Tuer son père.
Publié : 09 déc. 2015, 12:12
Bonjour/Bonsoir à toutes et à tous !
Un rêve assez choquant, je dois dire pour aujourd'hui...
Rêve du 09/12/2015.
Je suis dans la cours [qui fait également office de parking] de mon école [ESPE] et notre enseignante de sport nous demande de nous rendre à la mer [située à quelques centaines de mètres]. J'arrive près de la mer et me retrouve téléportée dans un bateau de pêche amarré sur le sable dont la moitié du bateau se trouve dans l'eau. Un pêcheur remonte un filet avec des poissons à l'intérieur. Cela me fait mal au cœur de voir ces pauvres bêtes attrapées. Puis, je me retrouve dans une barque avec mon enseignante de sport à quelques mètres du sable. Nous parlons de quelque chose mais je ne saurai m'en souvenir...
Je suis téléportée dans un labyrinthe installé dans une serre. Je suis aux côtés de mon enseignante puis immédiatement, celle-ci devient ma mère. Nous sommes alors poursuivie par une personne (un homme) alors nous courons et nous entrons dans le labyrinthe.
Je suis téléportée dans une salle de réception. Il y a beaucoup de personnes qui dansent. Je me souviens avoir emprunté le téléphone portable de mon père pour faire des photos et filmer ma sœur et moi pour en faire par la suite un montage et le poster sur le Net. Je la retrouve à la fête et nous dansons ensemble. Je fais ce qui était prévu : je prends des photos et je filme.
Je m'arrête un instant pour reprendre mon souffle et à ce moment-là , ma mère apparaît. Elle nous dit qu'elle a acheté les cadeaux de Noël de tout le monde (les membres de la famille, en l'occurrence, mon père, ma sœur, mon frère, mon chien et moi). C'est alors que je me rappelle que je n'ai pas encore acheté celui de mon frère par manque d'idée. Je vois alors Monsieur Nicolas Sarkozy et une autre candidate (de la même importance), installés à une table, en plein débat pour les présidentielles. Je m'installe alors à leurs côtés et sors deux objets d'un carton que j'avais apporté (des figurines colorées d'animaux : un éléphant et je ne sais plus). Je leur donne également une feuille à chacun leur demandant de m'inscrire dessus ce qu'ils offriraient comme cadeau à mon frère. La candidate me rend sa feuille où elle y a inscrit une idée et Monsieur Nicolas Sarkozy me rend sa feuille où il en a inscrit une dizaine. Il m'a même donné un flyers d'une société qui pourrait m'aider pour trouver le cadeau de Noël de mon frère. Je les remercie et m'en vais.
Je suis téléportée chez moi (dans mon ancienne maison). Je suis installée à table avec mon frère et nous commençons à jouer aux échecs [il n'y a jamais joué en vrai]. J'avais les pièces noires [je les prends toujours] et lui, les blanches. Mon père s'installe à la même table avec son assiette mais avant de manger son repas, il recule notre plateau violemment, faisant tomber nos pièces (nous avons principalement bougé les pions et les cavaliers). Je suis extrêmement furieuse. Il me regarde, me disant de ne pas lui lancer les couteaux (je n'en avais pas sous la main). D'ailleurs, lorsqu'il m'a dit cela, il avait changé de place et était sur celle de droite. J'ai alors balancé le plateau de jeu en sa direction. Six voire sept couteaux se sont plantés directement dans son cœur (non pas par la lame mais par le manche). Je n'avais pas vraiment peur car je trouvais que les couteaux n'étaient enfoncés que de moitié. Il souffrait mais parlait normalement alors je me suis approchée de ma bêtise pour enlever le couteau planté au centre de son cœur. Cela faisait un vide (un trou). Je pouvais voir la pièce à travers son corps... A ce moment-là les autres membres de ma faille (ma mère et mon frère) trouvaient qu'il l'avait bien cherché. Il s'est alors levé, disant que tout allait bien mais on voyait qu'il n'arrivait pas à marcher. Il tituba jusqu'au fauteuil. Du sang commença à couler de sa blessure. Ma mère lui demanda si elle devait contacter les pompiers. Je lui ai donc passé le téléphone que j'avais en mains car je ne savais pas qui nous devions appeler : pompiers ou SAMU ? Il refusa mais voyant qu'il commençait à fermer les yeux et devenir tout blanc, ma mère les contacta. Elle lâcha un : " mon petit pépère." Puis, au téléphone, elle avoua : "Il a déjà fait des convulsions ce matin pour avoir trop bu." (A savoir, que parfois je m'en voulais d'avoir fait cela mais comme il faisait des manières à gémir pour un rien, je reprenais mes esprits et pensais que c'était bien fait pour lui).
