Le début du rêve commence ainsi (enfin c'est de ça que je me rappel):
Je suis dans un hall de gare en long , comme un couloir avec des vitres à gauche et un mur blanc à droite. Je suis avec ma maman à l'entrée de la galerie près des casiers. Je pose des sachets qui selon moi étaient des courses ou plutôt des affaires personnels. Mais l'on se méfiait d'un jeune homme grand habillé de blanc, qu'on soupçonnait de pickpocket.
Puis nous nous sommes avancés dans la galerie et je me suis arrêté vers un groupe de filles pour les aider à faire un devoir. C'était assez compliqué. Je me souviens que c'était du français. On a parlé un peu. Puis mon copain était à coté de moi (il avait surement dû remplacé ma mère).
Au moment où , nous avions décidé de nous diriger vers l'autre coté de la galerie afin de rejoindre le train, mon copain se senti mal, comme dans les films , lorsque le vampire gentil , sent du sang, et qu'il essaie de résister. mais au fond de moi, je pensais plutôt à la drogue.
Là , j'ai vu un jeune homme brun qui après nous avoir vu, se précipita vers nous.
On a tenté de s'échapper. Et nous somme sorties de la galerie. Mon copain monta dans le train. Et moi , pour ralentir le garçon et parce qu'il m'est venu une pensé: " J'ai une force surhumaine, je peut l'arrêter" . Je m'avança à son encontre , le prit et le jeta vers mon côté droit.
Ce qui est bizarre ensuite c'est qu'après m'être débarrassé du jeune homme , je me suis précipité à l'arrière du train qui venait de démarré. J'ai trébuché , et me voilà ensuite face à une route où le train n'était plus un train mais un bus que je tentais de rattraper; Plus j'avançais moins j'y parvenais.
Puis je me suis réveillé.
Voilà mon rêve. J'espère que quelqu'un parmi vous sera en mesure de m'aider. Je vous souhaite une bonne journée. Et croise les doigts.Merci.
Arriver à la gare symbolise le départ vers une nouvelle étape de votre vie spirituelle. Les vitres symbolisent le côté passif, on est souvent spectateur à travers une vitre sans prendre réellement part aux événements. Le mur blanc, c'est l'inconnu, la tabula rasa de ce nouveau chapitre qui va commencer.
