Rêve Rocambolesque
Publié : 09 avr. 2015, 00:39
Bonsoir à tous,
Je ne suis pas coutumière du fait, mais je me suis souvent interrogée pourquoi au réveil, j'avais eu le besoin expresse et intense de coucher sur le papier, le rêve que je venais de faire la nuit passée.
Ce rêve, j'ai eu l'impression certaine de l'avoir déroulé deux fois ou plus dans la nuit, avec des faits bien précis, que j'ai pu écrire.
Jamais, je n'avais éprouvé ce besoin et presqu'un an après alors que je suis en train de lire un livre pour interpréter les rêves, je me laisse à penser que vous pourriez m'apporter vos lumières.
Je m'appelle JANIQUE, je suis née en Juillet 1964.
Je sais que normalement je ne dois pas écrire un "roman fleuve" pour vous demander votre interprétation, mais j'ai écris ce rêve d'une traite le matin suivant, alors ceci a très certainement une signification.
Pour vous situer les personnages, Jeff est (était, car nous nous sommes séparés en janvier 2015) mon ami. Maximilien est son fils.
J'ai deux enfants, Stéphanie 27 ans et Sébastien 24 ans. Laetitia est une de leur cousine, et les autres personnes, je ne sais pas qui elles sont.
.... voilà les infos que je peux vous apporter, mais n'hésitez pas si besoin.
A très bientôt (je l'espère) de vous lire.
Bien à vous
JANIQUE
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Rêve de la nuit du samedi 26 au Dimanche 27 avril 2014
Hier soir, j'ai lavé la vaisselle toute seule pendant l'émission de télé.
Le matin n'ayant pas essuyé la table, je la nettoie car il y avait des miettes.
Ce n'était pas mon coin repas habituel dans la cuisine, mais un genre de table de salon avec des coffres séparés.
En nettoyant, j'entends un bruit, lève la tête, Jeff me regarde.
J'ouvre le coffre, et y trouve Maximilien recroquevillé et endormi.
Jeff me dit, « Oui, ce n'était pas prévu, mais il ne voulait pas rester chez moi, à la maison, et est arrivé pendant que tu dormais, et on ne voulait pas te réveiller »
« Ben, ça ne me dérange pas voyons, allez sors de là , tu ne dois pas être bien installé ».
Je continue de nettoyer, puis j'entends du bruit à l'étage.
Je les regarde, constate que l'on ne m'a pas tout dit, puis Jeff dit
« Ah oui, je ne te l'ai pas dit non plus, mais Maximilien est venu avec son pote Raphaël qui a dormi en haut. »
Ça ne me plait pas trop qu'un étranger soit là incidemment alors que je ne suis pas forcément présentable...
Le bruit étant de plus en plus fort, je monte à l'étage, et trouve le Raphaël dans ma chambre, dans l'armoire, plein de piles de vêtements sur mon lit, et dans les mains, des cintres avec des robes.
Interloquée, je lui demande ce qu'il fait, il ne répond pas.
J'appelle Jeff de toutes mes forces afin qu'il vienne voir.
Il arrive mais il n'obtient guère plus de réponses.
Pendant ce temps, l'autre continue à sortir les piles comme un zombie, comme si nous n'étions pas là .
Je regarde Jeff qui ne dit rien et Maximilien qui vient de monter et qui, incrédule, regarde la scène.
N'y tenant plus, je fonce vers ce Raphaël, le secoue, l'oblige à me regarder et je crie en lui demandant ce qu'il fait.
Calme plat. Je le secoue plus durement, hurle, et dans ses yeux fuyants, j'y lis qu'il est en train d'essayer de piller, de trouver argent ou bijoux.
Hystérique, je demande à Jeff s'il sait où est mon téléphone. Il ne sait pas. Je tourne en rond, tourne et tourne, et n'y tenant plus, je lui dis de me prêter le sien, ce qu'il fait.
Je redescends, et compose le 18. Ça sonne, sonne, personne ne répond. Aussi je compose fébrilement le 118.
Pensant parler aux gendarmes, j'explique la situation, puis la communication est coupée.
