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Rêve très imaginaire

Publié : 22 sept. 2014, 16:50
par Isabella.r
Bonjours, mon rêve que j'avais eut qui est très bisard mais qui pourrait m'aider :

C'était dans le village de mon enfance, ma maison était l'endroit de dictature de hitler. Moi j'étais un renard et j'avais deux autre amis renard avec moi. On fuyait de Hitler car il pourchassait tout les renards, on avait peur d'être vu et on se cachait dans les champs. On se mettait la paille par dessus nous pour pas que les soldats d'Hitler nous voit. Puis je voulais aller un peu plus loin dans le champ pour me cacher plus haut, plus loin du danger car on était trop prêt. Je disais a mes deux amis renard de venir mais ils voulaient pas... Je suis partis donc un peu plus loin mais je remarquais il y avait plein de fourmis qui commençais a venir dans le champ, des grandes fourmis noir. J'avançais du coup vers mes amis car ça me dégoûtait enfin je voulais pas me faire piquer puis d'un coup on devait se cachait car des militaires étaient dehors et chercher des renards. Après qu'il sont partis. J'en pouvais plus et voulait fuir mais les deux autres restaient ou ils étaient et ça me rendait très triste, j'avais les larmes aux yeux de les voir au loin. Puis je m'approche dans un autre champ plus loin dans la campagne, et je vois un chien attaché dans un champ pour chasser les renards qui pourrait être de Hitler. Il chassait un cerfs. Puis d'un coup je voit un bonne femme qui me prend et veut me sauver, me cacher. D'un coup j'étais une personne qui prenait le renard vers l'endroit ou la femme habite et j'avais les larmes aux yeux car je pensais aux autre renards qui sont resté la ba dans le danger et pourrait mourir. Je serais fort le renard de tristesse. Puis je suis rentrée dans un petit endroit surveillé par un Elfe et plein de petit lit. Pendant ce temps je suis redevenu le renard, je me suis cachait tout au fond, et j'ai vu que plein de petits elfes filles sortaient de leur cachette et me regardaient avec des grand yeux. Et la femme arrivait et s'occuper de moi, et je pleurais car j'étais si heureuse qu'elle m'a trouvé cette bonne femme si aimable qui m'a sauvé.