En tournant ma tête vers la gauche, j'ai vu mon père, debout, presque en forme mais le dos face à moi, en train d'effacer toutes les photos et les vidéos que j'avais prises lors de la fête. Il n'a gardé que celle où il soulevait la jupe de ma sœur avec le manche d'un balai (bien qu'il n'y était pas à cette fête). Je comprenais alors que même avant de mourir, il voulait faire du mal, du genre " Ah! Tu voulais me tuer, bah tiens, j'efface tout ce que tu as fait !"
Je suis téléportée dans ma chambre. Il y a une femme sur une estrade qui parle avec un groupe d'individus installés en cercle sur des poteaux dont je fais partie. A l'intérieur de ce cercle, il y a de l'eau. Le but étant de survivre aux défis qu'elle nous lancera. Pour nous aider, on peut acheter un maillot. Une femme lui en achète un et la dame lui remet un maillot mais également un chèque d'une valeur de cent mille euros. Je ris alors. Face à ma réaction, elle me lance que je suis jalouse car j'aurai bien voulu avoir son chèque. Je lui dis alors qu'il est inutile d'acheter quoique ce soit, et que son chèque ne vaut rien étant donné qu'il n'y a pas d'issue à ce jeu et que l'on va tous mourir. La femme sur l'estrade confirme alors malgré l'espoir des personnes. La femme ayant reçu le chèque fait diversion ce qui fait que toutes les personnes sont sorties de ma chambre. Elle court vers la fenêtre et se fait poursuivre par une femme blonde. Elle l'ouvre et saute alors. A ce moment-là , il s'agit de moi. Je tends alors le chèque à la femme blonde, la narguant avec, le retirant à chaque fois qu'elle tend sa main. Finalement, je la laisse l'attraper. A ce moment-là , je ne suis plus la femme qui tend le chèque, je regarde juste la scène. La femme blonde réussi à attraper le chèque et sort de ma chambre. La femme qui avait tendu le chèque rit sachant que le chèque qu'elle avait donné était un faux (en effet, elle l'avait photocopié). Elle rejoint le trottoir et ri aux éclats pensant être tirée d'affaire. Malheureusement pour elle, une voiture vint à passer à ses cotés et les personnes s'y trouvant (deux femmes et deux hommes cagoulés) lui tirèrent dessus à la kalachnikov. Ma tante sortie d'une maison pour venir me rejoindre en souriant.
Le rêve s'arrête ici.
Le rêve est assez long (comme d'habitude) mais j'ai rajouté les détails autour de l'élément central, étant le meurtre de mon père.
Merci à celles et ceux qui m'auront lu et pourront m'éclairer sur ce passage.
• Pluton_Nium •
Un rêve assez choquant, je dois dire pour aujourd'hui...
Rêve du 09/12/2015.
Je suis dans la cours [qui fait également office de parking] de mon école [ESPE] et notre enseignante de sport nous demande de nous rendre à la mer [située à quelques centaines de mètres]. J'arrive près de la mer et me retrouve téléportée dans un bateau de pêche amarré sur le sable dont la moitié du bateau se trouve dans l'eau. Un pêcheur remonte un filet avec des poissons à l'intérieur. Cela me fait mal au cœur de voir ces pauvres bêtes attrapées. Puis, je me retrouve dans une barque avec mon enseignante de sport à quelques mètres du sable. Nous parlons de quelque chose mais je ne saurai m'en souvenir...
Je suis téléportée dans un labyrinthe installé dans une serre. Je suis aux côtés de mon enseignante puis immédiatement, celle-ci devient ma mère. Nous sommes alors poursuivie par une personne (un homme) alors nous courons et nous entrons dans le labyrinthe.
Je suis téléportée dans une salle de réception. Il y a beaucoup de personnes qui dansent. Je me souviens avoir emprunté le téléphone portable de mon père pour faire des photos et filmer ma sœur et moi pour en faire par la suite un montage et le poster sur le Net. Je la retrouve à la fête et nous dansons ensemble. Je fais ce qui était prévu : je prends des photos et je filme.
Je m'arrête un instant pour reprendre mon souffle et à ce moment-là , ma mère apparaît. Elle nous dit qu'elle a acheté les cadeaux de Noël de tout le monde (les membres de la famille, en l'occurrence, mon père, ma sœur, mon frère, mon chien et moi). C'est alors que je me rappelle que je n'ai pas encore acheté celui de mon frère par manque d'idée. Je vois alors Monsieur Nicolas Sarkozy et une autre candidate (de la même importance), installés à une table, en plein débat pour les présidentielles. Je m'installe alors à leurs côtés et sors deux objets d'un carton que j'avais apporté (des figurines colorées d'animaux : un éléphant et je ne sais plus). Je leur donne également une feuille à chacun leur demandant de m'inscrire dessus ce qu'ils offriraient comme cadeau à mon frère. La candidate me rend sa feuille où elle y a inscrit une idée et Monsieur Nicolas Sarkozy me rend sa feuille où il en a inscrit une dizaine. Il m'a même donné un flyers d'une société qui pourrait m'aider pour trouver le cadeau de Noël de mon frère. Je les remercie et m'en vais.
