Avocat, agenda volé puis jeté, escalator qui dysfonctionne.
Publié : 21 févr. 2011, 12:17
Bonjour, j'ai déposé mon rêve sur ce site mais je ne l'ai pas vu apparaître, alors je le raconte de nouveau, dans l'espoir d'avoir cette fois une petite réponse. ALors voilà :
Je travaille dans un cabinet d'Avocats (secrétaire d'avocat = mon ancien métier). Au début, ils sont deux Avocats mais ensuite, il n'y en a plus qu'1 qui a le physique du premier et le psychisme du second.
Les affaires ne vont pas bien, il y a peu de clients.
Mais mon employeur est exigeant sur mon travail.
Puis tout bascule : pour je ne sais quelle raison, je dérobe l'agenda de mon patron !
Lui voler son agenda constitue une sorte de vengeance.
Le cabinet est à l'agonie et je veux qu'il ferme.
Je préfère une situation franche à une situation trouble qui perdure.
Le patron fouille dans ses affaires.
Il cherche dans ses papiers, ses sacoches et ne trouve pas.
Il passe quelques coups de fil.
Mais il ne me demande rien. A aucun moment il ne s'adresse à moi.
Puis je découvre qu'il a engagé une dame de ma connaissance.
Il la fait travailler dans une des pièces du Cabinet (c'est dans un apprtement).
A moi il ne me donne plus rien à faire ou presque et c'est elle qui travaille.
C'est en ouvrant une porte que je découvre le pot aux roses :
j'ouvre la porte et elle est assise en train de travailler dans un bureau juste au milieu de la pièce. En ouvrant je n'ai vu qu'elle !
Dans le cabinet d'avocats il y a une buanderie avec une machine à laver.
Le patron me dit qu'il a lavé du linge mais a laissé le mien pour que je m'en charge. Je commence à trier le linge car tout n'est pas à moi.
En fait, seules les culottes sont à moi.
Le reste du linge est constitué de grosses pièces (draps de couleur bleue ..?) et ne sont pas à moi.
Une fois que j'ai enlevé ce qui m'appartient, le bac à linge sale est toujours plein car mes pièces étaient minuscules au milieu du reste.
Les culottes ne semblent pas sales et sont jolies (teintes de rose pâle et blanc-cassé, dentelle "entre-deux" discrète, petit noeud assorti).
Je suis rassurée que mon linge intime ne soit pas souillé, exposé aux yeux de tous sur le dessus de ce panier.
Je décide de ne pas le laver sur place, mais de l'emporter pour le laver chez moi.
Je suis prête à partir, les culottes dans un sac et dans un autre, l'agenda dérobé, et d'autres sacs qui sont mes affaires. Je suis chargée.
Mon employeur m'interpelle et me demande si je n'ai pas vu ce qu'il cherche.
Il ne prononce pas le mot "agenda". Il ne me dit pas ce qu'il cherche.
Après un instant d'hésitation, j'essaie d'être ferme en lui répondant que non.
Au moment de partir (c'est le soir) je croise la fille engagée à ma place.
Nous communiquons. Elle ne semble pas satisfaite.
Elle découvre comme moi des choses pas nettes dans ce Cabinet.
Il y règne une atmosphère grise et triste, de fin du monde.
Sentiment de choses cachées, dissimulées.
Non communication avec l'employeur, manque de franchise et du coup pas de confiance.
Nous ne sommes que des subalternes quand nous voudrions être des égales avec qui l'on communique en confiance.
Puis chacune se sépare pour rentrer chez soi.
Je m'engage dans la bouche du métro.
Il y a une poubelle juste à l'entrée et je m'apprête à y jeter l'agenda et son emballage, mais je me ravise car le lieu me désignerait.
(dans le rêve, je suis la seule à prendre le métro dans ce Cabinet).
L'escalator est vaste, très large, presque immense.
C'est un double ou triple escalator avec des marches très larges.
Il y a un problème car les gens dessus tombent, chutent, autour de moi.
Je le descends tout de même mais avec un peu de difficulté.
Pendant que je m'efforce de garder l'équilibre dessus, je dis que "si ça se trouve, les gents de la RAPT ne savent pas que l'escalator dysfonctionne, qu'il faut le leur signaler".
Alors quand j'arrive en bas, je vais au guichet et je le signale.
Plus loin, je me débarrasse (enfin!) de l'agenda.
