Il s'agit de la première fois que je poste un rêve. J'en fais souvent dont je me rappelle et qui me semblent être plus que réels.
Début septembre.
Voici mon rêve.
Il y a quelques jours, je me promenais en Allemagne. Il y avait une douce brume dans une forêt, elle semblait s'épaissir à perte de vue. Je sentais l'odeur des mousses humides et je voyais les feuilles colorés de feu tombé sur le sol. Juste avant de me retrouver dans cette forêt automnale, j'étais dans une zone industrielle, je suis rentrée dans un bâtiment dans lequel je n'avais rien à faire. Un homme m'avait demandé d'espionner dan un bureau spécifique et finalement c'est ce que j'ai fait. Au début, je ne me suis pas concentrée sur ce que je portais, mais c'est venu après. Je me souviens avoir récupérer des documents confidentiels et je me suis mise à courir super rapidement en direction de ladite forêt. Tout en m'avançant dans cette faune à perte de vue, je remarque ce qui semble être des camarades militaires qui courent aussi. On est six. On est tous habillés avec des uniformes d'infanteries, sauf moi. Je me regarde et je porte un uniforme SS que je troque pour des vêtements polonais. On a faim, on est éprouvé. On trouve non loin une petite maisonnette dans laquelle il y a quelque boîte de conserve. On se regarde silencieusement. J'étais de piquet, je regardais pas la fenêtre. Soudain, je vois un SS qui se cache légèrement et nous aurait vu. Il tire un coup qui résonne dans ma direction tout en effleurant mon visage. Je recule en laissant échapper un léger cri. Mes cinq camarades se retournent et cessent les fouilles. On a des Tompson avec lesquels on tir dans la direction de l'ennemi.
J'ai l'impression que quelque chose ne colle pas. Nous sommes des allemands déguisés en polonais et nous devons faire quelque chose contre les allemands. J'avais un sentiment que nous trahissons notre pays pour une bonne cause. Mes camarades essayent de sortir de la baraque et moi également. Un s'est fait tiré dessus sur le flanc et moi, dans les entrailles. Je me réveille en suffoquant de douleur avant de me rendre compte que je n'ai rien.