Merci Cyclopea!
En disant que vos réponses étaient les plus détaillées je pensais pas vraiment a la longueur du texte mais plutôt au fait que vous traitez toujours tout ce qui constitue le rêve partie par partie, en tout cas, j'adore vos explications et c'est toujours un plaisir de vous lire
!
C'est quoi une astralité solaire ou ascendante?
Je n'aimerais pas abuser de votre temps mais il y pas longtemps j'ai encore rêvé que je cassais le crâne a quelqu'un et je me demandais s'il y avait peut être un lien ou s'il s'agit d'une coïncidence...
Ce rêve et plutôt long et je comprendrais si vous n'avez pas l'occasion d'y répondre, je tente quand même:
J'étais chez moi (c'était pas vraiment chez moi mais dans le rêve je me sentais chez moi), en allant me coucher, donc c'était très sombre, dans la chambre il y avait un lit matrimonial, il y avait quelqu'un dans le lit, je le voyais pas, mais je trouvais ça normal, c'était comme si j'étais en couple et que c'était une routine. Mais il était sombre et, je sais pas pourquoi, je suspectait que ce n'était pas mon supposé compagnon, pour vérifier si c'était lui je me suis rapprochée et on s'est embrassés. J'avais toujours le doute, d'un coup, je me suis levée et j'ai réalisé que c'était un assassin venu pour me tuer. Je l'ai vu sortir couteau et je me suis mise a courir en essayant de m'échapper, j'ai supposé que vu qu'il avait des couteaux je ne pourrais pas me défendre. En essayant de m'échapper, toujours dans la maison sombre, j'ai croisé mon grand frère et je lui ait dit qu'un assassin me poursuivait et qu'il essayait de me tuer, mon frère restait super calme (ce qui correspond beaucoup a sa personnalité), il m'a demandé pourquoi je ne l'arrêtait pas, je lui expliqué qu'il était armé, ce a quoi il a répondu: "et alors?", j'ai essayé de me justifier mais j'ai senti que l'assassin arrivait, et je sais pas comment j'ai fait, mais je l'ai pris par surprise et je lui ai fait jeter son couteau et lui ait pris par derrière, il a ressorti a peu près quatre couteaux dans chaque main mais je l'ai jeté face contre terre et en écrasant ses mains avec mes pieds j'ai réussi a tout lui faire lâcher. Je pensais que si je le laissait partir il essayerait de me tuer a nouveau, j'ai donc commencé a lui frapper la tête contre le sol pour le tuer, j'essayais de lui casser le crâne contre le sol, pour moi, c'était la seule façon qu'il meure. Mais l'idée de lui partir le crâne me dégoutait, et je pouvait pas vraiment me résoudre a le tuer, lui enlever la vie... Pourtant, je continuais, je lui cognais et cognais la tête contre le sol, mais pas avec la force que je savais nécessaire pour le tuer. Après quelques fois de plus, j'ai supposé qu'il était mort, je l'ai laissé par terre sans bien regarder son visage.
D'un coup, j'étais dehors avec un groupe de gens et quelques jeunes, le temps était nuageux, de jour, on se trouvait comme sur un îlot, mais sur un grand rocher au-dessus de la mer avec quelques boutiques (Maintenant que j'y repense, ça ressemble un peu a Monaco). Entre le jeunes, il y avait la personne qui avait essayé de me tuer, je savais que c'était lui, il n'était pas blessé, il avait même l'air en forme, mais il ne me regardais pas, comme s'il avait honte de ce qu'il avait essayé de faire car il savait que je l'avais reconnu et essayait de m'éviter. Un orage s'annonçait, un énorme orage, et tout ce qui ne serait pas mis a l'abri allait être ravagé, le temps commençait déjà a s'obscurcir et un de la pluie très fine tombait, il fallait se réfugier vite, car même si nous étions en hauteur les vagues allaient être énormes et nous tueraient. Donc, j'ai conduit a tout ce monde chez moi, ça n'avait rien avoir avec la première maison, celle-là était plus moderne et bien plus luxueuse, il y avait des grands canapés de coin des grands tapis et surtout des grands espaces ou circuler, tout était blanc et magnifique, bien illuminée, la maison avait trois étages et était juste contre la mer, d'ailleurs le mur qui donnait sur la mer était entièrement vitré. Les vagues se frappaient contre la vitre, elles étaient énormes et les recouvraient entièrement, le spectacle pouvait être assez effrayant, mais je savais qu'on était a l'abri dans cette maison et que rien ne pourrait casser ces vitres. Par contre, des personnes qui étaient rentrées chez moi, maintenant, la plupart étaient des enfants, il y en avait comme une trentaine, ils s'étaient tous resserrés les uns contre les autres et avaient très peur, je leur ai dit que tout allait bien se passer et qu'il n'y avait rien a craindre. Je me suis rendue compte qu'ils étaient tous de la même famille, l'assassin aussi. Il m'a dit qu'ils n'avaient nul part où aller, que pour l'instant ça allait, mais qu'ils ne pourraient pas survivre a une autre tempête. J'ai réalisé que s'il avait fait ce qu'il a fait dans l'autre maison en essayant de me tuer c'est parce qu'il n'avait pas d'autre choix pour gagner assez d'argent pour aider sa famille, et je crois que je suis tombée amoureuse de lui a ce moment là . Je leur ait dit qu'ils pourraient rester aussi longtemps qu'ils le voudraient, qu'il y avait assez d'espace pour tous, il n'y avait pas assez de lits mais qu'ils pouvaient dormir sur les canapés et a la limite sur le tapis, que c'était mieux que dormir dans la rue. Je l'ai regardé et lui ai dit qu'il n'avait pas de quoi s'en faire et que j'allais les aider. Il m'a regardé et il a tout de suite compris que je lui disait ça pour qu'il arrête ce travail qu'il faisait vraisemblablement a contrecœur et que j'avais vraiment l'intention de l'aider avec sa famille. Je ne lui ai pas dit tout ça parce que j'étais tombée amoureuse de lui mais parce que je ne pouvais pas permettre de laisser tout ces enfants a la rue. Puis je me suis réveillée.
Je sais que c'est très long, mais je trouve ça très énigmatique, surtout qu'il y a pas mal de similitudes avec le rêve de l'ours, même si cette fois c'est moi qui l'attrape par derrière et je ne le tue pas...
Merci tout de même pour toute cette attention et si vous trouvez le temps de m'aider avec ce rêve je vous en serait très reconnaissante.