mes 4 rêves
Publié : 06 janv. 2007, 14:54
Rêve N°1
Je suis à dans un jardin public avec des arbres en fleur. Je sens une goutte d'eau me tomber dessus.
Je me souviens que je dois rappeler le numéro d'appel en absence reçu sur mon portable pour vérifier si c'est pour la demande d'emploi que j'ai déposée dans un journal.
Et puis tout d'un coup je me retrouve en train de monter un escalier qui ressemble presque à une échelle tant elle est raide et étroite. La montée est plus qu'ardue.
Mon portable sonne. La personne qui m'appelle est étonnée et me pose la question « Comment faites-vous pour être toujours au téléphone quand je vous appelle ? Ou bien est-ce que vous êtes restée tout le temps dans ce jardin public? » Je lui réponds que c'est un portable.
Rêve N°2
Je continue à devoir monter l'escalier étroit. C'est comme une sorte de concours et des personnes de nationalité étrangère doivent donner le départ. Mais à chaque fois que je me présente au départ, il n'y a jamais personne. J'avoue avoir peur de monter l'escalier et ces absences me soulagent car elles remettent à plus tard mon épreuve.
Finalement je me décide à y aller toute seule. L'escalier devient alors un mur fait uniquement de carreaux de miroir. Je commence à monter. Pour cela je me tiens à une corde d'une main et de l'autre je tâte la surface du miroir. Je trouve comme une sorte de petite poche en tissu dans laquelle je glisse un pied. Je refais de même avec l'autre pied en me disant qu'à cette allure je n'arriverai jamais en haut et en me demandant si tous les autres concurrents avaient éprouvé la même difficulté pour fixer leurs pieds.
J'essaie alors de monter mais sans plus utiliser ma main pour trouver les poches en tissu. Je tâte directement avec mes pieds et en forçant un peu j'arrive à y mettre les pieds.
Et puis soudain, le carreau de miroir sur lequel je me trouve se met à basculer ce qui me projette sur le carreau supérieur suivant. Et tout devient facile car mes pieds s'emboîtent naturellement dans les poches en tissu. Et je continue à basculer et à monter avec légèreté, facilité et une très grande vitesse. La sensation est magique. Je ne suis plus qu'à 2 carreaux du haut du mur quand je me rends compte que dans mes mouvements d'ascension j'entraîne avec moi des carreaux de miroir. Je freine un peu mon ardeur car j'ai peur que le poids des miroirs ne me fasse tomber.
Rêve N°3
J'ai 2 bonnes et une 3ème est arrivée. Je ne veux en garder qu'une car je constate qu'elles ne font presque rien. J'essaie d'emmener la dernière arrivée dans un endroit où les autres ne peuvent pas nous entendre tout en lui expliquant ce que j'attends de sa façon de travailler. Je la questionne en même temps sur la manière dont elle passe ses journées chez elle et ici. Nous continuons à nous déplacer dans la maison pour éviter les oreilles indiscrètes. Nous nous retrouvons dans la cour où il y a beaucoup d'enfants qui jouent. Je leur dis de partir. La bonne devient soudain un gros nain tout noir avec de grands yeux blancs. Je me demandais alors si j'allais la garder ?
Rêve N°4
La maison est ensoleillée et très belle, les chambres sont gaies (jaune, orange, etc.. je veux dire avec toutes les couleurs de Provence) mais à la fois aussi intime. Le jardin aussi est beau. Il y a de l'herbe, des fleurs. Beaucoup d'enfants y jouent avec mes propres enfants en particulier Jérémie le fils de Titi (Titi est un ancien associé de mon mari qui lui a volé son projet de monter une compagnie et il en a fait son propre projet qui a commencé son exploitation fin décembre 2007. Dans ce rêve mes enfants sont redevenus des enfants de 7, 8 ans et donc tout le monde a rajeuni même les deux sœurs qui vont arriver). La maison a beaucoup de chambres, les enfants vont y dormir. Arrive une voiture genre minibus bleu-marine. Mon mari regarde par la fenêtre puis me dit : « c'est Marie » (une amie de classe). Je sors pour l'accueillir. Elle a un bébé dans les bras. Je lui demande « comment as-tu trouvé où se trouvait notre maison ? » Elle répond « je suis venue avec ma sœur « Jeanne ». Cette dernière est aussi avec son bébé. Marie me dit : « j'ai un truc à vous livrer ». C'est un grand carton.
Tout le monde rentre à la maison. On papote un peu. On se demande un peu les nouvelles depuis toutes les années qu'on ne s'est pas vu (presque 30 ans). Jeanne et Marie se promènent un peu dans toute la maison.
Je me sens un peu débordée par tout ce monde. Je demande à ma mère (qui est déjà décédée) comment faire pour le repas. Elle me suggère de faire des courgettes avec la viande de bœuf que j'ai en quantité dans le congélateur. On commence à regarder s'il y a assez de légumes. Les deux sœurs proposent alors aussi d'autres choses qu'elles ont amenées et Jeanne se met en même temps à faire la vaisselle pour dégager un peu la cuisine pendant qu'on prépare le repas. Elle me demande à quoi servaient tous les matelas entreposés dans l'entrée. J'ai répondu que c'était pour faire dormir les enfants.
