Photographe
Publié : 31 janv. 2007, 11:11
Je suis sur un marché, en train de me promener.
Je croise un mannequin accompagné d'une photographe.
Le mannequin est en sous-vêtement (body noir très échancré) alors que la température avoisine les 0 °. Elle tremble de froid.
La photographe s'arrête quand elle me voit et elle me dit qu'elle veut faire des photos de mes jambes. Je lui répond que je suis trop petite mais elle me dit que non, qu'elles sont parfaites et qu'elle veut les photographier.
Je les suis donc sur le marché. J'y croise en majorité des marchands arabes qui font cuire du couscous au lapin.
je m'arrête ensuite devant une échoppe car je vois un ours en massepain.
Je demande au marchand si c'est bien du massepain parce que mon fils n'aime pas ça mais j'aimerai lui acheter cet ours.
Il me dit que c'est bien du massepain et je suis déçue que ça ne soit pas du chocolat, mais je décide de ne pas l'acheter.
Je reviens ensuite chez moi, suivie par la photographe qui s'est, entre-temps, transformée en homme.
Il a l'air handicapé mental et veut m'embrasser et me prendre dans ses bras.
J'ai toutes les peines du monde à le mettre dehors mais j'y arrive et lorsque je parviens à fermer la porte et à fermer à clé, j'entends un grand rire.
Je croise un mannequin accompagné d'une photographe.
Le mannequin est en sous-vêtement (body noir très échancré) alors que la température avoisine les 0 °. Elle tremble de froid.
La photographe s'arrête quand elle me voit et elle me dit qu'elle veut faire des photos de mes jambes. Je lui répond que je suis trop petite mais elle me dit que non, qu'elles sont parfaites et qu'elle veut les photographier.
Je les suis donc sur le marché. J'y croise en majorité des marchands arabes qui font cuire du couscous au lapin.
je m'arrête ensuite devant une échoppe car je vois un ours en massepain.
Je demande au marchand si c'est bien du massepain parce que mon fils n'aime pas ça mais j'aimerai lui acheter cet ours.
Il me dit que c'est bien du massepain et je suis déçue que ça ne soit pas du chocolat, mais je décide de ne pas l'acheter.
Je reviens ensuite chez moi, suivie par la photographe qui s'est, entre-temps, transformée en homme.
Il a l'air handicapé mental et veut m'embrasser et me prendre dans ses bras.
J'ai toutes les peines du monde à le mettre dehors mais j'y arrive et lorsque je parviens à fermer la porte et à fermer à clé, j'entends un grand rire.