Bonjour,
En réalité,
Je ne veux copier personne et tiens absolument à  innover: je suis seule et je sens intimement chez les autres artistes, ce qui me parait singé et ce qui me parait authentique. Je veux être authentique sinon rien.
Peut être avais-je du mal à  commencer à  créer pour moi même à  cause des jugements destructeurs que je ne me sentais pas prête à  affronter, à  cause du vide aussi. Je ne pensais pas avoir la force de me révéler à  moi même, seule: je pensais avoir besoin d'un mentor. Mais hier, j'ai eu comme un choc. Je ne vois aucun autre moyen que celui d'aller de l'avant, avec ou sans mentor.

Pour ce qui est du "couple" ce n'était qu'une image: moi seule avec ma lame que je prends comme le prolongement de moi même: Dans mes propos, il s'agissait bien de mon instrument, pas d'une personne.

Merci pour cette dernière précision.
N'acceptez jamais que l'on vous dise qu'une LAME serait la représentation du sexe. (Freud en a raconté de bien belles sotisses, il était scorpion et de fait avait fort peu d'empathie avec ses patients. Ils n'appliquait sa science qu'à  travers son seul prisme). CG Jung est bien plus intéressant concernant l'onirique, mais le grand des grands, grâce à  ses savoirs kabbalistiques J. LACAN a pu soigner, les uns et les autres qu'en s'introduisant à  l'intérieur d'eux-mêmes. L'empathie et les "ARCANES" d'autrui lui permettait de suivre le labyrinbhe de l'autre.
La LAME référence, avant tout au 'sacré', c'est par elle que les circoncisions se font. Lame pour bon nombre d'entre nous représente le travail de l'âme qui s'intospecte, se triture afin d'accoucher de soi.
Alors jeune amie, courez, courez vite, bougez-vous et ne vous plaignez plus jamais des choix qui vous habitent !

je viens m'ajouter à  votre "longue" conversation. et je lis un peu intriguée que le grand des grands est j.lacan. pourquoi ?

qu'a t-il apporter de plus par rapport aux autres ?

Abientot

Bon Jour ....reve1111 ;

La différence d'interprétation, entre FREUD qui ne cessait de mastiquer son cigare, comme il disait entre 'intimes' être son sexe (pas faut, lorsqu'on regarde ou compare sociologiquement le cigare, la voiture à  la PUISSANCE masculine (vêtement, masque extérieurs).
Apparemment c'est pour certains difficile de se passer de triturer leur sexe 'symbolique' qu'ils têtent ouvertement à  l'envi, aussi faute d'accepter cela ils rongent leurs ongles, on s'en font poser de nouveaux, qui + est les plus voyants possibles.
CG. YUNG (élève de FREUD ) a su s'étonner et remettre en cause l'explication par la chair, le jouissant, duditb maître, l'impuissant, par ce que l'âme (toute, unique et singulière pouvait se reprendre et s'approcher, se comprendre hors le sexe). Les religieux, même si certains malades frustrés sont encore à  condamner, pensez-vous que toutes les religieuses au lieu de prier "forniquent onanissement" (ça ferrait du bien de penser cela chez tous les malades)? - Il y aurait de quoi rire aux éclats.
M. FREUD n'aurait-il pas fui, purement et simplement ce qu'il redoudait le plus ? Lui qui aimait à  explorer les âmes à  l'aune de son SEUL prisme qu'il prétendait UBNIVERSEL < sexuel> aurait-il saisi que rien, à  tout le moins pas TOUT ne passait que par le SEXE ?
M. Jaques LACAN (hermétiste, par ses précisions qui aimait faire tanguer le mur des fameux 'sachants affichés' avait une maîtrise évidente/patente de la KABBALE (Juive - son frère était MOINE - connaissant parfaitement les écritures ésotériques ), la chrétienne n'en étant que son dérivé voire son succédané. (Ersatz) <Tiens amusant ce dernier mot aurait pu être repris par LUI <Sucès et damné>
*** Nous nous exprimons, nous aboyons souvent pour 'beaucoup', sans même entendre ce que nous disons. Sachez et rappelez-vous que les rêves n'ont pas d'orthographe ni de langue et que :
Mère veut dire aussi Mer < lien avec la vie et les émotions> tandis que cela signifie également "Maire" de commune ou d'assemblée = société, et puis :
° La mère, peut évoquer l'amère (ce qui nous occupe, voire nous ronge).
C'est cela LACAN. Pas de frontière entre le mot, le son que nous émettons et le cri ou verbe primaire, livré sans maîtrise signifiante et non pas l'ombre 'intérieure anima/animus que nous serions .
Dans ce que livre J.C. aucune référence sexuelle, voire déïque <car la kabaala n'est pas forcément religieuse, même si elle sous-tend des principes dont nous manquons sèrieusement " famille éclatée, dispercée, enfants de maints lits différents, d'où naissent n'importe quel terreau réflexes sans références ' AUCUNE' Comment faire tenir debout cette pousse molle sans objectif et ne regardant que son sexe avec l'equel joue le petit pour découvrir son corps. Devrions-nous en rester là  ?
Le bien et le mal, expriment la bipolarité, or le monde est une palette bien plus subtile *Ceux qui ne s'expriment que de cette façon disent leur âme primaire - Ils expriment " jambes dans force exemptes du cerveau (avec deux lobes ) qui le feront avancer.