Rêve de fuite avec entractes
Publié : 08 mai 2013, 20:28
Voici un autre rêve très perturbant, et des plus étranges parce qu'il développe une histoire tout en étant intercalé de scénettes...
Je suis dans une pièce rouge au fond d'une entreprise. Celle fondée avec mon fiancé. Les murs sont rouges et le soleil dehors laisse filtrer sa lumière. La pièce, celle du fond dans laquelle je suis, est totalement vide, mais je vois un support à ma gauche avec un PC portable et une visio' skype avec mon conjoint.. En face, une porte qui mène vers l'extérieur est ouverte et laisse transparaître un peu de gazon, des arbres au fond, et un temps vraiment magnifique. Je lui parle à travers le pc. Un homme rentre par la porte de derrière et m'adresse la parole. Je ne me souviens plus de ce qu'il a dit mais je me retrouve en train de me débattre sous lui. Il me viole. Mon ami est toujours en ligne avec la vidéo skype, mais je ne l'entends pas. Je le frappe et arrive après quelques minutes à l'assomer. Je m'enfuis.
Je sors par la porte de derrière et arrive dans mon village, dans la rue devant chez moi. C'est l'aube et il fait relativement nuit même si on commence à voir correctement. Je cours le plus vite possible jusqu'en haut de ma rue, et continue vers la sortie du village. Un jeune homme que je ne connais pas me dit qu'il peut m'aider à fuir. Il m'emmène vers la voiture de son grand frère, garée quelques mètres plus loin ; une petite Renault bleu vif, propre et neuve. Nous montons et il démarre.
Le trajet commence par un demi-tour. Le soleil s'est levé et on voit des gens qui commencent à sortir.Devant chez moi la police, mes parents et mon frère, puis mon conjoint, qui discutent en se demandant où je suis. Je décidé, culpabilisant un peu, de lui envoyer un sms pour lui dire que je suis en sécurité. Pas de réponse. Nous roulons vers un village tout proche, et il fait toujours très beau. On me dit que l'on m'emène à l'hôpital à Dijon et qu'on rentre. Sur le trottoir, je rencontre un ami (l'ex d'Amandine) et demande à descendre pour le saluer.
Je descends donc de la voiture et vais saluer Loïc. Je lui explique ce que je fais là et lui désigne la voiture. Mais elle est déà repartie et bientôt je ne la vois plus. Nous marchons un peu et il décide de m'emmener à l'hôpital de la ville.
Blanc. Je suis Samus et je me vois à la troisième personne, de très haut. Je suis sur une autoroute enneigée et vide, dans les sapins, et je roule seule sur une moto, très vite. Je prends des routes au hasard.
Retour avec Loïc dans la ville. Il me dit qu'il doit passer faire quelques courses avant de me conduire au urgences. Nous nous rendons dans une épicerie traditionnelle où on croise ma grand mère. Je la salue. Le temps passe lentement et je ne sais pas où est l'hôpital. Agacée d'attendre, je décide de sortir et descends le chemin jusqu'à la rue principale.
Blanc. Retour avec Samus sur l'autoroute des neiges. J'erre sur les voies, sans aucune signalisation, jusqu'au moment où j'arrive sur une colline. Plus de neige mais des circuits électriques se distinguent sur la route. Une sorte de boule-armure m'entoure et me guide en haut de la colline.
Noir. Je me retrouve dans une pièce toute en pierre, pleine de poussière et plongée dans le noir, avec une ancienne fenêtre qui filtre un peu de lumière. A ma droite une statue de marbre, représentant la déesse grecque de la victoire. Je m'en approche pour l'observer. Je marche sur une dalle qui s'enfonce légèrement dans le sol.
Une voix féminine se fait entendre. C'est une voix douce et paisible. Mes yeux s'habituent à la luminosité de la pièce et alors que la femme parle du haut moyen-âge et de la renaissance anglicane, de lourds rideaux de pourpre s'ouvrent. On ne voit pas grand chose. J'arrive à distinguer derrière les rideaux des cercueils de bois, scellés mais pas du tout poussiéreux. Je décide d'explorer la pièce.
Je passe ma main le long des murs, de la pièce, faute de voir beaucoup. La voix m'explique qui abritent les cercueils, et me dit qu'ils sont triés selon les époques, les générations. Ce sont des rois et des gens haut-placés. Soudain, ma main croise quelque chose de froid et doux. Une main humaine, une main de femme. Je me tourne et dans une pièce à ma droite, je vois que ce ne sont plus des cercueils, mais des corps nus. Conservés comme s'ils étaient encore vivants. Mais ce sont des morts. Prise de panique, je décide de m'enfuir mais impossible de trouver une sortie.
Blanc. Retour rapide sur la colline de l'autoroute enneigée, puis sur le sanctuaire. Je vois une porte style Stargate et la prend. Retour sur l'autoroute.
J'arrive sur une plateforme métallique. Je suis Pikachu. En face de moi une sorte de Donkey Kong jaune et rouge. Combat que je perds malgré mon acharnement.
