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Encore une fois bonjour,
Mon rêve du matin,
Je suis dans un stationnement je conduis mon auto. J'ai de la misère à  me garer. Pour faire court il y a trois autos au moins que j'ai effleurées et on me demande un petit dédommagements. Je repars en me disant que finalement ça me coûte cher et me promet de ne pas reprendre mon auto.
Merci

Pouvez vous penser que la conduite de votre auto c'est votre vie ou personnalité? Vous suivez votre chemin ou êtes vous même mais vous pouvez blesser quelques personnes au passage par cela. Vous êtes vous déjà  dit que vous devriez faire plus attention à  ce que vous dites ou faites?

jouvence a écrit :Encore une fois bonjour,
Mon rêve du matin,
Je suis dans un stationnement je conduis mon auto. J'ai de la misère à  me garer. Pour faire court il y a trois autos au moins que j'ai effleurées et on me demande un petit dédommagements. Je repars en me disant que finalement ça me coûte cher et me promet de ne pas reprendre mon auto.
Merci

Bonjour jouvence

Pour développer l'un des sens de Jek_Yll (ci-dessus) qui me paraît bien observé,
on pourrait dire que l'auto → c'est votre corps physique, puis que, je cite « je conduis ... j'ai de la misère à  me garer » → c'est votre mental qui s'emballe et qui entraîne le corps physique « l'auto » à  un certain comportement que je cite «  ... trois autos que j'ai effleurées » → à  cause des émotions difficiles ressenties.
Donc le mental, le « je » a du mal à  gérer son corps physique, donc lui-même → donc c'est que le « je » fait fausse route ... → comment ? Dans ses idées/pensées ... .

Il serait bien de considérer le « petit dédommagement » → cad. le définir ... et c'est cela qui devrait déclencher des prises de conscience. Car l'on pourrait considérer le « petit dédommagement » comme changer ses idées/pensées afin de reconsidérer les ''stimulis'' en amont qui font que le mental s'emballe → cause : mes propres émotions. Et ces ''stimulis'' ce sont les événement extérieurs à  soi → donc les autres. Le but : avoir un regard différent sur les autres, c'est par exemple : qu'ai-je pu faire moi qui ai pu déclencher un tel comportement de l'autre ... à  la place de par exemple : il m'énerve (mes émotions) il m'a mal répondu.
Ou pourquoi son comportement déclenche de telles émotions chez moi ? Ai-je déjà  pensé que cela a pu rentrer en résonnance avec une blessure d'enfance. Donc, l'autre n'y est pour rien ... si je n'avais pas eu cette blessure d'enfance, le comportement de l'autre ne m'aurait pas affecté (n'aurait pas déclenché de ressenti chez moi). En raisonnant ainsi, je ne suis pas dans le jugement de l'autre (qui ne m'apporte rien), mais dans mes interrogations sur moi car ce sont celles-là  qui me feront évoluer.

Dans, je cite « ... trois autos que j'ai effleurées » → il y a une notion d'équilibre à  trouver en vous.


Donc, la conclusion ici :
→ce n'est pas, je cite « ... et me promet de ne pas reprendre mon auto » = mon auto n'y est pour rien comme les « ... trois autos que j'ai effleurées » n'y sont pour rien non plus
→mais, plutôt, comment je change mes idées (mon mental) pour comprendre mes ressentis afin d'apprendre à  les gérer pour ne pas que mon mental s'emballe et entraîne mon corps physique = la finalité c'est d'arriver à  être en paix avec moi-même donc avec les autres. Ne plus avoir les ressentis que j'ai, car les autres je ne pourrai jamais les changer... .

Merci à  vous deux votre interprétation ne me surprend pas du tout.