Crystal, voici mon vieux rêve...(y'a pas urgence ;))
Publié : 27 juin 2010, 02:06
alors comme je le disais dans un autre post, j'ai fait ce rêve il y a longtemps..j'avais dans les 17 ans, mais je m'en rappelle vraiment bien. Curieusement à cette époque je faisais des rêves plutôt perturbants, ou alors je retournais regulièrement dans les mêmes lieux...
enfin bref, voilà le rêve en question
Je commençais comme au milieu de l'histoire, mais j'étais pleinement au courant de ce qu'il s'était passé avant. Donc tout commence au milieu d'une affaire de meurtres en série où des prostituées etaient retrouvées assassinées, et une femme avait reçu une lettre de menaces. Dans mon rêve je suis flic et mes collègues et moi sommes chargés de la surveillance de la femme en question, et nous sommes en voiture en direction de l'aeroport, la femme, mes collègues et moi-même. Nous allons chercher son fils qui vient lui rendre visite.
J'imagine qu'on le recupère, mais ça je ne le vois pas puisque je nous vois ensuite arriver chez la femme. Elle vit en ville et on entre par une porte qui donne sur une ruelle adjacente à la rue principale. La porte est une très vieille porte en gros bois avec trois vitres au dessus. On pousse la porte qui est très lourde et là on se retrouve dans le hall (un rayon de soleil timide entre par les trois vitres). Par terre il y a des vieilles dalles (un peu comme dans les chateaux ou les fermes) qui sont usées à force d'avoir trop marché dessus. A notre droite il y a une autre porte en bois assez similaire a la porte d'entrée (mais sans les vitres) et un peu plus loin sur la gauche, il y a un vieil escalier en bois qui monte au premier.
Là -dessus la femme et son fils montent dans l'appartement de la femme qui est au premier et mes trois collègues et moi-même entrons dans la cuisine (la pièce qui est derriere la porte en bois). dans la cuisine je me rappelle qu'il y a une table en bois et un frigo. Rien n'est moderne.
On s'installe et on joue aux cartes. Au bout d'un moment, un de mes collègues nous dit qu'il est temps d'aller verifier si tout va bien et il quitte la pièce. On continue de jouer aux cartes en l'attendant, seulement il ne revient pas et au bout d'un quart d'heure, un autre de mes collègues decide d'aller voir ce qu'il fait.
Mais il ne revient pas..et mon troisième collègue monte également voir ce qu'il se passe. je me retrouve donc toute seule dans la cuisine et j'attends. J'attends mais personne ne revient. Je me décide donc à aller voir moi même. J;ai vraiment peur et le coeur qui bat la chamade. Mais je monte tout doucement l'escalier qui est en bois sombre (comme les reste d'ailleurs). Je m'aide de la rampe. Elle n'est pas lisse parce qu'usée elle aussi (je me rappelle de la sensation de la rampe sous ma main), et il y a un vieux tapis rouge defraichi sur l'escalier. J'arrive en haut et la configuration est assez étrange (meme si sur le coup ça ne m'a pas paru bizarre). Il y a trois portes blanches en face de moi et je sais que l'appartement de la femme est la porte du milieu qui est légèrement entrouverte. Alors je m'approche et pousse doucement la porte qui s'ouvre sans un bruit. Là je suis pratiquement aveuglée tant la lumière est intense. C'est la lumière du jour, mais comme tout le reste est relativement sombre ça m'eblouit. Le mur en face de moi n'est qu'une baie vitrée, et tout dans l'appartement est d'un blanc immaculé. Mais il n'y a personne.
J'ai tellement peur que j'arrive pas à parler. Je rentre dans l'appartement sans faire de bruit et tout à coup je remarque le sifflement d'une bouilloire sur ma gauche. Je me retourne et je vois le coin cuisine partiellement caché par un mur. Je vais voir et sur la table il y a deux tasses avec des sachets de thé et la bouilloire qui siffle sur le gaz. Mais personne en vue. Ja'rrête la bouilloire parce que le son est assez insupportable.
