Porcelet...
Publié : 17 mars 2009, 15:01
Bonjour à tous,
Je viens de m'inscrire sur ce forum, dont je consultais auparavant, à l'occasion, le dictionnaire. Je suis ravie qu'un tel endroit existe, pour que chacun puisse apporter sa sagesse et ses connaissances à son prochain, et l'aider ainsi à voir plus clair en lui-même. Merci à tous.
J'ai l'habitude de faire des rêves, disons, bizarres. Je ne cherche pas toujours à les comprendre, et ne suis pas sûre de le faire correctement de toute façon. Mais celui-ci était vraiment troublant, et je crois bien que j'ai besoin de vos lumières. Je précise que c'est un rêve de jour (fin de matinée), cela peut avoir son importance.
Je ne me souviens plus très bien du début, mais l'histoire commence au moment où je rate ma station de bus. Il m'est arrivé deux, trois fois de rêver que cela se produisait, et je me retrouve en général toujours au même endroit (que je ne connais pas "dans la vie").
Donc cette fois-ci, reconnaissant les lieux, je ne panique pas ("ah, je suis là . Bon, ça va.") mais décide de rentrer à pied chez moi. Sensiblement, j'étais encore étudiante, car je n'avais qu'une heure et demie avant la reprise des cours... Bref, je traverse un marché couvert (qui me rappelait quelque chose, je l'ai sans doute déjà croisé puisque je me suis déjà perdue ici... d'ailleurs j'ai pensé "bon, tu sauras qu'il se tient le mardi") et décide de m'acheter à manger. Je regarde les fruits, la viande (belles entrecôtes! et le boucher me fait goûter une sorte de viande des grisons en plaques immenses, comme du papier A3 peut-être, et très épicée). Finalement, je décide de prendre un poulet rôti dans son petit sac blanc (qui coutait 3,75 euros ou quelque chose comme cela). Je suis pressée, c'est déjà cuit, pratique.
Or la vendeuse estime que les poulets sont trop gros pour une seule personne. J'en choisis un beau demi, mais cette femme me demande d'attendre et en sort de nouveaux d'un four que je ne vois pas, en déposant au passage sur son étal un porcelet minuscule (il devait faire 7cm de long), à moitié rôti... et toujours vivant, ce qui ne semble pas la surprendre plus que cela. Je dis immédiatement que je le veux (il est encore en vie, on peut le sauver!) mais la bouchère ne paraît pas y prêter attention.
Ensuite c'est un peu flou, je crois qu'une cliente part par erreur avec mon poulet rôti et revient plus tard le rapporter en l'ayant presque entièrement mangé... Je paie sans doute, mais je ne me vois pas le faire, et réclame à nouveau mon porcelet ("j'étais sérieuse, je le prends!") suspendu sous une étiquette jaune orangée à 79 (ou 99?) euros (mais je m'en moque, même si c'est son prix, j'ai décidé de l'emmener de toute façon). Là , attitude très bizarre de ma dame bouchère qui me le donne avant de se mettre une tête de porc cuite et dégoulinante de graisse autour du cou/sur la tête en disant qu'elle aussi aime le cochon (et autre chose qui m'échappe.. peut-être était-ce "mais je n'essaie pas de tous les sauver"?? mais je n'en suis pas du tout sûre)... Puis une vendeuse voisine me donne un sachet de poires que j'ai dû acheter je ne sais quand (je me souviens avoir parlé fruits avec elle, elle me suggérait les framboises...), et je me remets en route.
La maison à laquelle je pense est celle où je vivais durant mes études... au moins, c'est cohérent
à€ la Brassens, je mets mon petit cochon dans mon soutien-gorge pour qu'il soit à l'aise, en le touchant fréquemment pour m'assurer qu'il bouge encore, et en tirant sur le haut de mon t-shirt pour lui faire de l'air... Je pense tout de même brièvement que s'il devait mourir en chemin, je le donnerais à mon chat... (hmm... 
) En route, alors que je pense à la boîte à chaussures dans laquelle je mettrai du coton (sans oublier les trous!) pour accueillir mon rescapé, et au biberon et au lait pour bébé qu'il va falloir acheter, je me retrouve dans les rues de Paris, avec mon père (qui vit actuellement à l'endroit où j'ai fait mes études... ce qui n'est pas Paris). Je m'empresse de lui raconter mon histoire, mais au moment où je prétends lui montrer le porcelet, celui-ci, pris d'un élan frénétique, me saute des mains et s'écrase sur le pavé (glauque, j'ai vu des espèce de bouts de chair blancs palpitants ça et là ...) Vite, je le ramasse, effrayée et très triste, et le dispute ("Pourquoi tu as fait ça?!"). Je crois qu'il est encore vivant, bien que dans un état plus critique encore, mais alors je me réveille.
....
(Hmm) J'ai quelques idées (notamment que je devais avoir un peu faim
) mais je ne m'explique pas tout. J'espère que vous saurez y voir plus clair et vous en remercie chaleureusement d'avance.
