Course-poursuite avec un réseau de drogues
Publié : 11 sept. 2013, 15:04
J'ai rêvé que j'étais en face de la mer, il y a deux bateaux (comme les bateaux de pirate) d'un réseau de drogues qui veulent nous tirer dessus (moi et une autre femme). On décide alors de traverser la mer à la nage (j'ai la réflexion que c'est vraiment loin) pour rejoindre une ville. Du coup, au lieu de tirer sur nous, ils décident de tirer sur la faune sauvage habitant sur l'île, à savoir des oiseaux. On se tend dans l'eau pour monter sur une rue de la ville.
Une fois arrivées à la ville, on peut tourner à gauche ou à droite. On prend à gauche puis finalement on revient à droite en espérant qu'ils croient qu'on a pris à gauche.
Puis je me retrouve à voir quelqu'un qui poursuit une femme et quelqu'un d'autre, une autre femme. Du coup, on est repéré. Je ne suis pas encore poursuivie.
Je cours, je trouve un bâtiment et je monte au 7ème et dernier étage. Il y a une porte verte foncée avant la porte menant chez l'habitant. Je frappe, je fais croire que j'ai besoin de boire de l'eau avec le sport que je viens de faire. On est dans la salle de bain. Elle vide un tube de crème pour y mettre de l'eau et me propose de boire par le tube. Sauf qu'il y a encore de la crème qui coule. Elle me dit que malheureusement, elle ne peut pas me passer de l'eau de la cuisine car j'aurais des déchets avec. Je vois un verre jaune-orange accroché au placard de la salle de bain mais il y a une fente en dessous ce qui le rend inutilisable. Alors, je pense à boire directement à l'eau du robinet.
La porte est transparente et je vois que le groupe du réseau de drogue m'attend derrière la porte. Du coup, je cherche une autre sortie, à l'arrière du bâtiment, dans l'appartement. Il faut prendre un pneu puis descendre dessus pour descendre un muret.
A un moment, je me retrouve face au groupe dans la rue qui nous demande à moi et à un homme de les rejoindre dans leur groupe. On leur dit chacun notre tour qu'on préfère cultiver la terre individuellement.
Une femme prend la fuite sur un petit vélo et je crois qu'on la suit en courant.
Une autre fois, je m'enfuis d'un bâtiment avec une femme et on prend encore un pneu sous les fesses pour descendre le muret. On essaye de fabriquer pour chacune, un rouleau avec dessus une planche en alu sur laquelle on s'assoit et qu'on rampe avec les mains. Finalement, avec le stress, je fais mal les choses et on se retrouve avec une seule planche. ça roule très bien et vite.
J'abandonne la planche. J'hésite entre tourner à droite comme le fait la femme ou me cacher dans un coin que j'ai repéré avec 3 murs en béton et un 4ème où il y a une fente pour entrer dans l'endroit. J'avance et je me mets derrière un mur de déchets pour me cacher. Un groupe de jeunes arrive. Plusieurs regardent dans ma direction. J'ai peur qu'un gars du groupe de drogue arrive et suit leur regard. Pour me rassurer, je me dis qu'ils peuvent aussi bien regarder le garçon pas loin de moi.
Un homme du réseau de drogues arrive dans le coin, il m'a repéré, vient me chercher et me dit que tout va bien se passer.
Je m'enfuis, je me retrouve dans un restaurant. Je crois que je suis encore repérée.
Je suis dehors, j'appelle la police au 17 avec un tél portable. Je fais croire au groupe que j'appelle pour le chien marron, poils courts, aux oreilles pointues qu'un homme est en train de maltraiter au loin. Je demande en même temps une équipe de secours. Je me dis que je suis peut-être localisée car il ne me vient pas à l'esprit de donner l'endroit où je suis.
L'homme est très sympa au téléphone. Il me dit qu'il a déjà eu un appel de moi le 3 septembre. Il m'annonce que le prix de 11 euros, ce qui se trouve être le prix de la communication.
Le groupe veut paralyser plusieurs personnes avec une substance blanche. Mais j'arrive à maîtriser par la pensée la machine qui se retourne contre eux et paralyse plusieurs hommes contre un mur. Une voix me dit que c'est bien.
