Alors voilà , 2 ans que je fais des reves, plutôt des cauchemars, dont le thème récurrent estles zombies... Les scénarios diffèrent, la violence des scènes aussi. Je peux rêver de choses très gores, comme de simples poursuites avec un sentiment d'être coincée à  un certain moment. Ces rêves ont commencé après une rupture compliquée. Mon ex était soit dit en passant, dingue des films de zombies. Les rêves se sont arrêtés pendant deux mois, j'ai rencontré quelqu'un le premier avec qui je me suis mis en deux ans. Mais on a du se separé il y a deux semaines. Et ça a recommencé... J'explique tout ça parce que je me suis dit que mes cauchemars avaient un lien avec mon célibat. Je me trompe peut être parce que après tout le rapport entre le célibat et les zombies n'est pas très clair ^^. Merci d'avance pour votre aide.

Je me dis qu'en racontant mes rêves, ça serait sûrement plus facile d'en faire une interprétation. Je vais en raconter trois.

Le première, j'ai du le faire il y a six mois : c'était dans un village, pendant une fete invasion de zombies. Mais pendant la journée, les zombies redeviennent normaux. Alors en farfouillant les decombres pour trouver à  boire et à  manger quand on croise quelqu'un on se méfie on essaie de se rappeler si pendant la nuit on l'a vu sous forme de zombies ou d'être humain et on hésité donc à  les tuer tant qu'ils sont encore humains de peur de s'être trompé. Le soir tombe, je me retrouve dans une vieille baraque en bois. Rêves partie de zombies, avec en prime hard rock à  fond les ballons. Je prends peur et je rentre dans une pièce qui est en fait une salle de bain. Et là  dans la baignoire, il y a un zombie recouvert d'organe et en train d'en bouffer à  pleine dent. C'est là  oຠle rece s'arrête dans mes souvenirs.

Le deuxième, c'est le premier que j'ai refait depuis ma rupture il y a deux semaines. Alors dans ce rêve je suis avec mon père. On est dans un grand hangar. Puis en sortant on voit que de lautre côté du hamgar des centaines de zombies arrivent un peu dans tous les sens. Alors on monte vite dans la voiture, je crois que c'était une jeep noire. Et on part. Le hangar se trouvait dans les mmontagnes il y avait roches et sapins un peu partout. Du coup, on descend on arrive dans un village et la grosse panique. Il y a des geme partout. On doit descendre de la voiture pour pouvoir avancer. On arrive à  hauteur de militaires, et là  cris, mouvement de foule, les zombies sont arrivés. En fait on se trouvait, juste devant là  caserne, donc les militaires nous font entres enfin certains. Des que je rentre, j'entends lespremiers coups de feu à  l'extérieur. Et les zombies arrivent à  entrer dans la caserne. Donc remouvement de foule, je perds mon père de vu, je commence à  vraiment avoir peur.Je trouve un escalier en fer, alors je monte avec d'autres, mais je suis la plus lente, je peux voir les zombies qui nous suivent. Arrivée, les zombies sont juste derrière moi, et es hommes loin devant. Une porte, je rentre je referme le verrous derrière moi c'est une petite pièce avec des éviers et des plaquarts. Une autre porte s'ouvre sur un long couloir, par là  ou sont partis les autres. Mais les zombies vont bientot entrer dans la pièce alors je decide plutôt que dentrer dans le couloir de me cacher dans un plaquart sous un évier. Et j'attends. Le rêve s'arrête au moment oຠla peur est à  son apogée, que les zombies sont dans la pièce et qu'ils sont jjuste à  côté de moi et que je sais pas sil peuvent me sentir ou pas...

Le troisième, je l'ai fait cette nuit, cette fois j'étais avec ma mère et son compagnon dans un resto. Plutôt sombre, entre la cafette et le resto à  la plancha. Le chef était un grand black baraqué. Et là  sur m'a gauche je vois des gens à  une table ronde qui arrête pas de se retourner. Ils ont des cernes sous les yeux. Et malgré ce seul signe je comprends que c'est des zombies. Une fille d'une dizaine d'années blonde de cette table, vient nous voir et nous explique, qu'ils sont pas comme les aautres, qu'ils veulent être accepté par les humains et qu'ils ne les mangent pas. Évidemment, je sais plus pourquoi, ça part en cacahuète ! Certains se font mordre alors juste avant qu'ils deviennent zombies on les achève, je fais plus ou moins équipe avec le chef. Et après avoir repoussé des zombies je me tourne vers lui et là  je vois quil a était mordu à  l'aine. Il lutte contre le poison tout en sebattant contre les zombies. Je me fais mordre un tout petit peu sur le dos de la main. Et là , je vois qu'il y a plus d'espoir. Je decide de sortir. En fait, je suis dans une fac, il y a de grandes barrières blanches et le portail est ferme. Dans la cours, les gens et les zombies se mêlent ils sont assez éparpillés. C'est très dur de reconnaître les zombies. Et là  aussi, au moment oຠj'ai le plus peur parce que je suis entourée de personne et je sais pas si je dois m'en méfier ou pas, je commence à  péter un durite et là  je me reveille.

Voilà , voilà  j'espère que c'est plus clair comme ca. En tout, cas j'ai de bon scenars pour faire des films de zombies !! ^^

Les rêves de zombies sont assez rares (heureusement).

La notion de mort-vivant est liée à  l'absence de personnalité. En psychanalyse, cela signifie donc que nous sommes en présence d'un concept de dépersonnalisation.

Les individus représentés sous formes de morts-vivants sont donc des êtres qui souffrent de dépersonnalisation. Cette méconnaissance d'eux-mêmes et de leur désir - donc absence de vie - leur confère une propension à  se référer aux autres de façon parfois compulsive.

Cela va de l'imitation au parasitage (individu dépendant). Cela peut aller même jusqu'au vampirisme. N'ayant plus accès à  eux-mêmes, ils pompent l'énergie des autres sans conscience. C'est ce qui différencie le zombie du vampire. Ce dernier est dans la conscience de la recherche jouissive de l'absorption de l'autre. Le zombie n'a pas de volonté.

Si un rêve représente le rêveur entouré de zombies, c'est son entourage proche qui peut être symbolisé. Le rêveur est en danger. Il pourrait lui-même perdre la notion de son être et de son désir puisque le fonctionnement du mort-vivant est contagieux.


La perte d'identité des parents peut les amener à  suivre n'importe quelle pensée despotique qui se superposerait à  la leur. Ainsi, ils peuvent entraîner leurs enfant dans le même courant morbide.