atelier d'artiste
Publié : 30 nov. 2005, 22:37
Quelqu'un peut-il m'aider ?
J'ai fait un rêve cette nuit qui m'intrigue vraiment, en voici la première partie.
Alors que je prenais une marche avec une copine dans les rues de Québec (ville natale de mon père), je remarque des maçons qui font des réparations sur un mur de brique servant à boucher une ancienne porte cochère. En m'approchant, je remarque certains débris qui attirent mon attention dont une toile (peinture) dont je vois le revers, en la retournant, je suis stupéfait de constater que c'est une œuvre de mon père peinte dans sa jeunesse.
Derrière ce mur de brique se cache l'accès d'un atelier d'artiste qui semble avoir été gelé dans le temps. J'y retrouve une foule de peintures achevées ou non, des œuvres dont j'ignorais totalement l'existence. De plus, l'atelier regorge de photographies d'époques montrant des membres de ma famille à différentes époques. Beaucoup montrent des événements marquants du Québec dont une lors de l'échouement du célèbre paquebot Franconia sur les berges de l'àŽle d'Orléans (lieu de résidence de ma famille).
Au milieu des toiles et du matériel d'artiste laissé à l'abandon, je retrouve une petite statuette en or qui tient dans le creux de ma main. Cette dernière représente un chérubin priant. Je la regarde intensément en me demandant à qui elle appartenait. En faisant le tour de l'atelier, je remarque que ce n'est pas le seul objet de valeur. En fait, l'atelier regorge d'objets de valeurs. Lors de la visite d'un antiquaire, ce dernier évalue le petit ange en or à plus de 1 million $, il me confirme aussi la valeur des autres objets (tableaux de Picasso, Miro, objets religieux, etc.). Au cours de cette visite, un étranger (genre scheik arabe), s'infiltre dans l'atelier, je le remarque sans y porter véritablement attention. Ce dernier reviendra dans la seconde partie du récit.
J'ai fait un rêve cette nuit qui m'intrigue vraiment, en voici la première partie.
Alors que je prenais une marche avec une copine dans les rues de Québec (ville natale de mon père), je remarque des maçons qui font des réparations sur un mur de brique servant à boucher une ancienne porte cochère. En m'approchant, je remarque certains débris qui attirent mon attention dont une toile (peinture) dont je vois le revers, en la retournant, je suis stupéfait de constater que c'est une œuvre de mon père peinte dans sa jeunesse.
Derrière ce mur de brique se cache l'accès d'un atelier d'artiste qui semble avoir été gelé dans le temps. J'y retrouve une foule de peintures achevées ou non, des œuvres dont j'ignorais totalement l'existence. De plus, l'atelier regorge de photographies d'époques montrant des membres de ma famille à différentes époques. Beaucoup montrent des événements marquants du Québec dont une lors de l'échouement du célèbre paquebot Franconia sur les berges de l'àŽle d'Orléans (lieu de résidence de ma famille).
Au milieu des toiles et du matériel d'artiste laissé à l'abandon, je retrouve une petite statuette en or qui tient dans le creux de ma main. Cette dernière représente un chérubin priant. Je la regarde intensément en me demandant à qui elle appartenait. En faisant le tour de l'atelier, je remarque que ce n'est pas le seul objet de valeur. En fait, l'atelier regorge d'objets de valeurs. Lors de la visite d'un antiquaire, ce dernier évalue le petit ange en or à plus de 1 million $, il me confirme aussi la valeur des autres objets (tableaux de Picasso, Miro, objets religieux, etc.). Au cours de cette visite, un étranger (genre scheik arabe), s'infiltre dans l'atelier, je le remarque sans y porter véritablement attention. Ce dernier reviendra dans la seconde partie du récit.