Un guet apens dans un bar, en pleine nuit.
Publié : 15 janv. 2017, 02:27
Bonjour,
Je suis dans un endroit qui semble être un repaire fréquenté par des hommes d'origine maghrébine. Ces personnes là étaient censées protéger, cacher le groupe d'hommes avec qui je me trouvais. Le bar est vide, je revois ses vieilles tables, ses vieilles banquettes, éclairé par les lampadaires oranges de la rue. Il fait nuit, aucune lumière à l'intérieur de l'établissement. Une ambiance humide, comme par un temps pluvieux.
Aucun maghrébin n'est présent, nous sommes victimes d'une embuscade pour être tués. Dans mon rêve, je n'ai vu personne agir "concrètement" mais je suis consciente de ce qu'il se passe et des actions de chacun. Les membres de mon groupe (qui semble être une mafia) sont partis du bar en courant afin d'aller affronter un autre groupe de mafieux, celui dont nous nous cachons. Je sais qu'il se passe une bagarre, une fusillade quelque part, je sais que nous avons été trahis par les maghrébins.
à€ un moment, et à ce moment seul, je vois un homme: le seul personnage que j'ai pu "voir" de tout mon rêve. C'est un homme d'origine africaine à la peau couleur "café au lait" (métissé, sûrement). Il est habillé d'un beau costume trois pièces beige foncé, d'une chemise blanche, d'un chapeau. Il est le seul a avoir échappé à l'embuscade et il s'échappe par une fenêtre du bar qui est en hauteur, sur un étage, situé sur ma gauche. Il a un regard effrayé, étonné de ne pas s'être fait attraper. Je revois encore le blanc de ses yeux écarquillés briller dans la pénombre du bar. Nous ne parlons pas, échangeons un simple regard.
Comme lui, je m'échappe aussi par la fenêtre, et je me retrouve dans le coin d'une rue, face à cet immeuble où se trouve le bar. Je suis seule dehors, je relève les yeux et je vois les grandes fenêtres rectangulaires, celles à travers lesquelles passaient la lumière orangée dans la première scène de mon rêve. Je sais que mon petit-ami (avec lequel je partage actuellement ma vie) fait partie de ce rêve - même si je ne l'ai pas concrètement vu - et que je suis très inquiète pour lui. Il est parti affronter un clan adverse. Je sais qu'il est vêtu d'un costume trois pièces bleu foncé, rayé, et d'un chapeau, comme dans les années 1900.
à€ cet instant, je ressens beaucoup de tristesse, d'inquiétude et de peur. Mais surtout beaucoup de fierté, de courage, d'amour et de dignité pour les hommes partis se battre.
Et là se termine mon rêve. Comme à la fin d'un film, une voix féminine parle, se présente telle qu'elle: "Voilà , c'est moi. Je m'appelle Lila Moreira et je suis morte en 1925 à l'âge de 26 ans. C'est comme ça que je suis morte". Je précise que je suis la seule femme présente dans mon propre rêve, et que j'ai vu avec mes yeux. Je ne me suis pas vue en action.
Je me suis réveillée paisiblement sans aucun stress, aucune crainte. Il était 5 heures 12 du matin.
Je remercie d'avance la personne qui prendra le temps de lire mon rêve, et de l'interpréter par la suite.
Je suis dans un endroit qui semble être un repaire fréquenté par des hommes d'origine maghrébine. Ces personnes là étaient censées protéger, cacher le groupe d'hommes avec qui je me trouvais. Le bar est vide, je revois ses vieilles tables, ses vieilles banquettes, éclairé par les lampadaires oranges de la rue. Il fait nuit, aucune lumière à l'intérieur de l'établissement. Une ambiance humide, comme par un temps pluvieux.
Aucun maghrébin n'est présent, nous sommes victimes d'une embuscade pour être tués. Dans mon rêve, je n'ai vu personne agir "concrètement" mais je suis consciente de ce qu'il se passe et des actions de chacun. Les membres de mon groupe (qui semble être une mafia) sont partis du bar en courant afin d'aller affronter un autre groupe de mafieux, celui dont nous nous cachons. Je sais qu'il se passe une bagarre, une fusillade quelque part, je sais que nous avons été trahis par les maghrébins.
à€ un moment, et à ce moment seul, je vois un homme: le seul personnage que j'ai pu "voir" de tout mon rêve. C'est un homme d'origine africaine à la peau couleur "café au lait" (métissé, sûrement). Il est habillé d'un beau costume trois pièces beige foncé, d'une chemise blanche, d'un chapeau. Il est le seul a avoir échappé à l'embuscade et il s'échappe par une fenêtre du bar qui est en hauteur, sur un étage, situé sur ma gauche. Il a un regard effrayé, étonné de ne pas s'être fait attraper. Je revois encore le blanc de ses yeux écarquillés briller dans la pénombre du bar. Nous ne parlons pas, échangeons un simple regard.
Comme lui, je m'échappe aussi par la fenêtre, et je me retrouve dans le coin d'une rue, face à cet immeuble où se trouve le bar. Je suis seule dehors, je relève les yeux et je vois les grandes fenêtres rectangulaires, celles à travers lesquelles passaient la lumière orangée dans la première scène de mon rêve. Je sais que mon petit-ami (avec lequel je partage actuellement ma vie) fait partie de ce rêve - même si je ne l'ai pas concrètement vu - et que je suis très inquiète pour lui. Il est parti affronter un clan adverse. Je sais qu'il est vêtu d'un costume trois pièces bleu foncé, rayé, et d'un chapeau, comme dans les années 1900.
à€ cet instant, je ressens beaucoup de tristesse, d'inquiétude et de peur. Mais surtout beaucoup de fierté, de courage, d'amour et de dignité pour les hommes partis se battre.
Et là se termine mon rêve. Comme à la fin d'un film, une voix féminine parle, se présente telle qu'elle: "Voilà , c'est moi. Je m'appelle Lila Moreira et je suis morte en 1925 à l'âge de 26 ans. C'est comme ça que je suis morte". Je précise que je suis la seule femme présente dans mon propre rêve, et que j'ai vu avec mes yeux. Je ne me suis pas vue en action.
Je me suis réveillée paisiblement sans aucun stress, aucune crainte. Il était 5 heures 12 du matin.
Je remercie d'avance la personne qui prendra le temps de lire mon rêve, et de l'interpréter par la suite.