Agression
Publié : 13 oct. 2014, 01:59
Bonsoir,
J'écris avec encore un poids sur la poitrine...
Je suis dans un endroit où il y a du monde (apparemment un bowling puisque je le nomme ainsi après).
Je quitte ce lieu avec mon fils. Je descends un chemin en colimaçon et là je vois qu'il y a un contrôle de ticket comme dans le métro (nous sommes à l'extérieur), à la femme qui contrôle mon ticket, je lui dis que je dois aller chercher mes tickets dans l'hôtel en face car c'est mon conjoint qui les a, il travaille là -bas. (J'ai des tickets sur moi mais je ne veux pas les sortir). Elle m'accompagne. Je demande à une sorte de gardien de le faire appeler (je nomme un ex-conjoint avec qui j'ai une relation douloureuse, et qui n'est pas le père de mon enfant), il me répond qu'il ne le connaît pas et qu'il n'a jamais travaillé là . J'ai honte face à la contrôleuse, je me sens mal, trahie. Elle fait preuve de compassion et ne me verbalise pas.
Je retourne au premier lieu, je décide de rentrer chez moi pour avoir une explication avec mon conjoint. Je croise un homme qui cherche à me séduire, je lui dis que je n'ai pas le temps, que je suis avec mon enfant et que je dois rentrer chez moi. Je redescends le chemin en colimaçon. Cet homme se met en colère et me lance des bouts de papiers en feu, ça tombe sur le cosy de mon fils, je crie "attention, mon bébé", j'enlève le feu avec mes mains, le tout à plusieurs reprises, je cours, je tombe, il est très menaçant. Ma voiture apparaît à moment donné mais je ne vais pas dedans. Je repars en direction de l'hôtel, j'appelle la police. Une femme au téléphone, elle ne m'entend pas. Je crie "mon nom, je suis poursuivie par un homme, il nous veut du mal, je sors du bowling et je vais dans l'hôtel". L'homme est à notre hauteur, il me tire dessus avec une agrafeuse murale, mes gestes sont de plus en plus lents, ralentis par les agrafes, je pleure, toujours au téléphone avec la police, j'implore "s'il vous plait, mon bébé, mon bébé ". Je me suis réveillée en sursaut, angoissée.
Merci pour votre interprétation, je vais essayer de me rendormir.
J'écris avec encore un poids sur la poitrine...
Je suis dans un endroit où il y a du monde (apparemment un bowling puisque je le nomme ainsi après).
Je quitte ce lieu avec mon fils. Je descends un chemin en colimaçon et là je vois qu'il y a un contrôle de ticket comme dans le métro (nous sommes à l'extérieur), à la femme qui contrôle mon ticket, je lui dis que je dois aller chercher mes tickets dans l'hôtel en face car c'est mon conjoint qui les a, il travaille là -bas. (J'ai des tickets sur moi mais je ne veux pas les sortir). Elle m'accompagne. Je demande à une sorte de gardien de le faire appeler (je nomme un ex-conjoint avec qui j'ai une relation douloureuse, et qui n'est pas le père de mon enfant), il me répond qu'il ne le connaît pas et qu'il n'a jamais travaillé là . J'ai honte face à la contrôleuse, je me sens mal, trahie. Elle fait preuve de compassion et ne me verbalise pas.
Je retourne au premier lieu, je décide de rentrer chez moi pour avoir une explication avec mon conjoint. Je croise un homme qui cherche à me séduire, je lui dis que je n'ai pas le temps, que je suis avec mon enfant et que je dois rentrer chez moi. Je redescends le chemin en colimaçon. Cet homme se met en colère et me lance des bouts de papiers en feu, ça tombe sur le cosy de mon fils, je crie "attention, mon bébé", j'enlève le feu avec mes mains, le tout à plusieurs reprises, je cours, je tombe, il est très menaçant. Ma voiture apparaît à moment donné mais je ne vais pas dedans. Je repars en direction de l'hôtel, j'appelle la police. Une femme au téléphone, elle ne m'entend pas. Je crie "mon nom, je suis poursuivie par un homme, il nous veut du mal, je sors du bowling et je vais dans l'hôtel". L'homme est à notre hauteur, il me tire dessus avec une agrafeuse murale, mes gestes sont de plus en plus lents, ralentis par les agrafes, je pleure, toujours au téléphone avec la police, j'implore "s'il vous plait, mon bébé, mon bébé ". Je me suis réveillée en sursaut, angoissée.
Merci pour votre interprétation, je vais essayer de me rendormir.