Alors, je demande à Maximilien de me donner le numéro de téléphone des Parents de Raphaël. Il me dit que c'est une famille bizarre et qu'il n'a plus que sa mère.
Je compose le numéro, énervée, me trompe une fois, deux fois, puis j'ai une interlocutrice qui me répond enfin.
Elle ne parle pas un très bon Français et je lui explique alors la situation et lui demande de venir chercher le garçon.
Elle me dit qu'ils vont arriver !!!!
Un bon moment après, j'entends une voiture et je sors. C'est une voiture, modèle très ancien, d'un bleu très clair, avec des numéros étrangers sur la plaque d'immatriculation.
La portière gauche passagère s'ouvre, je penche la tête, et il y a au moins 15 à 20 personnes dans la voiture. Je n'arrive même pas à les compter.
J'entame la conversation, m'adressant à celle que je pense être la mère (la conductrice), elle me regarde, à priori ne comprenant pas ce que je dis.
Je recommence, recommence, puis finis par parler en Anglais. Une personne qui se présente comme étant la sœur me répond. Elle me dit que la mère ne parle que Roumain, ou Allemand.
J'explique la situation et leur demande qu'elles viennent toutes les deux seulement, pour rechercher le garnement.
Elles s'exécutent et nous nous dirigeons vers la maison. Pas rassurée, je me retourne, et vois toutes les autres personnes se déplier et sortir de la voiture, elles se redressent et nous suivent.
J'accélère le pas et nous rentrons dans la maison que je ferme immédiatement.
Nous montons alors à l'étage où Jeff a réussi à faire asseoir Raphaël en attendant que je revienne.
De grands cris fusent entre la famille, et j'en déduits que le gamin n'en est pas à son coup d'essai....
Puis ils passent devant moi, descendent et stupéfaction, toute la fratrie a réussi à pénétrer dans la maison.
Je les assimile à des zombies, car ils ont mis un bazar monstre partout.
Je les mets alors tous dehors, il y en a partout, et dis que je vais appeler les flics.
La dernière personne sortie, je m'adosse à la porte d'entrée, puis me dit que j'ai le temps d'aller relever le numéro d'immatriculation pour le signaler à la police.
J'essaye d'avancer incognito, ils sont tous rentrés dans la voiture, mais ne semblent pas avoir l'intention de déguerpir.
....
Je retourne chez moi, et en ouvrant la porte, j'entends encore du bruit à l'étage, et je vois une fillette avec un caillou plat dans les mains, genre un caillou pour faire des ricochets sur l'eau...
Je pense alors qu'il s'agit d'une fillette qui avait été oubliée et je la chasse dehors.
Elle crie, veut revenir, tambourine à la porte, j'ouvre, et la chasse de nouveau.
Puis, je monte à l'étage, voir de où vient ce bruit.
J'entre dans une autre chambre, et je vois mes enfants avec leur cousine Laetitia et ici encore plein plein d'enfants.
Je suis excédée parce que tous les jouets sont éparpillés au sol et que c'est un fichu bazar. Avec tout ce que j'avais à faire au rez-de-chaussée, je m'énerve, leur demande de ranger et de partir.
Alors que je constate le désordre partout, je suis complètement démontée, mais je me remonte les manches pour commencer les rangements.
Une dizaine de jeunes enfants descendent et Laetitia me dit qu'il manque une petite de 5-6 ans, elle me l'a décrit. Je réalise qu'il s'agit de la fillette que j'ai chassée pensant qu'il s'agissait d'une sœur de Raphaël.
Aussitôt, nous partons tous à sa recherche. Une scène étrange dehors se matérialise à nos yeux.
Des genres de figurants sont là , font semblant de tomber à la renverse, alors que d'autres surgissent pour les rattraper sortant de nulle part.
Je vais de surprise en surprise, voyant partout des personnages qui semblent « flotter », avec à chaque coin de rue, une scène nouvelle. Nous parcourons toutes les rues du village sans retrouver la fillette.
Je frissonne et rebroussant chemin, je constate alors que le véhicule est parti. Aussitôt je me dis qu'ils se sont vengés en enlevant la petite.
J'accélère le pas pour signaler la disparation à la Police.
