Un reve d'engloustissement et de trains
Publié : 16 juin 2006, 14:50
Bonjour,
J'suis une petite nouvelle.
J'ai fait un drôle de reve cette nuit; qui pourrait me dire ce que ca veut dire ?
Nuit du 15 au 16 juin 2006
J'étais avec ma nièce de 17 ans. Elle m'offrait une sorte de bijou accroché à un tissu. J'essayais pendant plusieurs minutes de mettre en forme ce bijou, sans succès. Elle me prit l'objet et le mis en forme : c'était en fait un vêtement, une sorte de polo gris et blanc, avec une chaîne bijou à la taille, et à l'encolure il y avait un très joli gros bouton en nacre, je le mettais. Je devais aller au travail et donc prendre mon train. J'arrivais à la gare pour aller à Paris. Je me voyait dans la vitre des portes de la gare, j'avais donc ce t-shirt et un pantacourt beige, pas très à la mode, mais finalement comme j'étais mince, je me disais que ça passerait. A l'intérieur de la gare, tout avait changé. Je ne reconnaissais rien. La disposition des quais avait complètement changée. Les panneaux indicateurs étaient très nombreux et mal disposés. Je n'avais que 2 minutes pour avoir mon train, je me dépêchais mais me perdais dans le dédale des souterrains et arrivait trop tard sur le quai. Je redescendais et essayais d'aller sur un autre quai pour prendre un autre train, mais je ne comprenais rien au tableau d'affichage. Au hasard sur un quai je demandais à des gens assis dans un train où il allait mais il n'allait pas à Paris, déçue je descendais de ce train, sur le quai, il faisait nuit tout à coup, je ne comprenait pas pourquoi et j'étais assez troublée de ça, un homme arrivais et me confirmait que le train n'allait pas à Paris. Je retournais dans le hall où maintenant il faisait à nouveau jour, me demandant comment j'allais aller au boulot. Il était maintenant 10h00 du matin. Je retrouvais là des collègues qui, elles aussi ne comprenaient rien à tout ça. Ensemble, nous partions à la recherche du bon quai mais on n'arrivait pas. Une voix d'homme se faisait entendre "puisque nous ne voulions pas partir, nous resterions ici". Je voyais au-dehors des raz de marée nous engloutir, nous remontions au fur et à mesure que l'eau montait de plus en plus, engloutissant toutes les terres. Là nous ressortions sur l'eau, à plat. Il ne restait rien d'autre maintenant. FIN
J'suis une petite nouvelle.
J'ai fait un drôle de reve cette nuit; qui pourrait me dire ce que ca veut dire ?
Nuit du 15 au 16 juin 2006
J'étais avec ma nièce de 17 ans. Elle m'offrait une sorte de bijou accroché à un tissu. J'essayais pendant plusieurs minutes de mettre en forme ce bijou, sans succès. Elle me prit l'objet et le mis en forme : c'était en fait un vêtement, une sorte de polo gris et blanc, avec une chaîne bijou à la taille, et à l'encolure il y avait un très joli gros bouton en nacre, je le mettais. Je devais aller au travail et donc prendre mon train. J'arrivais à la gare pour aller à Paris. Je me voyait dans la vitre des portes de la gare, j'avais donc ce t-shirt et un pantacourt beige, pas très à la mode, mais finalement comme j'étais mince, je me disais que ça passerait. A l'intérieur de la gare, tout avait changé. Je ne reconnaissais rien. La disposition des quais avait complètement changée. Les panneaux indicateurs étaient très nombreux et mal disposés. Je n'avais que 2 minutes pour avoir mon train, je me dépêchais mais me perdais dans le dédale des souterrains et arrivait trop tard sur le quai. Je redescendais et essayais d'aller sur un autre quai pour prendre un autre train, mais je ne comprenais rien au tableau d'affichage. Au hasard sur un quai je demandais à des gens assis dans un train où il allait mais il n'allait pas à Paris, déçue je descendais de ce train, sur le quai, il faisait nuit tout à coup, je ne comprenait pas pourquoi et j'étais assez troublée de ça, un homme arrivais et me confirmait que le train n'allait pas à Paris. Je retournais dans le hall où maintenant il faisait à nouveau jour, me demandant comment j'allais aller au boulot. Il était maintenant 10h00 du matin. Je retrouvais là des collègues qui, elles aussi ne comprenaient rien à tout ça. Ensemble, nous partions à la recherche du bon quai mais on n'arrivait pas. Une voix d'homme se faisait entendre "puisque nous ne voulions pas partir, nous resterions ici". Je voyais au-dehors des raz de marée nous engloutir, nous remontions au fur et à mesure que l'eau montait de plus en plus, engloutissant toutes les terres. Là nous ressortions sur l'eau, à plat. Il ne restait rien d'autre maintenant. FIN