Alors je retourne dans la pièce principale avec ses murs blancs, son canape blanc etc.. et là je remarque deux portes blanches bien-sûr en face et l'une d'elle est entrouverte. Je m'approche et je remarque soudain un bruit regulier et pas trop rapide "tchac tchac tchac". Il vient de la pièce derrière la porte entrouverte. Là encore je suis morte de trouille mais je vais voir quand même. Je pousse un chouya la porte et là il y a du sang partout, sur les murs, sur le sol, sur le rideau de douche, je vois des membres découpés dans la baignoire, je vois les restes de mes collègues et surtout je vois le fils de la femme en train de finir de découper mon dernier collègue avec une sorte de hachette (comme ce que les bouchers utilisent pour couper les os). Là j'ai vraiment peur et je n'ai qu'une envie c'est de me sauver, seulement j'ai trop peur pour tourner le dos a la porte de la salle de bains et je part à reculonssans quitter la porte des yeux. Je sors de l'appartement et je redescends l'escalier toujours a reculons (j'ai l''impression que je mets untemps fou) et j'ai le coeur qui bat à tout rompre! j'arrive en bas de l'escalier et je vais vers la porte de sortie (toujours sans me retourner) et j'ouvre la porte, je sors dans la rue et referme la porte le plus silencieusement possible. Dans la ruelle tout est silencieux, il n'y a pas un bruit, pas un animal, pas un oiseau même pas de vent. et là je cours aussi vite que je le peux vers la rue principale. J'y arrive assez rapidement et là c'est une explosion de bruit et de mouvement (completenent l'inverse de la ruelle). j'appelle un taxi, je m'y engoufre et je dis au chauffeur de partir, il veut savoir où et je lui dis que ça n'a aucune importance du moment qu'on part vite. Il démarre er on part, et là je regarde par la fenêtre vers l'appartement et je LE vois. Il est là contre la baie vitrée et il me regarde.
et là j'ai eu tellement peur que je me suis réveillée. je me rappelle que j'ai pas réussi a me rendormir apres et pourtant j'avais allumé toutes mes lumières. lol
une chose, le garçon était un garçon de mon village en fait. On etait pas specialement amis je crois que j'ai dû lui parler deux fois dans ma vie et jamais depuis le rêve.
En tous cas je ne me rappelle pas avoir jamais eu aussi peur dans aucun de mes rêves. je n'ai rien rajouté ni embelli malgre les annees. Je l'aurais raconté de la même façon si je l'avais posté le lendemain même. D'ailleurs même encore maintenant il me fait froid dans le dos ce rêve!
voilà ! Comme je disais l'interpretation ne presse pas.
enfin bref, voilà le rêve en question
Je commençais comme au milieu de l'histoire, mais j'étais pleinement au courant de ce qu'il s'était passé avant. Donc tout commence au milieu d'une affaire de meurtres en série où des prostituées etaient retrouvées assassinées, et une femme avait reçu une lettre de menaces. Dans mon rêve je suis flic et mes collègues et moi sommes chargés de la surveillance de la femme en question, et nous sommes en voiture en direction de l'aeroport, la femme, mes collègues et moi-même. Nous allons chercher son fils qui vient lui rendre visite.
J'imagine qu'on le recupère, mais ça je ne le vois pas puisque je nous vois ensuite arriver chez la femme. Elle vit en ville et on entre par une porte qui donne sur une ruelle adjacente à la rue principale. La porte est une très vieille porte en gros bois avec trois vitres au dessus. On pousse la porte qui est très lourde et là on se retrouve dans le hall (un rayon de soleil timide entre par les trois vitres). Par terre il y a des vieilles dalles (un peu comme dans les chateaux ou les fermes) qui sont usées à force d'avoir trop marché dessus. A notre droite il y a une autre porte en bois assez similaire a la porte d'entrée (mais sans les vitres) et un peu plus loin sur la gauche, il y a un vieil escalier en bois qui monte au premier.
Là -dessus la femme et son fils montent dans l'appartement de la femme qui est au premier et mes trois collègues et moi-même entrons dans la cuisine (la pièce qui est derriere la porte en bois). dans la cuisine je me rappelle qu'il y a une table en bois et un frigo. Rien n'est moderne.
On s'installe et on joue aux cartes. Au bout d'un moment, un de mes collègues nous dit qu'il est temps d'aller verifier si tout va bien et il quitte la pièce. On continue de jouer aux cartes en l'attendant, seulement il ne revient pas et au bout d'un quart d'heure, un autre de mes collègues decide d'aller voir ce qu'il fait.
