Inquiète j'interpelle la prof, et je me rends compte que c'est Madame M. (une prof que j'ai aussi en cour dans le réel et qui a le don de m'exaspérer : elle arrive à te condenser 1 siècle d'histoire de l'art en une feuille A4 un paragraphe et une image. On se déteste mutuellement et gentiment l'une de l'autre) et j'ai beau l'interpeller sur les événements extérieur, elle refuse de se retourner et stipule que elle n'a pas à s'en occupé.
Je continue de fixé la tornade devant moi, et la vois se rapprocher, fissurer la vitre se ré-éloigner, se ré-approcher, continuer de fissurer la vitre. Au même moment je me rends conte que celle-ci n'est pas faite de vent mais de fibre de verre grisâtre, semblant très rugueuse.
Avant qu'elle ne se ré-approche une troisième fois, je me lève et interpelle de nouveau ma prof, mais en face d'elle, j'hausse le ton en lui imposant de nous mettre tous à l' abri et elle obtempère.
En arrivant au rez-de-chaussée (d'un bâtiment que je ne connais toujours pas) je me dirige vers l'extérieur (je crois que j'avais envie de fumer
), et je vois dans le vent et le fouillis environnant des gens dehors, devant deux car, qui discute malgré les intempéries. Mais bizarrement je ne m'inquiète pas pour eux et rejoins le groupe d'élèves/profs à l'intérieur du bâtiment, qui se diriger vers une porte massive, vraiment peu large pour du passage et carré.
Je fus une des dernières à rentré, avec deux autres camarades (féminines) le reste du groupe n'était plus visible. On fut témoin d'un bruit strident, et en me retournant je vis la porte d'une épaisseur magistral se refermer avec lenteur. Je compris alors que l'ont était dans un bunker.
En avançant un peu je me rendis compte que le bunker était composer d'une multitude de dortoir de deux personne (finissions en bois, c'était très jolie
) une des deux filles déposa sont sac sur le premier lit venue, mais en entendant des voix au loin je lui proposai plutôt de se rapprocher un maximum des chambre occuper par le groupe pour éviter d'être dispersé.