Yun
Ps: pardon pour la longueur...
Je viens de m'inscrire sur ce forum, dont je consultais auparavant, à l'occasion, le dictionnaire. Je suis ravie qu'un tel endroit existe, pour que chacun puisse apporter sa sagesse et ses connaissances à son prochain, et l'aider ainsi à voir plus clair en lui-même. Merci à tous.
J'ai l'habitude de faire des rêves, disons, bizarres. Je ne cherche pas toujours à les comprendre, et ne suis pas sûre de le faire correctement de toute façon. Mais celui-ci était vraiment troublant, et je crois bien que j'ai besoin de vos lumières. Je précise que c'est un rêve de jour (fin de matinée), cela peut avoir son importance.
Je ne me souviens plus très bien du début, mais l'histoire commence au moment où je rate ma station de bus. Il m'est arrivé deux, trois fois de rêver que cela se produisait, et je me retrouve en général toujours au même endroit (que je ne connais pas "dans la vie").
Donc cette fois-ci, reconnaissant les lieux, je ne panique pas ("ah, je suis là . Bon, ça va.") mais décide de rentrer à pied chez moi. Sensiblement, j'étais encore étudiante, car je n'avais qu'une heure et demie avant la reprise des cours... Bref, je traverse un marché couvert (qui me rappelait quelque chose, je l'ai sans doute déjà croisé puisque je me suis déjà perdue ici... d'ailleurs j'ai pensé "bon, tu sauras qu'il se tient le mardi") et décide de m'acheter à manger. Je regarde les fruits, la viande (belles entrecôtes! et le boucher me fait goûter une sorte de viande des grisons en plaques immenses, comme du papier A3 peut-être, et très épicée). Finalement, je décide de prendre un poulet rôti dans son petit sac blanc (qui coutait 3,75 euros ou quelque chose comme cela). Je suis pressée, c'est déjà cuit, pratique.
Or la vendeuse estime que les poulets sont trop gros pour une seule personne. J'en choisis un beau demi, mais cette femme me demande d'attendre et en sort de nouveaux d'un four que je ne vois pas, en déposant au passage sur son étal un porcelet minuscule (il devait faire 7cm de long), à moitié rôti... et toujours vivant, ce qui ne semble pas la surprendre plus que cela. Je dis immédiatement que je le veux (il est encore en vie, on peut le sauver!) mais la bouchère ne paraît pas y prêter attention.
Ensuite c'est un peu flou, je crois qu'une cliente part par erreur avec mon poulet rôti et revient plus tard le rapporter en l'ayant presque entièrement mangé... Je paie sans doute, mais je ne me vois pas le faire, et réclame à nouveau mon porcelet ("j'étais sérieuse, je le prends!") suspendu sous une étiquette jaune orangée à 79 (ou 99?) euros (mais je m'en moque, même si c'est son prix, j'ai décidé de l'emmener de toute façon). Là , attitude très bizarre de ma dame bouchère qui me le donne avant de se mettre une tête de porc cuite et dégoulinante de graisse autour du cou/sur la tête en disant qu'elle aussi aime le cochon (et autre chose qui m'échappe.. peut-être était-ce "mais je n'essaie pas de tous les sauver"?? mais je n'en suis pas du tout sûre)... Puis une vendeuse voisine me donne un sachet de poires que j'ai dû acheter je ne sais quand (je me souviens avoir parlé fruits avec elle, elle me suggérait les framboises...), et je me remets en route.
La maison à laquelle je pense est celle où je vivais durant mes études... au moins, c'est cohérent
à€ la Brassens, je mets mon petit cochon dans mon soutien-gorge pour qu'il soit à l'aise, en le touchant fréquemment pour m'assurer qu'il bouge encore, et en tirant sur le haut de mon t-shirt pour lui faire de l'air... Je pense tout de même brièvement que s'il devait mourir en chemin, je le donnerais à mon chat... (hmm... ) En route, alors que je pense à la boîte à chaussures dans laquelle je mettrai du coton (sans oublier les trous!) pour accueillir mon rescapé, et au biberon et au lait pour bébé qu'il va falloir acheter, je me retrouve dans les rues de Paris, avec mon père (qui vit actuellement à l'endroit où j'ai fait mes études... ce qui n'est pas Paris). Je m'empresse de lui raconter mon histoire, mais au moment où je prétends lui montrer le porcelet, celui-ci, pris d'un élan frénétique, me saute des mains et s'écrase sur le pavé (glauque, j'ai vu des espèce de bouts de chair blancs palpitants ça et là ...) Vite, je le ramasse, effrayée et très triste, et le dispute ("Pourquoi tu as fait ça?!"). Je crois qu'il est encore vivant, bien que dans un état plus critique encore, mais alors je me réveille.
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(Hmm) J'ai quelques idées (notamment que je devais avoir un peu faim
) mais je ne m'explique pas tout. J'espère que vous saurez y voir plus clair et vous en remercie chaleureusement d'avance.
Yun
Ps: pardon pour la longueur...