Enfant mort, sorcier, araignée...
Publié : 22 mars 2010, 10:27
Bonjour à tous! Et merci à ceux qui prendront la peine de lire ceci, désolée pour mon esprit torturé
Ceci constitue ce dont je me souviens d'une suite de rêves effectués la même nuit (cette nuit).
Premier :
je suis avec quelqu'un, un homme. Familier, mais je ne saurais dire de qui il s'agissait, mais c'est quelqu'un que je connais. Nous sommes sur le bord d'une route, un champ (vaguement). Il y a un espèce de tonneau, rempli de choses qui grouillent. Il regarde dedans et recule dégouté, dit que ce sont des vers. Je vois des petites bêtes ailées qui grouillent en masse brunâtre et blanchâtre. Je pense également à des moulons, ces petits vers blanc. Mais je ne ressens pas de dégoût. Je vois plutôt que l'homme, lui, en ressent. Je suis plutôt en face du tonneau, et l'homme à ma droite, en face d'une toile d'araignée grise-blanche géante, comme suspendue à une branche et qui tombe jusque par terre, à droite du tonneau. Elle ne me fait pas peur non plus. Je ressens de la neutralité. La toile me semble piteuse, tombante. Elle n'est pas belle, ni large, semble « en mauvaise santé ». Suite à un faux mouvement, l'homme se retrouve le dos dans la toile, et s'en dégage très vite, dégouté et apeuré. Je rigole.
Deuxième :
Nous sommes chez des gens, il y a ma mère. C'est moi qui l'ai emmenée là . Il y a une femme, et une autre personne (sa mère?). La femme est un peu dérangée, folle. La mère papote avec la mienne, ma mère n'a pas envie d'écouter, s'en fiche, mais reste polie. Me regarde de côté, dans le genre « dans quelle galère tu m'as embarquée ». Il y a des enfants. C'est une simple pièce, autour d'une table. Puis, je ne sais plus comment, ma mère n'est plus là , ni l'autre mère, juste la femme, qui a tué son bébé. J'emporte le cadavre du bébé dans une petite couverture, avec un petit garçon qui est là , et on va l'enterrer. C'est la nuit, il conduit une voiture, et moi une autre. J'ai du mal à atteindre les pédales, mais j'y arrive. Nous laissons le corps dans un sous-bois, et repartons en voitures sur le petit chemin de terre. Quelqu'un (une voiture) arrive en sens inverse mais ouf, personne ne nous a vus. Nous rentrons dans la maison, le petit garçon s'éclipse, je ne le vois plus. La mère est là . Elle n'a pas l'air de se rendre compte de la gravité de ce qui vient de se passer. J'essaie de la faire réagir, sans résultat. Elle est toute heureuse, elle parle d'elle, d'elle et encore d'elle. Je lui parle de sa petite fille (cinq ou six ans, pas le bébé). Elle me dit qu'elle est contente, qu'elle l'adore, qu'elle a acheté un appareil qui lui permet de graver ce qu'elle veut, et qu'elle grave le nom de sa petite fille partout, et des vagues, des nounours, etc. Elle est contente. Et moi je m'énerve et je lui dis qu'elle est conne, qu'elle ne parle que d'elle, qu'elle grave le nom de sa fille partout comme une imbécile, mais qu'elle ne s'occupe pas d'elle, et qu'elle va la perdre (on va la lui enlever). Ensuite il fait sombre, la femme n'est plus là , mais ma mère est à nouveau là . Je la sens « réaliste », elle a l'air de me dire "c'est comme ça, tu n'y peux rien". Et moi, je regarde les meubles où la femme a gravé des dessins, et je dis à ma mère, la prenant à témoin, que c'est joli quand même.
Troisième :
Je suis de nouveau avec un homme, une poursuite, mais je n'ai pas peur; Je suis bien avec lui, amoureuse, j'ai envie de lui. Lui pareil. On saute d'une fenêtre de l'étage dans une voiture, qui se trouve sur un empilement de trois ou quatre autres voitures. Une femme par la fenêtre nous regarde, se demande si on va le faire ou non (sauter, se suicider plutôt que se laisser prendre). Je l'embrasse, simplement. La voiture part en avant (de notre volonté, je pense), et on va s'écraser sur le capot d'une voiture au sol. Je vois un cadavre, sur le capot, celui de l'homme (je suis comme debout à côté de la voiture, mais il y a comme un « saut » de personnage, je ne suis plus celle qui était dans la voiture).
