Rêve de meurtres
Publié : 11 nov. 2012, 12:35
Bonjour, je viens de passer une nuit très étrange ...
J'étais "enfermée" en groupe dans un lieu très grand, fait en "verre", avec une piscine et une cuisine, avec tables et chaises immense au premier étage, puis deux ascenseur, menant à des étages supérieurs avec des mezzanines.
Il y avait une sorte de lutte pour sortir de cette endroit, et on était "obligé" de tuer des gens : ceux qui nous empechaient de sortir ? Puis, ceux qui avaient vu qu'on avait tué et donc allaient nous dénoncer.
Je ne me souviens plus des moments où je tuais, ni comment, quelle arme ? je me souviens juste de tonnes de corps pleins de sangs, que j'étais obligée de jeter depuis les mezzanine en bas, pour pouvoir accéder aux portes des ascenseurs, souvent fermées, bloquées.
J'avais un sentiment de "oh non, pas encore des morts", melé à de la honte, mais pas le choix.
Il y a eu un chien à un moment donné, de type "mini labrador" très mignon, que j'ai pris dans mes bras et caliné en me disant "bon j'aurai au moins le chien à aimer", vu que tout le monde devait être tué autour.
Un sac avec mes vêtements, qui restait constamment ouvert était caché, et j'avais toujours en tête de "une fois que j'aurai trouvé comment sortir, il va falloir aller chercher le sac, il ne faut pas oublier le sac".
Finalement les policiers sont arrivés, sont rentrés, il ne restait plus que moi, et un garçon (inconnu) tout le monde était mort, et personne ne m'a prise pour la meurtrière, alors que j'étais morte de trouille, on ne m'a même pas posé de questions, et la j'ai réalisé que les portes des ascenseurs n'étaient plus bloquées mais ouvertes. J'ai été chercher mon sac de vêtements pour partir, et là un monsieur à visage avec des traits très grossiers, boursouflés, brun mais vieux et gros (apparence de vieux monsieur alcoolique repoussant) est arrivé alors que moi et le garçon inconnu quittions le lieux (pendant que les policiers retrouvaient les tonnes de corps ensanglantés et enquêtaient sur ce qu'il avait pu se passer, il y avait aussi énormément de gens, regroupés devant le lieux qui regardaient et attendaient, curieux, de type grosse manifestation).
La j'ai su que le gros monsieur savait, que j'avais tué des gens, m'avait aidé, et il m'a souris l'air de dire je sais, et j'étais super mal, parce que 1. je le trouvais repoussant 2. quelqu'un était au courant et savait (contrairement aux policiers et à tous les autres) que je n'étais pas innocente.
Je me suis réveillée.
Je suis une étudiante de 23 ans ...
J'étais "enfermée" en groupe dans un lieu très grand, fait en "verre", avec une piscine et une cuisine, avec tables et chaises immense au premier étage, puis deux ascenseur, menant à des étages supérieurs avec des mezzanines.
Il y avait une sorte de lutte pour sortir de cette endroit, et on était "obligé" de tuer des gens : ceux qui nous empechaient de sortir ? Puis, ceux qui avaient vu qu'on avait tué et donc allaient nous dénoncer.
Je ne me souviens plus des moments où je tuais, ni comment, quelle arme ? je me souviens juste de tonnes de corps pleins de sangs, que j'étais obligée de jeter depuis les mezzanine en bas, pour pouvoir accéder aux portes des ascenseurs, souvent fermées, bloquées.
J'avais un sentiment de "oh non, pas encore des morts", melé à de la honte, mais pas le choix.
Il y a eu un chien à un moment donné, de type "mini labrador" très mignon, que j'ai pris dans mes bras et caliné en me disant "bon j'aurai au moins le chien à aimer", vu que tout le monde devait être tué autour.
Un sac avec mes vêtements, qui restait constamment ouvert était caché, et j'avais toujours en tête de "une fois que j'aurai trouvé comment sortir, il va falloir aller chercher le sac, il ne faut pas oublier le sac".
Finalement les policiers sont arrivés, sont rentrés, il ne restait plus que moi, et un garçon (inconnu) tout le monde était mort, et personne ne m'a prise pour la meurtrière, alors que j'étais morte de trouille, on ne m'a même pas posé de questions, et la j'ai réalisé que les portes des ascenseurs n'étaient plus bloquées mais ouvertes. J'ai été chercher mon sac de vêtements pour partir, et là un monsieur à visage avec des traits très grossiers, boursouflés, brun mais vieux et gros (apparence de vieux monsieur alcoolique repoussant) est arrivé alors que moi et le garçon inconnu quittions le lieux (pendant que les policiers retrouvaient les tonnes de corps ensanglantés et enquêtaient sur ce qu'il avait pu se passer, il y avait aussi énormément de gens, regroupés devant le lieux qui regardaient et attendaient, curieux, de type grosse manifestation).
La j'ai su que le gros monsieur savait, que j'avais tué des gens, m'avait aidé, et il m'a souris l'air de dire je sais, et j'étais super mal, parce que 1. je le trouvais repoussant 2. quelqu'un était au courant et savait (contrairement aux policiers et à tous les autres) que je n'étais pas innocente.
Je me suis réveillée.
Je suis une étudiante de 23 ans ...