Je suis à dans un jardin public avec des arbres en fleur. Je sens une goutte d'eau me tomber dessus.
Je me souviens que je dois rappeler le numéro d'appel en absence reçu sur mon portable pour vérifier si c'est pour la demande d'emploi que j'ai déposée dans un journal.
Et puis tout d'un coup je me retrouve en train de monter un escalier qui ressemble presque à une échelle tant elle est raide et étroite. La montée est plus qu'ardue.
Mon portable sonne. La personne qui m'appelle est étonnée et me pose la question « Comment faites-vous pour être toujours au téléphone quand je vous appelle ? Ou bien est-ce que vous êtes restée tout le temps dans ce jardin public? » Je lui réponds que c'est un portable.
Rêve N°2
Je continue à devoir monter l'escalier étroit. C'est comme une sorte de concours et des personnes de nationalité étrangère doivent donner le départ. Mais à chaque fois que je me présente au départ, il n'y a jamais personne. J'avoue avoir peur de monter l'escalier et ces absences me soulagent car elles remettent à plus tard mon épreuve.
Finalement je me décide à y aller toute seule. L'escalier devient alors un mur fait uniquement de carreaux de miroir. Je commence à monter. Pour cela je me tiens à une corde d'une main et de l'autre je tâte la surface du miroir. Je trouve comme une sorte de petite poche en tissu dans laquelle je glisse un pied. Je refais de même avec l'autre pied en me disant qu'à cette allure je n'arriverai jamais en haut et en me demandant si tous les autres concurrents avaient éprouvé la même difficulté pour fixer leurs pieds.
J'essaie alors de monter mais sans plus utiliser ma main pour trouver les poches en tissu. Je tâte directement avec mes pieds et en forçant un peu j'arrive à y mettre les pieds.
Et puis soudain, le carreau de miroir sur lequel je me trouve se met à basculer ce qui me projette sur le carreau supérieur suivant. Et tout devient facile car mes pieds s'emboîtent naturellement dans les poches en tissu. Et je continue à basculer et à monter avec légèreté, facilité et une très grande vitesse. La sensation est magique. Je ne suis plus qu'à 2 carreaux du haut du mur quand je me rends compte que dans mes mouvements d'ascension j'entraîne avec moi des carreaux de miroir. Je freine un peu mon ardeur car j'ai peur que le poids des miroirs ne me fasse tomber.
Rêve N°3
J'ai 2 bonnes et une 3ème est arrivée. Je ne veux en garder qu'une car je constate qu'elles ne font presque rien. J'essaie d'emmener la dernière arrivée dans un endroit où les autres ne peuvent pas nous entendre tout en lui expliquant ce que j'attends de sa façon de travailler. Je la questionne en même temps sur la manière dont elle passe ses journées chez elle et ici. Nous continuons à nous déplacer dans la maison pour éviter les oreilles indiscrètes. Nous nous retrouvons dans la cour où il y a beaucoup d'enfants qui jouent. Je leur dis de partir. La bonne devient soudain un gros nain tout noir avec de grands yeux blancs. Je me demandais alors si j'allais la garder ?
Rêve N°4
La maison est ensoleillée et très belle, les chambres sont gaies (jaune, orange, etc.. je veux dire avec toutes les couleurs de Provence) mais à la fois aussi intime. Le jardin aussi est beau. Il y a de l'herbe, des fleurs. Beaucoup d'enfants y jouent avec mes propres enfants en particulier Jérémie le fils de Titi (Titi est un ancien associé de mon mari qui lui a volé son projet de monter une compagnie et il en a fait son propre projet qui a commencé son exploitation fin décembre 2007. Dans ce rêve mes enfants sont redevenus des enfants de 7, 8 ans et donc tout le monde a rajeuni même les deux sœurs qui vont arriver). La maison a beaucoup de chambres, les enfants vont y dormir. Arrive une voiture genre minibus bleu-marine. Mon mari regarde par la fenêtre puis me dit : « c'est Marie » (une amie de classe). Je sors pour l'accueillir. Elle a un bébé dans les bras. Je lui demande « comment as-tu trouvé où se trouvait notre maison ? » Elle répond « je suis venue avec ma sœur « Jeanne ». Cette dernière est aussi avec son bébé. Marie me dit : « j'ai un truc à vous livrer ». C'est un grand carton.
Tout le monde rentre à la maison. On papote un peu. On se demande un peu les nouvelles depuis toutes les années qu'on ne s'est pas vu (presque 30 ans). Jeanne et Marie se promènent un peu dans toute la maison.
Je me sens un peu débordée par tout ce monde. Je demande à ma mère (qui est déjà décédée) comment faire pour le repas. Elle me suggère de faire des courgettes avec la viande de bœuf que j'ai en quantité dans le congélateur. On commence à regarder s'il y a assez de légumes. Les deux sœurs proposent alors aussi d'autres choses qu'elles ont amenées et Jeanne se met en même temps à faire la vaisselle pour dégager un peu la cuisine pendant qu'on prépare le repas. Elle me demande à quoi servaient tous les matelas entreposés dans l'entrée. J'ai répondu que c'était pour faire dormir les enfants.