Quatrième :
Un sorcier, une poursuite. Il a un rapport avec le bébé enterré je pense. Il rit de moi mais c'est lui qui se sauve. Je ne suis pas en colère, ni blessée, ni apeurée. Je le poursuis, il me semble piteux (comme la toile d'araignée du premier rêve). Il entre dans une pièce, je le suis, il n'est plus là , il y a une femme qui maintient quelque chose par terre, sur ma droite. Une télé est allumée, c'est le sorcier qui a mis une cassette en route. Une film comme en noir et blanc tourne. La femme, apparemment ma mère me dit attention, il veut se changer en tarentule ! Je regarde le film et voit en effet une araignée géante (comme dans les vieux films d'horreur) avancer à l'écran, et aussitôt, une énorme araignée qui prend quasiment toute la pièce apparaît devant moi, le sorcier s'est transformé. Je le regarde. Je ne me sauve pas, je n'ai pas peur. Je la trouve piteuse, nulle. Tout a coup, l'araignée géante est devenue « petite » (de la taille d'une mygale, et je pense d'ailleurs dans mon rêve à une mygale cette fois). Et elle se sauve sous un petit meuble dans le couloir, juste devant la porte par laquelle je suis entrée. Je recule le meuble (style table de nuit) et vois un trou dans le mur (comme on représente les trous de souris dans les dessins animés). Et là je ris aux éclats, le sorcier (l'araignée) a eu peur, il s'est sauvé!
Voilà , je sais, c'est tordu, mais je pense que ces rêves ont un rapport entre eux. Et avec le fait que je me fais du souci par rapport à un projet que j'ai fait récemment. Consciemment, je ne suis pas sure de moi, sure de ce que je veux, de ce que je dois faire. Tout le monde (ma mère, mon mari) m'encourage à ... faire ce que je veux!
A noter, le bébé mort doit avoir une certaine importance... et ça doit perturber ma mère aussi, car elle a rêvé cette nuit d'un bébé qu'elle mettait dans son sac et elle partait avec!
Merci pour votre attention, vos réponses, vos idées... En général je n'ai pas trop de mal à comprendre mes rêves, mais là c'est assez complexe...
Ceci constitue ce dont je me souviens d'une suite de rêves effectués la même nuit (cette nuit).
Premier :
je suis avec quelqu'un, un homme. Familier, mais je ne saurais dire de qui il s'agissait, mais c'est quelqu'un que je connais. Nous sommes sur le bord d'une route, un champ (vaguement). Il y a un espèce de tonneau, rempli de choses qui grouillent. Il regarde dedans et recule dégouté, dit que ce sont des vers. Je vois des petites bêtes ailées qui grouillent en masse brunâtre et blanchâtre. Je pense également à des moulons, ces petits vers blanc. Mais je ne ressens pas de dégoût. Je vois plutôt que l'homme, lui, en ressent. Je suis plutôt en face du tonneau, et l'homme à ma droite, en face d'une toile d'araignée grise-blanche géante, comme suspendue à une branche et qui tombe jusque par terre, à droite du tonneau. Elle ne me fait pas peur non plus. Je ressens de la neutralité. La toile me semble piteuse, tombante. Elle n'est pas belle, ni large, semble « en mauvaise santé ». Suite à un faux mouvement, l'homme se retrouve le dos dans la toile, et s'en dégage très vite, dégouté et apeuré. Je rigole.
