Rêve temporel
Publié : 25 mars 2012, 19:04
Bonjour à tous,
Je me permet de revenir vers vous concernant un rêve qui date d'un an, qui m'intrigue de temps à autres :
Je pense par jugement que ce rêve devait être comme d'autres. Je me vois prendre le métro à Paris pour aller je ne sais ou. Le début est très flou, je vois que des couleurs sombres liés aux stations, je me vois seul mais comme si je n'était pas dans mon corps. Lors de mon arrivé que je ne me souvient plus vraiment ou et comment cela s'est passé, je reviens à mes sens, je sors du métro puis je commence à prendre des escaliers. Les couleurs dominantes sur le quai étaient l'obscurité (avec une tendance bleu marine foncé) le plus total avec des lumières blanche au plafond qui était très bizarre. La lumière n'éclairait rien, elle se fondait dans l'obscurité. J'étais calme, serein, la tête rivé vers les escaliers.
Plus je commençais à monter cet escalier droit, plus une lumière jaune ocre s'éclairait et m'éclairait le passage. J'arrivais à un premier niveau (comme plus ou moins dans les métros Rame/station/exterieur), la lumière était totale, jaune clair ocre. les mur était complètement délabré, des gens se distinguaient devant moi habillé au couleur et au tenue de la révolution Française. Le sol n'était plus du béton, ou sorte de dalle. Juste de la terre, un niveau complètement sale, délabré. Des personnes était blessés, assise pare-terre, plein de sang... Un brouaha de discutions, d'organisation et d'entraide était déployé par des hommes probablement armé, peut-être étaient-il des soldats ? Bref, le tableau était en action.
Je continu mon chemin, personne ne faisait attention à moi. plus je sortais de la station du métro, plus la transgression du temps me faisais ramener au passé. J'ai pris les derniers escalier fait en sorte de terre et de pierre sans rampe. Sortant de là , j'avais l'impression que ce n'était pas un métro mais un abris de fortune ou vieux magasin sous terre détruit à l'occasion. Je réalise que je me trouve en pleine scène de la révolution dans une grande avenue de Paris fait de barricade. Le ciel était surprenant, un soleil couvert par une brume ocre relatant de poussière de terre émanant de la destruction. Les coups de canon était fréquent ainsi que ce même brouhaha d'homme s'affrontant pour la liberté. Sans être réellement effrayé, je découvre sur ma droite un passage, une rue de 5 mètres de largeur entre 2 grands bâtiments.
Je me suis engagé dans cette voie donnant sur une cour plus ou moins triangulaire. entouré de bâtiment. Sur cette place, personne sauf un homme sur son cheval blanc. L'endroit était calme, avec quelque chose de très intrigant. Le reflet de cette lumière ocre émanant du soleil se projetait sur une partie de la place mais l'homme au cheval se présentait dans l'ombre du bâtiments, comme si caché de la lumière. Je m'approchais de ce monsieur qui restait à l'arrêt sans bougé sur son cheval. Je réalise alors que cet homme avec son habit bleu, blanc, rouge de général, son chapeau en bicorne et sa cape était tout simplement Napoléon 1er.
En m'approchant de lui, j'avais l'impression qu'il m'attendait. Il descend de son cheval blanc (La couleur du cheval n'avait pas d'éclat, une sorte de blanc cassé), je me retrouve à 50 cm de lui. Face à lui, son visage était ridé. Mon intrigue est là , voila pourquoi je pense de temps à autre à ce rêve. C'est le regard de l'empereur. Ses yeux était sombre, obscure avec juste un éclat du reflet de la lumière. Je ne sais pas vraiment pourquoi, je commence à pleurer comme un môme. Il me regarda, m'a sourit. Je lui dis simplement " Empereur, vous savez, je vous en supplie, faîte attention aux Anglais...." tout en lui tendant ma carte d'identité (ma volonté était de lui faire comprendre que je venais du futur. Sans parler, il acquiesça de la tête avec ce même sourire, un sourire sincère.
Puis, un homme apparu, assez grand, les cheveux court et bouclé habillé d'une tenue d'officier. Il dit simplement "Mon général, il faut y aller maintenant". J'ai aperçue sous les trait de son visage qu'il s'agissait du général Murat, Beau-frère de Napoléon. Lui par contre m'a totalement ignoré sans faire attention à moi. Après lecture, Napoléon me rendit ma carte, ré-haussa son cheval, commença à prendre une posture droite, menton levé, regard sérieux vers l'horizon, sourcil froncé, commença à avancer. Murat le suivit à pied et les deux homme prenant la même direction. Moi, restant sous peine, je n'ai pu regarder ses 2 hommes partir.
Voulant les suivre, ils commença à entrer dans une brume épaisse puis... disparition.
je me réveille ayant la sensation d'être à la fois triste et d'avoir vécu un rêve extraordinaire.
Préférant être clair avec vous, je ne sais pas ce qui est déchiffrable dans cette histoire mais quand j'ai fait ce rêve, je vivais en Angleterre ou j'ai connu quelques déprime a cause de la barrière de la langue et du style de vie anglais (Hé oui, j'étais en stage pour approfondir mon anglais). Il est vrai que je m'étais intéressé à l'Histoire de France, particulièrement à la période Napoléonienne.
