Lors de la visite d' une grande demeure où différentes personnes inconnues pratiquent diverses activités créatives, je me retrouve dans une salle avec un jeune homme qui me parle de ses problèmes à  pratiquer la photographie culinaire. Je lui réponds que j' aime bien faire la cuisine mais que je n' ai aucune connaissance en photographie. Qu' il devrait s' adresser à  mon ex (qui est présent à  la même table, en face de nous) vu que non seulement il est photographe professionnel, mais également dans l' art culinaire...
Ils entament une conversation sur ces deux thèmes; je suis à  l' écoute. Je bois du vin.
Plus tard je suis dans la même pièce, seule, couchée par terre entre les pattes d' un grand chien debout. Je vois que je me suis endormie. Une jeune femme arrive, constate aussi que j' ai pas mal bu (elle tient deux bouteilles vides à  la main) et me propose de m' accompagner. Je la suis.
Nous traversons plusieurs pièces. Dans une grande pièce, style chambre d' internat avec plusieurs lits alignés, mon ex est là , seul, déjà  couché et recouvert de draps blancs. Il récite des mantras tout en faisant des gestes de ses doigts. Il semble ne pas remarquer notre présence.
Je suis contente à  l' idée de dormir dans la même pièce. mais la jeune femme me dit que ce n' est pas possible, je dois continuer.
Elle m' accompagne jusqu' aux limites de cette demeure. Un jeune homme arrive. Il me demande de le suivre. Il fait nuit. Nous entamons l' ascension d' une colline. Nous devons traverser une rivière. Je m' arrête pour contempler l' endroit où nous nous trouvons. L' eau coule limpide. Je vois de très beaux poissons. J' en aperçois quelques uns qui coulent. J' en vois de plus en plus en train de mourir. Je le fais remarquer à  mon guide. Il me répond que nous devons continuer. Nous arrivons enfin. J' entends de la musique, des rires. Il semble y avoir une fête. Nous marchons jusqu' à  la dernière demeure qui se trouve en haut de la colline. Nous montons des marches. C' est un lieu ancien, des femmes âgées nous accueillent. L' homme demande Mme Sophie. Elle arrive. Une femme âgée joviale. On semble préparer une fête. Je me rends compte que je n' ai rien pris avec moi. Pas de sac, pas d' habits pour me changer, même pas les quelques pièces pour me payer un café en rentrant demain matin! Les femmes me disent que je n' ai besoin de rien. Tout est là . L' homme s' en va. Je me sens bien d' être parmi elles. Je commence à  me faire à  ce nouvel endroit, entourée de ces dames âgées mais très vives, très gaies.
Je suis assise à  la fenêtre d' où je vois le chemin que j' ai emprunté avec cet homme pour arriver là  où je suis. Il fait nuit. Je crois apercevoir une silhouette. C' est mon ex, de noir vêtu. Il semble chercher quelque chose. Il a une arme à  la main. Il avance vers la demeure, puis il retourne sur ses pas. En s' éloignant, je vois que son pantalon est déchiré et qu' il a une blessure à  la cuisse droite. Il la touche plusieurs fois. Je cours le rejoindre. Je l' appelle. Il ne répond pas. Il se dirige vers un hangar. Il en sort debout sur le capot d' un véhicule tout-terrain. Il fait des gestes, comme ceux du cata. Les phares éclairent les lieux. De la pénombre surgissent de grands fauves. Je comprends qu' il veut les tuer. Je me tourne vers la maison. Les dames âgées sont sorties. Derrière chacune se tient un fauve au moins trois fois plus grand. Tout le monde est calme. Je suis la seule affolée. Je lui crie qu' il ne faut pas tuer ces animaux, qu' il faut leur parler. Ils ne feront de mal à  personne. Qu' en leur parlant tout s' arrangerait.
Fin de rêve.