Amoureuse d'un homme plus âgé
Publié : 26 juil. 2015, 12:08
Bonjour tout le monde. Voici mon rêve :
J'étais en train de me balader dans la rue parce que je cherchais du travail. Au bout d'un moment, je vois une sorte de boutique que je n'avais jamais vu avant. C'était un salon de coiffure. Mais le salon était un peu bizarre. Ce n'étais pas vraiment décoré. Les murs étaient de couleur brun-vert et le sol était assez foncé. Il y avait de la poussière et le salon n'était éclairé que par les quelques rayons de lumières naturelles provenant de dehors. La pièce semblait vieille et pas très neuve. Il y avait quelques cartons dans les coins de la pièce. Devant moi, il y avait un homme qui devait avoir entre 30 et 40 ans. Il avait des cheveux blancs (pas gris, blancs) et il portait le bouc.
Ensuite, il m'a dit qu'il cherchait une assistante pour son salon et qu'il voulait bien m'engager. J'étais très heureuse.
Mais je n'ai jamais vu un seul client rentrer dans le salon. Il m'a proposé de me couper les cheveux et j'ai accepté. J'ai ensuite fait un peu de ménage et j'ai fini par découvrir une pièce à l'arrière du salon. Cette pièce ressemblait à un énorme entrepôt quasiment vide. Il n'y avait que quelques étagères poussiéreuse et des cartons. Je crois que l'homme n'aimait pas trop je sois dans cette pièce.
Le lendemain matin, je me préparais pour aller au travail. J'étais heureuse parce que j'étais tombée amoureuse de lui. Je me souviens être sortie de chez moi pour partir en travail et je courais. Contrairement à d'autres rêves, je pouvais courir vite. Rien ne me bloquait. Je courais à une vitesse relativement normale. Je souriais. J'avais hâte de le rejoindre parce que je me sentais bien auprès de lui.
Mais quand je suis arrivée dans la rue, la boutique n'était plus là . A la place, il n'y avait qu'un vieux bâtiment presque en ruine avec une enseigne barrée. Depuis l'endroit où je me tenais, je pouvais voir que personne n'était là , et que même les cartons avaient disparus. Je voulais y aller mais quand j'ai commencé à courir par là , je me suis mise à reculer lentement. Je pleurais et je criais son nom. Il ne me l'avait jamais dit, mais je savais comment il s'appelait. Il s'appelait Jun (prononcé Djoune).
Fin.
J'étais en train de me balader dans la rue parce que je cherchais du travail. Au bout d'un moment, je vois une sorte de boutique que je n'avais jamais vu avant. C'était un salon de coiffure. Mais le salon était un peu bizarre. Ce n'étais pas vraiment décoré. Les murs étaient de couleur brun-vert et le sol était assez foncé. Il y avait de la poussière et le salon n'était éclairé que par les quelques rayons de lumières naturelles provenant de dehors. La pièce semblait vieille et pas très neuve. Il y avait quelques cartons dans les coins de la pièce. Devant moi, il y avait un homme qui devait avoir entre 30 et 40 ans. Il avait des cheveux blancs (pas gris, blancs) et il portait le bouc.
Ensuite, il m'a dit qu'il cherchait une assistante pour son salon et qu'il voulait bien m'engager. J'étais très heureuse.
Mais je n'ai jamais vu un seul client rentrer dans le salon. Il m'a proposé de me couper les cheveux et j'ai accepté. J'ai ensuite fait un peu de ménage et j'ai fini par découvrir une pièce à l'arrière du salon. Cette pièce ressemblait à un énorme entrepôt quasiment vide. Il n'y avait que quelques étagères poussiéreuse et des cartons. Je crois que l'homme n'aimait pas trop je sois dans cette pièce.
Le lendemain matin, je me préparais pour aller au travail. J'étais heureuse parce que j'étais tombée amoureuse de lui. Je me souviens être sortie de chez moi pour partir en travail et je courais. Contrairement à d'autres rêves, je pouvais courir vite. Rien ne me bloquait. Je courais à une vitesse relativement normale. Je souriais. J'avais hâte de le rejoindre parce que je me sentais bien auprès de lui.
Mais quand je suis arrivée dans la rue, la boutique n'était plus là . A la place, il n'y avait qu'un vieux bâtiment presque en ruine avec une enseigne barrée. Depuis l'endroit où je me tenais, je pouvais voir que personne n'était là , et que même les cartons avaient disparus. Je voulais y aller mais quand j'ai commencé à courir par là , je me suis mise à reculer lentement. Je pleurais et je criais son nom. Il ne me l'avait jamais dit, mais je savais comment il s'appelait. Il s'appelait Jun (prononcé Djoune).
Fin.