rêve de cette nuit - je vole à cheval
Publié : 19 mai 2010, 09:09
Je suis dans une pièce, un salon avec une grande baie vitrée. Il y a des personnes qui jouent de la musique : percussions, guitare. Celui qui est aux percussions ne joue pas très bien, mais celui à la guitare se distingue très vite et se met à chanter merveilleusement bien, faisant taire les percussions. C'est très mélodieux, très beau, chansons un peu tristes. Je suis assise en face d'eux et à leur coté il y a une amie à moi. Je pense que c'est chez elle. Je sais que mon mari est là mais je ne le vois pas dans la pièce. Puis des escaliers vient quelqu'un avec une basse, il interrompt le chanteur-guitariste, dit quelque chose et tout le monde se léve pour partir chez un certain Gilles où ils doivent répéter.
Dans la précipitation, je ne suis pas certaine que mon mari sois informé du départ, en même temps mon amie chez qui on était se précipite avec les musiciens. Je ne sais pas si je peux aller chez ce Gilles. Je suis là sans savoir quoi faire quant une autre copine de mon amie part les rejoindre en prenant un raccourci. Je lui demande si on peut aller chez Gilles, elle me dit de venir. Donc je la suis, rattrape mon amie et lui repose la question. Qu'est ce qu'on fait ? on va tous chez ce Gilles ? Et là elle me répond par une autre question, dont je ne comprends pas le sens. je m'énerve lui demandant de répondre clairement à une question simple. Elle rit sans répondre, puis continue à marcher. Je lui dis que j'en ai marre de ses réponses alambiquées, qu'elle est la seule à comprendre très en colère. Et je m'en vais.
Sur le chemin du retour, un mal de ventre me terrasse, me met par terre, je me traîne plus que je marche. J'ai du mal à monter des longs escaliers, cependant je continue d'avancer. En haut des marches je suis completement groggy à cause de la douleur. Je traverse sans rien voir et avance comme un zombie.
Je me retrouve à l'entrée d'un centre équestre, deux chevaux noirs, au poil brillant, sellés se promenent tranquillement, l'un s'éloigne de moi et l'autre vient vers moi. A ce moment là je suis presque à terre. Avec son museau, il tente de me relever, m'encourage à me lever, à le monter.
Je le monte et nous prenons un petit chemin qui longe le centre. Le chemin s'élargit, nous sommes maintenant seuls au milieu des prairies sur une pistes un peu accidentée par des ornières de 4*4. Alors que nous étions partis au pas, nous allons de plus en plus vite. La piste devient de plus en plus accidentée, il y a des flaques d'eau. Je me demande comment fait le cheval pour poser ses sabots sans me faire ressentir aucune secousse. Et là je m'aperçois qu'on vole juste au dessus de la piste. Le cheval ne trotte, ni galope il vole. Nous allons très vite. Je ressens alors une grande, en me disant oh génial..voilà je vole de nouveau. Je lève la tête au vent, éprouve ce sentiment de grande liberté et me réveille.
Dans la précipitation, je ne suis pas certaine que mon mari sois informé du départ, en même temps mon amie chez qui on était se précipite avec les musiciens. Je ne sais pas si je peux aller chez ce Gilles. Je suis là sans savoir quoi faire quant une autre copine de mon amie part les rejoindre en prenant un raccourci. Je lui demande si on peut aller chez Gilles, elle me dit de venir. Donc je la suis, rattrape mon amie et lui repose la question. Qu'est ce qu'on fait ? on va tous chez ce Gilles ? Et là elle me répond par une autre question, dont je ne comprends pas le sens. je m'énerve lui demandant de répondre clairement à une question simple. Elle rit sans répondre, puis continue à marcher. Je lui dis que j'en ai marre de ses réponses alambiquées, qu'elle est la seule à comprendre très en colère. Et je m'en vais.
Sur le chemin du retour, un mal de ventre me terrasse, me met par terre, je me traîne plus que je marche. J'ai du mal à monter des longs escaliers, cependant je continue d'avancer. En haut des marches je suis completement groggy à cause de la douleur. Je traverse sans rien voir et avance comme un zombie.
Je me retrouve à l'entrée d'un centre équestre, deux chevaux noirs, au poil brillant, sellés se promenent tranquillement, l'un s'éloigne de moi et l'autre vient vers moi. A ce moment là je suis presque à terre. Avec son museau, il tente de me relever, m'encourage à me lever, à le monter.
Je le monte et nous prenons un petit chemin qui longe le centre. Le chemin s'élargit, nous sommes maintenant seuls au milieu des prairies sur une pistes un peu accidentée par des ornières de 4*4. Alors que nous étions partis au pas, nous allons de plus en plus vite. La piste devient de plus en plus accidentée, il y a des flaques d'eau. Je me demande comment fait le cheval pour poser ses sabots sans me faire ressentir aucune secousse. Et là je m'aperçois qu'on vole juste au dessus de la piste. Le cheval ne trotte, ni galope il vole. Nous allons très vite. Je ressens alors une grande, en me disant oh génial..voilà je vole de nouveau. Je lève la tête au vent, éprouve ce sentiment de grande liberté et me réveille.