J'avance dans la rue puis je me retrouve avec un homme du groupe et face à deux ambulancières dans son camp qui ont un air diabolique. Une tient un flacon de la forme, taille et texture d'un citron, me dit que c'est de l'eau et me propose d'en boire. Je me méfie. Je m'enfuis quand de dos, une machine à eux m'envoie une substance qui pique la peau.
Réveil.
Merci par avance pour l'aide à l'interprétation.
Une fois arrivées à la ville, on peut tourner à gauche ou à droite. On prend à gauche puis finalement on revient à droite en espérant qu'ils croient qu'on a pris à gauche.
Puis je me retrouve à voir quelqu'un qui poursuit une femme et quelqu'un d'autre, une autre femme. Du coup, on est repéré. Je ne suis pas encore poursuivie.
Je cours, je trouve un bâtiment et je monte au 7ème et dernier étage. Il y a une porte verte foncée avant la porte menant chez l'habitant. Je frappe, je fais croire que j'ai besoin de boire de l'eau avec le sport que je viens de faire. On est dans la salle de bain. Elle vide un tube de crème pour y mettre de l'eau et me propose de boire par le tube. Sauf qu'il y a encore de la crème qui coule. Elle me dit que malheureusement, elle ne peut pas me passer de l'eau de la cuisine car j'aurais des déchets avec. Je vois un verre jaune-orange accroché au placard de la salle de bain mais il y a une fente en dessous ce qui le rend inutilisable. Alors, je pense à boire directement à l'eau du robinet.
La porte est transparente et je vois que le groupe du réseau de drogue m'attend derrière la porte. Du coup, je cherche une autre sortie, à l'arrière du bâtiment, dans l'appartement. Il faut prendre un pneu puis descendre dessus pour descendre un muret.
A un moment, je me retrouve face au groupe dans la rue qui nous demande à moi et à un homme de les rejoindre dans leur groupe. On leur dit chacun notre tour qu'on préfère cultiver la terre individuellement.
Une femme prend la fuite sur un petit vélo et je crois qu'on la suit en courant.
Une autre fois, je m'enfuis d'un bâtiment avec une femme et on prend encore un pneu sous les fesses pour descendre le muret. On essaye de fabriquer pour chacune, un rouleau avec dessus une planche en alu sur laquelle on s'assoit et qu'on rampe avec les mains. Finalement, avec le stress, je fais mal les choses et on se retrouve avec une seule planche. ça roule très bien et vite.
J'abandonne la planche. J'hésite entre tourner à droite comme le fait la femme ou me cacher dans un coin que j'ai repéré avec 3 murs en béton et un 4ème où il y a une fente pour entrer dans l'endroit. J'avance et je me mets derrière un mur de déchets pour me cacher. Un groupe de jeunes arrive. Plusieurs regardent dans ma direction. J'ai peur qu'un gars du groupe de drogue arrive et suit leur regard. Pour me rassurer, je me dis qu'ils peuvent aussi bien regarder le garçon pas loin de moi.
Un homme du réseau de drogues arrive dans le coin, il m'a repéré, vient me chercher et me dit que tout va bien se passer.
Je m'enfuis, je me retrouve dans un restaurant. Je crois que je suis encore repérée.
Je suis dehors, j'appelle la police au 17 avec un tél portable. Je fais croire au groupe que j'appelle pour le chien marron, poils courts, aux oreilles pointues qu'un homme est en train de maltraiter au loin. Je demande en même temps une équipe de secours. Je me dis que je suis peut-être localisée car il ne me vient pas à l'esprit de donner l'endroit où je suis.
L'homme est très sympa au téléphone. Il me dit qu'il a déjà eu un appel de moi le 3 septembre. Il m'annonce que le prix de 11 euros, ce qui se trouve être le prix de la communication.
Le groupe veut paralyser plusieurs personnes avec une substance blanche. Mais j'arrive à maîtriser par la pensée la machine qui se retourne contre eux et paralyse plusieurs hommes contre un mur. Une voix me dit que c'est bien.
J'avance dans la rue puis je me retrouve avec un homme du groupe et face à deux ambulancières dans son camp qui ont un air diabolique. Une tient un flacon de la forme, taille et texture d'un citron, me dit que c'est de l'eau et me propose d'en boire. Je me méfie. Je m'enfuis quand de dos, une machine à eux m'envoie une substance qui pique la peau.
Réveil.
Merci par avance pour l'aide à l'interprétation.