Je me permet de revenir vers vous concernant un rêve qui date d'un an, qui m'intrigue de temps à autres :
Je pense par jugement que ce rêve devait être comme d'autres. Je me vois prendre le métro à Paris pour aller je ne sais ou. Le début est très flou, je vois que des couleurs sombres liés aux stations, je me vois seul mais comme si je n'était pas dans mon corps. Lors de mon arrivé que je ne me souvient plus vraiment ou et comment cela s'est passé, je reviens à mes sens, je sors du métro puis je commence à prendre des escaliers. Les couleurs dominantes sur le quai étaient l'obscurité (avec une tendance bleu marine foncé) le plus total avec des lumières blanche au plafond qui était très bizarre. La lumière n'éclairait rien, elle se fondait dans l'obscurité. J'étais calme, serein, la tête rivé vers les escaliers.
Plus je commençais à monter cet escalier droit, plus une lumière jaune ocre s'éclairait et m'éclairait le passage. J'arrivais à un premier niveau (comme plus ou moins dans les métros Rame/station/exterieur), la lumière était totale, jaune clair ocre. les mur était complètement délabré, des gens se distinguaient devant moi habillé au couleur et au tenue de la révolution Française. Le sol n'était plus du béton, ou sorte de dalle. Juste de la terre, un niveau complètement sale, délabré. Des personnes était blessés, assise pare-terre, plein de sang... Un brouaha de discutions, d'organisation et d'entraide était déployé par des hommes probablement armé, peut-être étaient-il des soldats ? Bref, le tableau était en action.
Je continu mon chemin, personne ne faisait attention à moi. plus je sortais de la station du métro, plus la transgression du temps me faisais ramener au passé. J'ai pris les derniers escalier fait en sorte de terre et de pierre sans rampe. Sortant de là , j'avais l'impression que ce n'était pas un métro mais un abris de fortune ou vieux magasin sous terre détruit à l'occasion. Je réalise que je me trouve en pleine scène de la révolution dans une grande avenue de Paris fait de barricade. Le ciel était surprenant, un soleil couvert par une brume ocre relatant de poussière de terre émanant de la destruction. Les coups de canon était fréquent ainsi que ce même brouhaha d'homme s'affrontant pour la liberté. Sans être réellement effrayé, je découvre sur ma droite un passage, une rue de 5 mètres de largeur entre 2 grands bâtiments.
Je me suis engagé dans cette voie donnant sur une cour plus ou moins triangulaire. entouré de bâtiment. Sur cette place, personne sauf un homme sur son cheval blanc. L'endroit était calme, avec quelque chose de très intrigant. Le reflet de cette lumière ocre émanant du soleil se projetait sur une partie de la place mais l'homme au cheval se présentait dans l'ombre du bâtiments, comme si caché de la lumière. Je m'approchais de ce monsieur qui restait à l'arrêt sans bougé sur son cheval. Je réalise alors que cet homme avec son habit bleu, blanc, rouge de général, son chapeau en bicorne et sa cape était tout simplement Napoléon 1er.
En m'approchant de lui, j'avais l'impression qu'il m'attendait. Il descend de son cheval blanc (La couleur du cheval n'avait pas d'éclat, une sorte de blanc cassé), je me retrouve à 50 cm de lui. Face à lui, son visage était ridé. Mon intrigue est là , voila pourquoi je pense de temps à autre à ce rêve. C'est le regard de l'empereur. Ses yeux était sombre, obscure avec juste un éclat du reflet de la lumière. Je ne sais pas vraiment pourquoi, je commence à pleurer comme un môme. Il me regarda, m'a sourit. Je lui dis simplement " Empereur, vous savez, je vous en supplie, faîte attention aux Anglais...." tout en lui tendant ma carte d'identité (ma volonté était de lui faire comprendre que je venais du futur. Sans parler, il acquiesça de la tête avec ce même sourire, un sourire sincère.
Puis, un homme apparu, assez grand, les cheveux court et bouclé habillé d'une tenue d'officier. Il dit simplement "Mon général, il faut y aller maintenant". J'ai aperçue sous les trait de son visage qu'il s'agissait du général Murat, Beau-frère de Napoléon. Lui par contre m'a totalement ignoré sans faire attention à moi. Après lecture, Napoléon me rendit ma carte, ré-haussa son cheval, commença à prendre une posture droite, menton levé, regard sérieux vers l'horizon, sourcil froncé, commença à avancer. Murat le suivit à pied et les deux homme prenant la même direction. Moi, restant sous peine, je n'ai pu regarder ses 2 hommes partir.
Voulant les suivre, ils commença à entrer dans une brume épaisse puis... disparition.
je me réveille ayant la sensation d'être à la fois triste et d'avoir vécu un rêve extraordinaire.
Préférant être clair avec vous, je ne sais pas ce qui est déchiffrable dans cette histoire mais quand j'ai fait ce rêve, je vivais en Angleterre ou j'ai connu quelques déprime a cause de la barrière de la langue et du style de vie anglais (Hé oui, j'étais en stage pour approfondir mon anglais). Il est vrai que je m'étais intéressé à l'Histoire de France, particulièrement à la période Napoléonienne.