Mais il ne revient pas..et mon troisième collègue monte également voir ce qu'il se passe. je me retrouve donc toute seule dans la cuisine et j'attends. J'attends mais personne ne revient. Je me décide donc à aller voir moi même. J;ai vraiment peur et le coeur qui bat la chamade. Mais je monte tout doucement l'escalier qui est en bois sombre (comme les reste d'ailleurs). Je m'aide de la rampe. Elle n'est pas lisse parce qu'usée elle aussi (je me rappelle de la sensation de la rampe sous ma main), et il y a un vieux tapis rouge defraichi sur l'escalier. J'arrive en haut et la configuration est assez étrange (meme si sur le coup ça ne m'a pas paru bizarre). Il y a trois portes blanches en face de moi et je sais que l'appartement de la femme est la porte du milieu qui est légèrement entrouverte. Alors je m'approche et pousse doucement la porte qui s'ouvre sans un bruit. Là je suis pratiquement aveuglée tant la lumière est intense. C'est la lumière du jour, mais comme tout le reste est relativement sombre ça m'eblouit. Le mur en face de moi n'est qu'une baie vitrée, et tout dans l'appartement est d'un blanc immaculé. Mais il n'y a personne.
J'ai tellement peur que j'arrive pas à parler. Je rentre dans l'appartement sans faire de bruit et tout à coup je remarque le sifflement d'une bouilloire sur ma gauche. Je me retourne et je vois le coin cuisine partiellement caché par un mur. Je vais voir et sur la table il y a deux tasses avec des sachets de thé et la bouilloire qui siffle sur le gaz. Mais personne en vue. Ja'rrête la bouilloire parce que le son est assez insupportable.
Alors je retourne dans la pièce principale avec ses murs blancs, son canape blanc etc.. et là je remarque deux portes blanches bien-sûr en face et l'une d'elle est entrouverte. Je m'approche et je remarque soudain un bruit regulier et pas trop rapide "tchac tchac tchac". Il vient de la pièce derrière la porte entrouverte. Là encore je suis morte de trouille mais je vais voir quand même. Je pousse un chouya la porte et là il y a du sang partout, sur les murs, sur le sol, sur le rideau de douche, je vois des membres découpés dans la baignoire, je vois les restes de mes collègues et surtout je vois le fils de la femme en train de finir de découper mon dernier collègue avec une sorte de hachette (comme ce que les bouchers utilisent pour couper les os). Là j'ai vraiment peur et je n'ai qu'une envie c'est de me sauver, seulement j'ai trop peur pour tourner le dos a la porte de la salle de bains et je part à reculonssans quitter la porte des yeux. Je sors de l'appartement et je redescends l'escalier toujours a reculons (j'ai l''impression que je mets untemps fou) et j'ai le coeur qui bat à tout rompre! j'arrive en bas de l'escalier et je vais vers la porte de sortie (toujours sans me retourner) et j'ouvre la porte, je sors dans la rue et referme la porte le plus silencieusement possible. Dans la ruelle tout est silencieux, il n'y a pas un bruit, pas un animal, pas un oiseau même pas de vent. et là je cours aussi vite que je le peux vers la rue principale. J'y arrive assez rapidement et là c'est une explosion de bruit et de mouvement (completenent l'inverse de la ruelle). j'appelle un taxi, je m'y engoufre et je dis au chauffeur de partir, il veut savoir où et je lui dis que ça n'a aucune importance du moment qu'on part vite. Il démarre er on part, et là je regarde par la fenêtre vers l'appartement et je LE vois. Il est là contre la baie vitrée et il me regarde.
et là j'ai eu tellement peur que je me suis réveillée. je me rappelle que j'ai pas réussi a me rendormir apres et pourtant j'avais allumé toutes mes lumières. lol
une chose, le garçon était un garçon de mon village en fait. On etait pas specialement amis je crois que j'ai dû lui parler deux fois dans ma vie et jamais depuis le rêve.
En tous cas je ne me rappelle pas avoir jamais eu aussi peur dans aucun de mes rêves. je n'ai rien rajouté ni embelli malgre les annees. Je l'aurais raconté de la même façon si je l'avais posté le lendemain même. D'ailleurs même encore maintenant il me fait froid dans le dos ce rêve!
voilà ! Comme je disais l'interpretation ne presse pas.