Deuxième :
Nous sommes chez des gens, il y a ma mère. C'est moi qui l'ai emmenée là . Il y a une femme, et une autre personne (sa mère?). La femme est un peu dérangée, folle. La mère papote avec la mienne, ma mère n'a pas envie d'écouter, s'en fiche, mais reste polie. Me regarde de côté, dans le genre « dans quelle galère tu m'as embarquée ». Il y a des enfants. C'est une simple pièce, autour d'une table. Puis, je ne sais plus comment, ma mère n'est plus là , ni l'autre mère, juste la femme, qui a tué son bébé. J'emporte le cadavre du bébé dans une petite couverture, avec un petit garçon qui est là , et on va l'enterrer. C'est la nuit, il conduit une voiture, et moi une autre. J'ai du mal à atteindre les pédales, mais j'y arrive. Nous laissons le corps dans un sous-bois, et repartons en voitures sur le petit chemin de terre. Quelqu'un (une voiture) arrive en sens inverse mais ouf, personne ne nous a vus. Nous rentrons dans la maison, le petit garçon s'éclipse, je ne le vois plus. La mère est là . Elle n'a pas l'air de se rendre compte de la gravité de ce qui vient de se passer. J'essaie de la faire réagir, sans résultat. Elle est toute heureuse, elle parle d'elle, d'elle et encore d'elle. Je lui parle de sa petite fille (cinq ou six ans, pas le bébé). Elle me dit qu'elle est contente, qu'elle l'adore, qu'elle a acheté un appareil qui lui permet de graver ce qu'elle veut, et qu'elle grave le nom de sa petite fille partout, et des vagues, des nounours, etc. Elle est contente. Et moi je m'énerve et je lui dis qu'elle est conne, qu'elle ne parle que d'elle, qu'elle grave le nom de sa fille partout comme une imbécile, mais qu'elle ne s'occupe pas d'elle, et qu'elle va la perdre (on va la lui enlever). Ensuite il fait sombre, la femme n'est plus là , mais ma mère est à nouveau là . Je la sens « réaliste », elle a l'air de me dire "c'est comme ça, tu n'y peux rien". Et moi, je regarde les meubles où la femme a gravé des dessins, et je dis à ma mère, la prenant à témoin, que c'est joli quand même.
Troisième :
Je suis de nouveau avec un homme, une poursuite, mais je n'ai pas peur; Je suis bien avec lui, amoureuse, j'ai envie de lui. Lui pareil. On saute d'une fenêtre de l'étage dans une voiture, qui se trouve sur un empilement de trois ou quatre autres voitures. Une femme par la fenêtre nous regarde, se demande si on va le faire ou non (sauter, se suicider plutôt que se laisser prendre). Je l'embrasse, simplement. La voiture part en avant (de notre volonté, je pense), et on va s'écraser sur le capot d'une voiture au sol. Je vois un cadavre, sur le capot, celui de l'homme (je suis comme debout à côté de la voiture, mais il y a comme un « saut » de personnage, je ne suis plus celle qui était dans la voiture).
Quatrième :
Un sorcier, une poursuite. Il a un rapport avec le bébé enterré je pense. Il rit de moi mais c'est lui qui se sauve. Je ne suis pas en colère, ni blessée, ni apeurée. Je le poursuis, il me semble piteux (comme la toile d'araignée du premier rêve). Il entre dans une pièce, je le suis, il n'est plus là , il y a une femme qui maintient quelque chose par terre, sur ma droite. Une télé est allumée, c'est le sorcier qui a mis une cassette en route. Une film comme en noir et blanc tourne. La femme, apparemment ma mère me dit attention, il veut se changer en tarentule ! Je regarde le film et voit en effet une araignée géante (comme dans les vieux films d'horreur) avancer à l'écran, et aussitôt, une énorme araignée qui prend quasiment toute la pièce apparaît devant moi, le sorcier s'est transformé. Je le regarde. Je ne me sauve pas, je n'ai pas peur. Je la trouve piteuse, nulle. Tout a coup, l'araignée géante est devenue « petite » (de la taille d'une mygale, et je pense d'ailleurs dans mon rêve à une mygale cette fois). Et elle se sauve sous un petit meuble dans le couloir, juste devant la porte par laquelle je suis entrée. Je recule le meuble (style table de nuit) et vois un trou dans le mur (comme on représente les trous de souris dans les dessins animés). Et là je ris aux éclats, le sorcier (l'araignée) a eu peur, il s'est sauvé!
Voilà , je sais, c'est tordu, mais je pense que ces rêves ont un rapport entre eux. Et avec le fait que je me fais du souci par rapport à un projet que j'ai fait récemment. Consciemment, je ne suis pas sure de moi, sure de ce que je veux, de ce que je dois faire. Tout le monde (ma mère, mon mari) m'encourage à ... faire ce que je veux!
A noter, le bébé mort doit avoir une certaine importance... et ça doit perturber ma mère aussi, car elle a rêvé cette nuit d'un bébé qu'elle mettait dans son sac et elle partait avec!
Merci pour votre attention, vos réponses, vos idées... En général je n'ai pas trop de mal à comprendre mes rêves, mais là c'est assez complexe...