur une horloge à  aiguille, et lis : 17h20.

Je me réveille, le cœur palpitant. En me souvenant, de l'heure, je me suis aperçue que je l'ai mal lu, la petite aiguille avait dépassé le six largement, donc il était plus 19h20 que 17h20.