Une araignée pendu au plafond
Publié : 30 mars 2013, 00:40
Comme je l'ai dit dans ma présentation j'ai cessé de faire des rêves assez tôt dans mon enfance.
Mes nuits étaient bien souvent peuplée de cauchemars et la majorité de mes rêves ne se finissait jamais bien.
Et pire encore, il m'arrivait de faire des cauchemars éveillé, quasiment des hallucinations quoi...
Bref, il ne s'agira pas d'un de ces derniers, mais plutôt un qui à l'époque m'avait beaucoup marqué.
Je ne sais pas comment j'ai pu rêver de ça sachant que je ne m'approchais pas des films d'horreur à l'époque et regardais quasiment pas la télé.
[i]Dans un lieu rouge sang, envahit par une fumée opaque et noir, deux enfants, une fille (mon coup de coeur de la mater [oui c'est vieux]) et un garçons (moi) apeurés, se tenant par la mains et ne cessant de regarder en arrière cours à perdre haleine.
Un terrifiant personnages les talonnes, sans se presser, sans courir, juste en marchant, mais sans jamais les perdre et se rapprochant inexorablement.
Il est attiré par le sang qui coulent dans leurs veines. Un vampire et de la pire espèce, celle qui s'en prend aux enfants.
Le teint blême, les yeux rougis, des cicatrices aux visages, un rictus démoniaque...
Mais le plus marquant dans tout cela, c'est son front, du moins sont absence de front.
A la place, un trou béant, avec la peau et le squelette restant pourri laissant apparaître son cerveau.
Au sommet de ce trou, à la naissance des cheveux se tient une araignée.
et pendant que les enfants courent, pendant que le vampire s'approche de plus en plus, cette dernière, attaché par un fil, descend le long du front, le long du trou, encore plus lentement que le vampire, millimètre par millimètre.
Au moment même ou le vampire saisis les enfants, l'araignée arrivait au centre de ce trou et ces deux petits crocs viennent se planter dans le cerveau à nu du vampire.
Instantanément le vampire se raidissait et succombait à cette morsure.
Et c'est à ce moment, terrifié, en sueur que je me réveillais.[/i]
Voila merci de votre aide, et désolé pour les âmes sensibles.
c'est la première fois que je le raconte dans son intégralité, et j'avoue que ça me fait une boule dans l'estomac...
Mes nuits étaient bien souvent peuplée de cauchemars et la majorité de mes rêves ne se finissait jamais bien.
Et pire encore, il m'arrivait de faire des cauchemars éveillé, quasiment des hallucinations quoi...
Bref, il ne s'agira pas d'un de ces derniers, mais plutôt un qui à l'époque m'avait beaucoup marqué.
Je ne sais pas comment j'ai pu rêver de ça sachant que je ne m'approchais pas des films d'horreur à l'époque et regardais quasiment pas la télé.
[i]Dans un lieu rouge sang, envahit par une fumée opaque et noir, deux enfants, une fille (mon coup de coeur de la mater [oui c'est vieux]) et un garçons (moi) apeurés, se tenant par la mains et ne cessant de regarder en arrière cours à perdre haleine.
Un terrifiant personnages les talonnes, sans se presser, sans courir, juste en marchant, mais sans jamais les perdre et se rapprochant inexorablement.
Il est attiré par le sang qui coulent dans leurs veines. Un vampire et de la pire espèce, celle qui s'en prend aux enfants.
Le teint blême, les yeux rougis, des cicatrices aux visages, un rictus démoniaque...
Mais le plus marquant dans tout cela, c'est son front, du moins sont absence de front.
A la place, un trou béant, avec la peau et le squelette restant pourri laissant apparaître son cerveau.
Au sommet de ce trou, à la naissance des cheveux se tient une araignée.
et pendant que les enfants courent, pendant que le vampire s'approche de plus en plus, cette dernière, attaché par un fil, descend le long du front, le long du trou, encore plus lentement que le vampire, millimètre par millimètre.
Au moment même ou le vampire saisis les enfants, l'araignée arrivait au centre de ce trou et ces deux petits crocs viennent se planter dans le cerveau à nu du vampire.
Instantanément le vampire se raidissait et succombait à cette morsure.
Et c'est à ce moment, terrifié, en sueur que je me réveillais.[/i]
Voila merci de votre aide, et désolé pour les âmes sensibles.
c'est la première fois que je le raconte dans son intégralité, et j'avoue que ça me fait une boule dans l'estomac...