La fillette ne sera pas retrouvée jusqu'au moment où je me réveille.
Je ne suis pas coutumière du fait, mais je me suis souvent interrogée pourquoi au réveil, j'avais eu le besoin expresse et intense de coucher sur le papier, le rêve que je venais de faire la nuit passée.
Ce rêve, j'ai eu l'impression certaine de l'avoir déroulé deux fois ou plus dans la nuit, avec des faits bien précis, que j'ai pu écrire.
Jamais, je n'avais éprouvé ce besoin et presqu'un an après alors que je suis en train de lire un livre pour interpréter les rêves, je me laisse à penser que vous pourriez m'apporter vos lumières.
Je m'appelle JANIQUE, je suis née en Juillet 1964.
Je sais que normalement je ne dois pas écrire un "roman fleuve" pour vous demander votre interprétation, mais j'ai écris ce rêve d'une traite le matin suivant, alors ceci a très certainement une signification.
Pour vous situer les personnages, Jeff est (était, car nous nous sommes séparés en janvier 2015) mon ami. Maximilien est son fils.
J'ai deux enfants, Stéphanie 27 ans et Sébastien 24 ans. Laetitia est une de leur cousine, et les autres personnes, je ne sais pas qui elles sont.
.... voilà les infos que je peux vous apporter, mais n'hésitez pas si besoin.
A très bientôt (je l'espère) de vous lire.
Bien à vous
JANIQUE
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Rêve de la nuit du samedi 26 au Dimanche 27 avril 2014
Hier soir, j'ai lavé la vaisselle toute seule pendant l'émission de télé.
Le matin n'ayant pas essuyé la table, je la nettoie car il y avait des miettes.
Ce n'était pas mon coin repas habituel dans la cuisine, mais un genre de table de salon avec des coffres séparés.
En nettoyant, j'entends un bruit, lève la tête, Jeff me regarde.
J'ouvre le coffre, et y trouve Maximilien recroquevillé et endormi.
Jeff me dit, « Oui, ce n'était pas prévu, mais il ne voulait pas rester chez moi, à la maison, et est arrivé pendant que tu dormais, et on ne voulait pas te réveiller »
« Ben, ça ne me dérange pas voyons, allez sors de là , tu ne dois pas être bien installé ».
Je continue de nettoyer, puis j'entends du bruit à l'étage.
Je les regarde, constate que l'on ne m'a pas tout dit, puis Jeff dit
« Ah oui, je ne te l'ai pas dit non plus, mais Maximilien est venu avec son pote Raphaël qui a dormi en haut. »
Ça ne me plait pas trop qu'un étranger soit là incidemment alors que je ne suis pas forcément présentable...
Le bruit étant de plus en plus fort, je monte à l'étage, et trouve le Raphaël dans ma chambre, dans l'armoire, plein de piles de vêtements sur mon lit, et dans les mains, des cintres avec des robes.
Interloquée, je lui demande ce qu'il fait, il ne répond pas.
J'appelle Jeff de toutes mes forces afin qu'il vienne voir.
Il arrive mais il n'obtient guère plus de réponses.
Pendant ce temps, l'autre continue à sortir les piles comme un zombie, comme si nous n'étions pas là .
Je regarde Jeff qui ne dit rien et Maximilien qui vient de monter et qui, incrédule, regarde la scène.
N'y tenant plus, je fonce vers ce Raphaël, le secoue, l'oblige à me regarder et je crie en lui demandant ce qu'il fait.
Calme plat. Je le secoue plus durement, hurle, et dans ses yeux fuyants, j'y lis qu'il est en train d'essayer de piller, de trouver argent ou bijoux.
Hystérique, je demande à Jeff s'il sait où est mon téléphone. Il ne sait pas. Je tourne en rond, tourne et tourne, et n'y tenant plus, je lui dis de me prêter le sien, ce qu'il fait.
Je redescends, et compose le 18. Ça sonne, sonne, personne ne répond. Aussi je compose fébrilement le 118.
Pensant parler aux gendarmes, j'explique la situation, puis la communication est coupée.
Alors, je demande à Maximilien de me donner le numéro de téléphone des Parents de Raphaël. Il me dit que c'est une famille bizarre et qu'il n'a plus que sa mère.