Je suis téléportée chez moi (dans mon ancienne maison). Je suis installée à table avec mon frère et nous commençons à jouer aux échecs [il n'y a jamais joué en vrai]. J'avais les pièces noires [je les prends toujours] et lui, les blanches. Mon père s'installe à la même table avec son assiette mais avant de manger son repas, il recule notre plateau violemment, faisant tomber nos pièces (nous avons principalement bougé les pions et les cavaliers). Je suis extrêmement furieuse. Il me regarde, me disant de ne pas lui lancer les couteaux (je n'en avais pas sous la main). D'ailleurs, lorsqu'il m'a dit cela, il avait changé de place et était sur celle de droite. J'ai alors balancé le plateau de jeu en sa direction. Six voire sept couteaux se sont plantés directement dans son cœur (non pas par la lame mais par le manche). Je n'avais pas vraiment peur car je trouvais que les couteaux n'étaient enfoncés que de moitié. Il souffrait mais parlait normalement alors je me suis approchée de ma bêtise pour enlever le couteau planté au centre de son cœur. Cela faisait un vide (un trou). Je pouvais voir la pièce à travers son corps... A ce moment-là les autres membres de ma faille (ma mère et mon frère) trouvaient qu'il l'avait bien cherché. Il s'est alors levé, disant que tout allait bien mais on voyait qu'il n'arrivait pas à marcher. Il tituba jusqu'au fauteuil. Du sang commença à couler de sa blessure. Ma mère lui demanda si elle devait contacter les pompiers. Je lui ai donc passé le téléphone que j'avais en mains car je ne savais pas qui nous devions appeler : pompiers ou SAMU ? Il refusa mais voyant qu'il commençait à fermer les yeux et devenir tout blanc, ma mère les contacta. Elle lâcha un : " mon petit pépère." Puis, au téléphone, elle avoua : "Il a déjà fait des convulsions ce matin pour avoir trop bu." (A savoir, que parfois je m'en voulais d'avoir fait cela mais comme il faisait des manières à gémir pour un rien, je reprenais mes esprits et pensais que c'était bien fait pour lui).
En tournant ma tête vers la gauche, j'ai vu mon père, debout, presque en forme mais le dos face à moi, en train d'effacer toutes les photos et les vidéos que j'avais prises lors de la fête. Il n'a gardé que celle où il soulevait la jupe de ma sœur avec le manche d'un balai (bien qu'il n'y était pas à cette fête). Je comprenais alors que même avant de mourir, il voulait faire du mal, du genre " Ah! Tu voulais me tuer, bah tiens, j'efface tout ce que tu as fait !"
Je suis téléportée dans ma chambre. Il y a une femme sur une estrade qui parle avec un groupe d'individus installés en cercle sur des poteaux dont je fais partie. A l'intérieur de ce cercle, il y a de l'eau. Le but étant de survivre aux défis qu'elle nous lancera. Pour nous aider, on peut acheter un maillot. Une femme lui en achète un et la dame lui remet un maillot mais également un chèque d'une valeur de cent mille euros. Je ris alors. Face à ma réaction, elle me lance que je suis jalouse car j'aurai bien voulu avoir son chèque. Je lui dis alors qu'il est inutile d'acheter quoique ce soit, et que son chèque ne vaut rien étant donné qu'il n'y a pas d'issue à ce jeu et que l'on va tous mourir. La femme sur l'estrade confirme alors malgré l'espoir des personnes. La femme ayant reçu le chèque fait diversion ce qui fait que toutes les personnes sont sorties de ma chambre. Elle court vers la fenêtre et se fait poursuivre par une femme blonde. Elle l'ouvre et saute alors. A ce moment-là , il s'agit de moi. Je tends alors le chèque à la femme blonde, la narguant avec, le retirant à chaque fois qu'elle tend sa main. Finalement, je la laisse l'attraper. A ce moment-là , je ne suis plus la femme qui tend le chèque, je regarde juste la scène. La femme blonde réussi à attraper le chèque et sort de ma chambre. La femme qui avait tendu le chèque rit sachant que le chèque qu'elle avait donné était un faux (en effet, elle l'avait photocopié). Elle rejoint le trottoir et ri aux éclats pensant être tirée d'affaire. Malheureusement pour elle, une voiture vint à passer à ses cotés et les personnes s'y trouvant (deux femmes et deux hommes cagoulés) lui tirèrent dessus à la kalachnikov. Ma tante sortie d'une maison pour venir me rejoindre en souriant.
Le rêve s'arrête ici.
Le rêve est assez long (comme d'habitude) mais j'ai rajouté les détails autour de l'élément central, étant le meurtre de mon père.
Merci à celles et ceux qui m'auront lu et pourront m'éclairer sur ce passage.
• Pluton_Nium •