Bon Jour "Chris67", bienvenue parmi nous.
La déontologie psychanalitique veut que personne ne saurait être le 'facteur/trice' d'un rêveur. Ici d'autant plus que celui dont vous parlez a 21 ans (largement majeur civilement et politiquement).
Le titre de votre interrogation ICI, s'appelle VIOLENCE.
Je vais me permettre de vous poser une question où il n'est pas nécessaire que vous répondiez ICI. 'Pourquoi pensez-vous que votre fils ait besoin de vous confier ce type de 'récits' à son âge
(Vit-il chez vous, avec vous - autant d'interrogations importantes)
*** Naurait-il pas besoin, ne tente-t-il pas de vous parler de ses malaises et de ses actions réelles. Comment parler de SOI, sinon par métaphores pour tenter d'être entendu
Apparemment cet adulte qui est votre fils semble solliciter un seccours, car il s'enfoncerait de + en + dans un chemin préjudiciable.
@ Intersubjetif (le retour
) l'homme a une nature turgescente qu'il convient d'analyser, pas à l'aune de simplifications.
@Chris67, faites en sorte - si vous le pouvez - d'inviter votre fils ADULTE à confier ses propres rêves, SANS INTERMEDIAIRE, ici ou ailleurs. Je vous explique pourquoi :
° Nos rêves sont nébuleux et étranges, pour la plupart d'entre-nous, car ils sont composites. Le fait même de les raconter, soi, contient déjà une INTERPRETATION. Alors imagninez l'histoire de l'Homme qui a vu l'ours et qui aurait vu l'ours... Tout récit d'origine se trouve modifié/atomisé par notre propre écrit, qui plus est encore par une transmission : chacun a un mode d'expression, de langage. Ex : Il y a 20 ans (qui + est 40 ans), les mots, les expressions ne sont/n'étaient pas les mêmes que ceux d'aujourd'hui.
*** Il me semble, voyez-vous, que votre ADULTE de fils, tente de vous dire quelque chose de sa vie quotidienne. Il teste vos réactions.
Interrogez-vous. cela dit très cordialement vôtre.