Je compose le numéro, énervée, me trompe une fois, deux fois, puis j'ai une interlocutrice qui me répond enfin.
Elle ne parle pas un très bon Français et je lui explique alors la situation et lui demande de venir chercher le garçon.
Elle me dit qu'ils vont arriver !!!!
Un bon moment après, j'entends une voiture et je sors. C'est une voiture, modèle très ancien, d'un bleu très clair, avec des numéros étrangers sur la plaque d'immatriculation.
La portière gauche passagère s'ouvre, je penche la tête, et il y a au moins 15 à 20 personnes dans la voiture. Je n'arrive même pas à les compter.
J'entame la conversation, m'adressant à celle que je pense être la mère (la conductrice), elle me regarde, à priori ne comprenant pas ce que je dis.
Je recommence, recommence, puis finis par parler en Anglais. Une personne qui se présente comme étant la sœur me répond. Elle me dit que la mère ne parle que Roumain, ou Allemand.
J'explique la situation et leur demande qu'elles viennent toutes les deux seulement, pour rechercher le garnement.
Elles s'exécutent et nous nous dirigeons vers la maison. Pas rassurée, je me retourne, et vois toutes les autres personnes se déplier et sortir de la voiture, elles se redressent et nous suivent.
J'accélère le pas et nous rentrons dans la maison que je ferme immédiatement.
Nous montons alors à l'étage où Jeff a réussi à faire asseoir Raphaël en attendant que je revienne.
De grands cris fusent entre la famille, et j'en déduits que le gamin n'en est pas à son coup d'essai....
Puis ils passent devant moi, descendent et stupéfaction, toute la fratrie a réussi à pénétrer dans la maison.
Je les assimile à des zombies, car ils ont mis un bazar monstre partout.
Je les mets alors tous dehors, il y en a partout, et dis que je vais appeler les flics.
La dernière personne sortie, je m'adosse à la porte d'entrée, puis me dit que j'ai le temps d'aller relever le numéro d'immatriculation pour le signaler à la police.
J'essaye d'avancer incognito, ils sont tous rentrés dans la voiture, mais ne semblent pas avoir l'intention de déguerpir.
....
Je retourne chez moi, et en ouvrant la porte, j'entends encore du bruit à l'étage, et je vois une fillette avec un caillou plat dans les mains, genre un caillou pour faire des ricochets sur l'eau...
Je pense alors qu'il s'agit d'une fillette qui avait été oubliée et je la chasse dehors.
Elle crie, veut revenir, tambourine à la porte, j'ouvre, et la chasse de nouveau.
Puis, je monte à l'étage, voir de où vient ce bruit.
J'entre dans une autre chambre, et je vois mes enfants avec leur cousine Laetitia et ici encore plein plein d'enfants.
Je suis excédée parce que tous les jouets sont éparpillés au sol et que c'est un fichu bazar. Avec tout ce que j'avais à faire au rez-de-chaussée, je m'énerve, leur demande de ranger et de partir.
Alors que je constate le désordre partout, je suis complètement démontée, mais je me remonte les manches pour commencer les rangements.
Une dizaine de jeunes enfants descendent et Laetitia me dit qu'il manque une petite de 5-6 ans, elle me l'a décrit. Je réalise qu'il s'agit de la fillette que j'ai chassée pensant qu'il s'agissait d'une sœur de Raphaël.
Aussitôt, nous partons tous à sa recherche. Une scène étrange dehors se matérialise à nos yeux.
Des genres de figurants sont là , font semblant de tomber à la renverse, alors que d'autres surgissent pour les rattraper sortant de nulle part.
Je vais de surprise en surprise, voyant partout des personnages qui semblent « flotter », avec à chaque coin de rue, une scène nouvelle. Nous parcourons toutes les rues du village sans retrouver la fillette.
Je frissonne et rebroussant chemin, je constate alors que le véhicule est parti. Aussitôt je me dis qu'ils se sont vengés en enlevant la petite.
J'accélère le pas pour signaler la disparation à la Police.
La fillette ne sera pas retrouvée jusqu'au moment où je me réveille.