Bonjour,

Je ne fait plus de cauchemars ces derniers jours mais mon copain a prit le relai. Chaque nuit il en fait un nouveau, toujours très violent. L'autre nuit il m'a réveillé pour me raconter son cauchemar, il en avait besoin...

> Je suis dans un appartement inconnu et je vois un homme et une femme assis autour d'une table du salon. Ils ne sont pas contents, ils font un peu la tête, en tout cas c'est mon impression. Je tue les deux avec un couteau et je vois mes 3 enfants qui sont derrière et qui ont tout vu.
> Ils courent et sortent de l'appartement. Je les poursuit et je les tue un par un avec un pistolet. > Nous sommes dans les couloirs de l'immeuble de ma grand-mère à  Paris.
> J'essaye d'abréger au maximum leur souffrance en tirant 3 fois dans le cœur. D'abord l'ainé (je suis moi même l'ainé), puis le cadet puis le dernier (qui est mon fils).
> Je suis triste.
> Ensuite je monte au dernier étage de l'immeuble avec les corps, bizarrement ils sont en petits morceaux, dans des sacs et je les balance par un escalier qui se trouve dans l'appartement, cet escalier rejoint les couloirs de l'immeuble (c'est bizarre).
> L'homme qui habite l'appartement est là , mais il ne m'a pas vu faire. Il n'est pas étonné que je sois là .
> Pendant que je suis en train de nettoyer l'escalier il y a Colombo qui arrive et je sais qu'il va m'arrêter, mais pas tout de suite. Je suis trop grillé, il y a du sang encore partout...
> Je rentre chez nous et ma femme arrive. Elle est un peu inquiète que les enfants ne soient pas là  mais >je mens en disant que les enfants sont chez ses parents. On passe la journée normalement et la dernière chose que l'on fait c'est de prendre une douche ensemble. > Et là  je sais que c'est la fin.
> Je sors de l'appartement (qui est celui de mes parents> donc celui de mon enfance) et je me retrouve sur un grand parking où une voiture de flics m'attend. Et ils m'amènent en prison.
> Je suis vraiment très très triste...

Quand il s'est réveillé effectivement il était triste et bouleversé. Non pas d'avoir tué nos enfants mais dit-il de m'avoir perdu à  jamais.