je viens surtout à  votre rencontre pour vous raconter mon rêve de cette nuit : il se trouve qu'il s'est articulé en deux parties, parce que je me suis à  moitié réveillée entre les deux (je ne sais pas, mais je crois que chaque détail est important). Dans le première partie de mon rêve, je me vois assise dans une salle de classe assez grande avec beaucoup d'étudiants autour : je suis concentrée sur mes copies, car il semble que je sois entrain de passer un examen important (je pense que ça a lieu durant mes études supérieures). Apparemment, j'en suis à  la fin de l'épreuve, car je me vois me lever avec mes copies et lorsque je regarde tout autour de moi, il y en aussi quelques uns qui se sont levés comme moi et d'autres se rapprochent vers d'autres tables et discutent entre eux. Donc, je laisse toutes mes affaires sur place (une veste en jean et un portable, je crois que j'ai aussi un sac à  mains, mais je n'en suis plus très sûre) et je ne prends avec moi que mes copies. Pour accèder à  la table du professeur, je dois circuler entre les rangs de tables et je dois patienter un peu, parce que c'est un peu la queue devant moi. Il est vrai que j'ai le temps de m'apercevoir, pendant ce laps de temps, que la pièce est assez lumineuse et les élèves sont habillés avec des pantalons en velour marron, des hauts rouges (je dis ça, parce que je vois les couleurs floues, mais par déduction, c'est forcément ça ou je n'en suis pas loin). Mais quand je reviens à  ma table, mes affaires n'y sont plus et je commence à  me mettre en colère : j'ai beau regarder partout, mes affaires ne sont plus là  !!!! Du coup, je sors de l'établissement comme une furie et je me retrouve dans l'ancien quartier commerçant où travaillaient avant les parents de mes amis d'enfance. Je vois une sorte de monoprix devant moi et sur la place, il y a pleins de jeunes avec leur moto ou leur scooter et juste à  côté d'eux, une cabine téléphonique publique. Je me réveille quelques secondes avec ce sentiment de colère et d'indignation toujours bien présent en moi et lorsque je me rendors, je me retrouve à  rentrer dans cette cabine pour téléphoner justement à  cette bonne amie qui a vécu toute son enfance dans ce quartier (ça se passe à  Garches dans les Hauts de Seine) : ce qui est étonnant, c'est que les jeunes sont toujours au même endroit avec leur moto ou leur scooter, car je les regarde pendant que je téléphone à  mes amies, mais cette fois-ci, j'avais un sac que j'avais posé pas très loin de moi (je serai incapable de dire cependant si je l'avais près de moi dans la cabine ou si je l'ai posé sur le banc publique qui avoisine la cabine). Toujours est-il que je suis tellement absorbée par ma colère et mon récit au téléphone, que je ne fais encore pas attention à  mes affaires. Du coup, lorsque j'ai fini ma conversation, on m'a encore volé mes biens et je suis alors deux fois plus en colère. Je me suis réveillée avec une colère intériorisée, biensûr, mais bien présente à  mon esprit !!!

bonjour,

Je dirais que dans ta vie tu t'es retrouvé un peu entre 2 mondes!
Ton quartier, avec les branleurs du coin..
toi, un peu plus sérieuse peut etre.. et qui a entrepri des etudes, mé bon c'été pas ton monde non plus les velours marron..
Qu'elle que soit le milieu où tu te trouves, tu as l'impression que tu te fais avoir..
Un conseil, les choses matériels sont des chose futils..
Alors ne te mets pas en colère, ca n'en vaut pas la peine!
Amicalment
Nio.