Je me réveille.
Je suis dans une pièce rouge au fond d'une entreprise. Celle fondée avec mon fiancé. Les murs sont rouges et le soleil dehors laisse filtrer sa lumière. La pièce, celle du fond dans laquelle je suis, est totalement vide, mais je vois un support à ma gauche avec un PC portable et une visio' skype avec mon conjoint.. En face, une porte qui mène vers l'extérieur est ouverte et laisse transparaître un peu de gazon, des arbres au fond, et un temps vraiment magnifique. Je lui parle à travers le pc. Un homme rentre par la porte de derrière et m'adresse la parole. Je ne me souviens plus de ce qu'il a dit mais je me retrouve en train de me débattre sous lui. Il me viole. Mon ami est toujours en ligne avec la vidéo skype, mais je ne l'entends pas. Je le frappe et arrive après quelques minutes à l'assomer. Je m'enfuis.
Je sors par la porte de derrière et arrive dans mon village, dans la rue devant chez moi. C'est l'aube et il fait relativement nuit même si on commence à voir correctement. Je cours le plus vite possible jusqu'en haut de ma rue, et continue vers la sortie du village. Un jeune homme que je ne connais pas me dit qu'il peut m'aider à fuir. Il m'emmène vers la voiture de son grand frère, garée quelques mètres plus loin ; une petite Renault bleu vif, propre et neuve. Nous montons et il démarre.
Le trajet commence par un demi-tour. Le soleil s'est levé et on voit des gens qui commencent à sortir.Devant chez moi la police, mes parents et mon frère, puis mon conjoint, qui discutent en se demandant où je suis. Je décidé, culpabilisant un peu, de lui envoyer un sms pour lui dire que je suis en sécurité. Pas de réponse. Nous roulons vers un village tout proche, et il fait toujours très beau. On me dit que l'on m'emène à l'hôpital à Dijon et qu'on rentre. Sur le trottoir, je rencontre un ami (l'ex d'Amandine) et demande à descendre pour le saluer.
Je descends donc de la voiture et vais saluer Loïc. Je lui explique ce que je fais là et lui désigne la voiture. Mais elle est déà repartie et bientôt je ne la vois plus. Nous marchons un peu et il décide de m'emmener à l'hôpital de la ville.
Blanc. Je suis Samus et je me vois à la troisième personne, de très haut. Je suis sur une autoroute enneigée et vide, dans les sapins, et je roule seule sur une moto, très vite. Je prends des routes au hasard.
Retour avec Loïc dans la ville. Il me dit qu'il doit passer faire quelques courses avant de me conduire au urgences. Nous nous rendons dans une épicerie traditionnelle où on croise ma grand mère. Je la salue. Le temps passe lentement et je ne sais pas où est l'hôpital. Agacée d'attendre, je décide de sortir et descends le chemin jusqu'à la rue principale.
Blanc. Retour avec Samus sur l'autoroute des neiges. J'erre sur les voies, sans aucune signalisation, jusqu'au moment où j'arrive sur une colline. Plus de neige mais des circuits électriques se distinguent sur la route. Une sorte de boule-armure m'entoure et me guide en haut de la colline.
Noir. Je me retrouve dans une pièce toute en pierre, pleine de poussière et plongée dans le noir, avec une ancienne fenêtre qui filtre un peu de lumière. A ma droite une statue de marbre, représentant la déesse grecque de la victoire. Je m'en approche pour l'observer. Je marche sur une dalle qui s'enfonce légèrement dans le sol.
Une voix féminine se fait entendre. C'est une voix douce et paisible. Mes yeux s'habituent à la luminosité de la pièce et alors que la femme parle du haut moyen-âge et de la renaissance anglicane, de lourds rideaux de pourpre s'ouvrent. On ne voit pas grand chose. J'arrive à distinguer derrière les rideaux des cercueils de bois, scellés mais pas du tout poussiéreux. Je décide d'explorer la pièce.
Je passe ma main le long des murs, de la pièce, faute de voir beaucoup. La voix m'explique qui abritent les cercueils, et me dit qu'ils sont triés selon les époques, les générations. Ce sont des rois et des gens haut-placés. Soudain, ma main croise quelque chose de froid et doux. Une main humaine, une main de femme. Je me tourne et dans une pièce à ma droite, je vois que ce ne sont plus des cercueils, mais des corps nus. Conservés comme s'ils étaient encore vivants. Mais ce sont des morts. Prise de panique, je décide de m'enfuir mais impossible de trouver une sortie.
Blanc. Retour rapide sur la colline de l'autoroute enneigée, puis sur le sanctuaire. Je vois une porte style Stargate et la prend. Retour sur l'autoroute.
J'arrive sur une plateforme métallique. Je suis Pikachu. En face de moi une sorte de Donkey Kong jaune et rouge. Combat que je perds malgré mon acharnement.
Je me réveille.