Etanges détails subtils.
Publié : 18 mars 2011, 17:40
Je ne sais pas ici, comment fonctionne ce site.
J'ai quelques notions interprétatives anciennes, aussi voyons.
Ce matin, entre 7 h et 8 h. Rêve en couleurs.
Je suis en face d'une femme blond vénitien, avec des tâches de rousseurs assez normales ; il semble qu'elle ait la cinquantaine (?). Elle a la peau flétrie abîmée, un peu comme brûlée. Elle souffre.
Elle me demande de lui retirer avec une pince à épiler les lambeaux de peau qui lui recouvrent le visage. Elle doit affronter, soit une télévision , je ne me le rappelle pas, ou une conférence ? Elle est à ma droite, assise. Je suis donc plus haut qu'elle. J'ai peur de lui faire ce qu'elle me demande. Je vais lui faire du mal ; je crains cela. Pourquoi faire plutôt que d'attendre que cette peau tombe d'elle-même ? Y a t il urgence ?
Je suis inquiet, je lui vois des larmes douleureuses (il y en a de bonnes) au fond des yeux.
J'accepte, malgré ma crainte et aussi un peu de répulsion de faire ce qu'elle me demande.
Je lui mets la main sur le front afin de retenir toute réaction imprévisible.
Je commence ce travail délicat et au fur et à mesure que je retire des parcelles de peau, de très nombreux vaisseaux violets apparaissent. J'ai débuté par le front, suis à présent sur sa joue gauche. Est-ce important ? Je ne le sais pas, mais je m'en souviens étrangement.
Je recule son visage pour voir ce qui se dégage au fur et à mesure, je m'entends lui dire, constamment, «oh ! excuse moi ma chérie, je te demande pardon, je fais attention, mais j'ai peur de te faire mal. » Excuse-moi. Elle insiste et me dit de continuer, tandis que je vois son visage s'embuer. (mes yeux, ou ma crainte). Il est rouge vif, comme calciné par le soleil. Ces vaisseaux me font penser intérieurement, et sans rien lui dire : Tiens elle a but énormément durant sa vie, qu'est ce qui a touché son noyau dur pour qu'elle se soit mise dans cet état de supplique ou d'indifférence ?
Bien entendu je ne dis rien, mon cœur semble se rétrécir davantage. Je découvre en faisant cela qu'elle a eu une vie antérieure épouvantablement difficile. Je le traite avec encore plus de respect.
Je lui fais du mal physiquement, elle supporte ; moi je souffre intérieurement fortement .
Je me réveille étonné par ce rêve, ma à l'aise ; que puis-je tirer de cela, je ne sais pas.
J'ai quelques notions interprétatives anciennes, aussi voyons.
Ce matin, entre 7 h et 8 h. Rêve en couleurs.
Je suis en face d'une femme blond vénitien, avec des tâches de rousseurs assez normales ; il semble qu'elle ait la cinquantaine (?). Elle a la peau flétrie abîmée, un peu comme brûlée. Elle souffre.
Elle me demande de lui retirer avec une pince à épiler les lambeaux de peau qui lui recouvrent le visage. Elle doit affronter, soit une télévision , je ne me le rappelle pas, ou une conférence ? Elle est à ma droite, assise. Je suis donc plus haut qu'elle. J'ai peur de lui faire ce qu'elle me demande. Je vais lui faire du mal ; je crains cela. Pourquoi faire plutôt que d'attendre que cette peau tombe d'elle-même ? Y a t il urgence ?
Je suis inquiet, je lui vois des larmes douleureuses (il y en a de bonnes) au fond des yeux.
J'accepte, malgré ma crainte et aussi un peu de répulsion de faire ce qu'elle me demande.
Je lui mets la main sur le front afin de retenir toute réaction imprévisible.
Je commence ce travail délicat et au fur et à mesure que je retire des parcelles de peau, de très nombreux vaisseaux violets apparaissent. J'ai débuté par le front, suis à présent sur sa joue gauche. Est-ce important ? Je ne le sais pas, mais je m'en souviens étrangement.
Je recule son visage pour voir ce qui se dégage au fur et à mesure, je m'entends lui dire, constamment, «oh ! excuse moi ma chérie, je te demande pardon, je fais attention, mais j'ai peur de te faire mal. » Excuse-moi. Elle insiste et me dit de continuer, tandis que je vois son visage s'embuer. (mes yeux, ou ma crainte). Il est rouge vif, comme calciné par le soleil. Ces vaisseaux me font penser intérieurement, et sans rien lui dire : Tiens elle a but énormément durant sa vie, qu'est ce qui a touché son noyau dur pour qu'elle se soit mise dans cet état de supplique ou d'indifférence ?
Bien entendu je ne dis rien, mon cœur semble se rétrécir davantage. Je découvre en faisant cela qu'elle a eu une vie antérieure épouvantablement difficile. Je le traite avec encore plus de respect.
Je lui fais du mal physiquement, elle supporte ; moi je souffre intérieurement fortement .
Je me réveille étonné par ce rêve, ma à l'aise ; que puis-je tirer de cela, je ne sais pas.