Merci à Crystal de son interprétation.
(En passant, j'espère qu'avec Eric vous avez passé un bon W End !)
Merci pour tout.
Guylaine-Angèle
Je travaille dans un cabinet d'Avocats (secrétaire d'avocat = mon ancien métier). Au début, ils sont deux Avocats mais ensuite, il n'y en a plus qu'1 qui a le physique du premier et le psychisme du second.
Les affaires ne vont pas bien, il y a peu de clients.
Mais mon employeur est exigeant sur mon travail.
Puis tout bascule : pour je ne sais quelle raison, je dérobe l'agenda de mon patron !
Lui voler son agenda constitue une sorte de vengeance.
Le cabinet est à l'agonie et je veux qu'il ferme.
Je préfère une situation franche à une situation trouble qui perdure.
Le patron fouille dans ses affaires.
Il cherche dans ses papiers, ses sacoches et ne trouve pas.
Il passe quelques coups de fil.
Mais il ne me demande rien. A aucun moment il ne s'adresse à moi.
Puis je découvre qu'il a engagé une dame de ma connaissance.
Il la fait travailler dans une des pièces du Cabinet (c'est dans un apprtement).
A moi il ne me donne plus rien à faire ou presque et c'est elle qui travaille.
C'est en ouvrant une porte que je découvre le pot aux roses :
j'ouvre la porte et elle est assise en train de travailler dans un bureau juste au milieu de la pièce. En ouvrant je n'ai vu qu'elle !
Dans le cabinet d'avocats il y a une buanderie avec une machine à laver.
Le patron me dit qu'il a lavé du linge mais a laissé le mien pour que je m'en charge. Je commence à trier le linge car tout n'est pas à moi.
En fait, seules les culottes sont à moi.
Le reste du linge est constitué de grosses pièces (draps de couleur bleue ..?) et ne sont pas à moi.
Une fois que j'ai enlevé ce qui m'appartient, le bac à linge sale est toujours plein car mes pièces étaient minuscules au milieu du reste.
Les culottes ne semblent pas sales et sont jolies (teintes de rose pâle et blanc-cassé, dentelle "entre-deux" discrète, petit noeud assorti).
Je suis rassurée que mon linge intime ne soit pas souillé, exposé aux yeux de tous sur le dessus de ce panier.
Je décide de ne pas le laver sur place, mais de l'emporter pour le laver chez moi.
Je suis prête à partir, les culottes dans un sac et dans un autre, l'agenda dérobé, et d'autres sacs qui sont mes affaires. Je suis chargée.
Mon employeur m'interpelle et me demande si je n'ai pas vu ce qu'il cherche.
Il ne prononce pas le mot "agenda". Il ne me dit pas ce qu'il cherche.
Après un instant d'hésitation, j'essaie d'être ferme en lui répondant que non.
Au moment de partir (c'est le soir) je croise la fille engagée à ma place.
Nous communiquons. Elle ne semble pas satisfaite.
Elle découvre comme moi des choses pas nettes dans ce Cabinet.
Il y règne une atmosphère grise et triste, de fin du monde.
Sentiment de choses cachées, dissimulées.
Non communication avec l'employeur, manque de franchise et du coup pas de confiance.
Nous ne sommes que des subalternes quand nous voudrions être des égales avec qui l'on communique en confiance.
Puis chacune se sépare pour rentrer chez soi.
Je m'engage dans la bouche du métro.
Il y a une poubelle juste à l'entrée et je m'apprête à y jeter l'agenda et son emballage, mais je me ravise car le lieu me désignerait.
(dans le rêve, je suis la seule à prendre le métro dans ce Cabinet).
L'escalator est vaste, très large, presque immense.
C'est un double ou triple escalator avec des marches très larges.
Il y a un problème car les gens dessus tombent, chutent, autour de moi.
Je le descends tout de même mais avec un peu de difficulté.
Pendant que je m'efforce de garder l'équilibre dessus, je dis que "si ça se trouve, les gents de la RAPT ne savent pas que l'escalator dysfonctionne, qu'il faut le leur signaler".
Alors quand j'arrive en bas, je vais au guichet et je le signale.
Plus loin, je me débarrasse (enfin!) de l'agenda.
Merci à Crystal de son interprétation.
(En passant, j'espère qu'avec Eric vous avez passé un bon W End !)
Merci pour tout.
Guylaine-Angèle