Je vous en prie enfant, rien que de normal. Tentez, si vos rapports sont 'difficiles' ou peuvent l'être avec un Papa très occupé, de lui dire que vous faites pour le mieux, mais que chacun doit remplir son rôle et que le vôtre est aussi d'exister, personnellement, avec votre âge. La manière de dire, de mettre en place, sans affrontement, permet souvent 'le possible'.
Vous n'avez pas le moyen de joindre votre Maman et de lui parler de vos messages nocturnes ?
Tendresse, jeune amie, recherchez de la tendresse <c'est mieux que l'amitié ou l'amour> elle n'implique pas de retour.
Avez-vous un animal ? Si Oui, prenez-le avec vous le plus souvent possible, car à travers lui vous pouvez puiser chaleur et réconfort et votre responsabilité est, devient alors réelle et non plus de substitution. <le transfert psychanalitique n'est plus du tout du même ordre>.
Autrechose.
Si vous aviez la latitude économique de vivre indépendante, le feriez-vous ?
Je vous pose cette question, car vous ressentez probablement 2 fois le sentiments de culpabilité.
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Je ne subviens pas à mes propres besoins <donc je remplis des rôles qui ne devraient pas m'échoir>
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Suis-je apte au détachement des miens, et surtout de mon petit frère ?
Pensez bien à tout cela avant de parler à vos parents. Ils ont souvent un manque de mots pour accepter d'être remis en cause.
J'ai eu rencontrer des parents qui avaient été suspendus de leur droit de visite, alors qu'ils avaient indubitablement une grande part d'échecs à porter à leur débit, et bien non, c'était sur l'autre que devait porter le fardeau. La faute ronge souvent ne permettant pas la soumission de l'âme.
Apprendre à se remettre en cause, ça ne se fait pas aisément. Faites, attention, empruntez la délicatesse, pour faire comprendre le devoir de chacun.
Joli dimanche quoiqu'il en soit.
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