Flirt - Alcoolisme - Torture animale.
Publié : 06 oct. 2017, 23:26
Bonjour/Bonsoir à toute et à tous !
Cela fait un moment que je n'ai pas posté mes rêves car je les poste ailleurs désormais dans un recueil de rêves.
Cependant, en ce moment, je dors bien grâce à une activité physique que je fais quotidiennement. J'ai donc retrouvé le sommeil. Je dors tôt (21h30 voire 23h00 mais plus à 02h00 voire 04h00 du matin) et bien. Néanmoins, je fais des cauchemars en ce moment et je n'arrive pas à les interpréter. Le plus récurrent étant la mort de mes Axolotls : écrasés, coupés, déchiquetés, mangés, décapités, etc. Bref. Peut-être que je m'inquiète pour la santé de deux d'entre eux qui deviennent fragiles en ce moment mais je suis certaine que cela concerne également un autre sujet mais je ne sais lequel... Bref.
Aujourd'hui, je vous poste mon rêve du 04/10/17 afin d'avoir des explications sur la partie de la torture du chien. Pour le reste, je pense avoir l'explication mais je poste la totalité car cela concerne un seul et même rêve même si je suis parfois téléportée.
Je suis dans une école. La sonnerie retentit et les élèves remplissent rapidement les couloirs de l'établissement. Je descends les escaliers pour rejoindre l'entrée et je croise par la même occasion un collègue qui attend ses élèves à l'entrée de sa classe. Il me regarde, des sentiments partagés se développent entre nous.
J'arrive au rez-de-chaussée. Il s'agit d'une gare sombre avec une petite locomotive. Un homme penche sa tête depuis la tête de la locomotive et me demande de le rejoindre. Je le reconnais, c'est mon collègue de l'étage supérieur que j'ai rencontré dans le couloir. Je suis contente qu'il m'invite.
Pour le rejoindre, je dois passer sous le wagon rattaché à la locomotive. Je m'y glisse donc dessous et je rampe sur le dos en m'accrochant aux éléments que je rencontre sous le wagon pour avancer vers la tête de la locomotive. Je vois un engrenage. Les poulies tournent, ce qui prouve que la locomotive est en marche mais n'avance pas. J'ai peur que mes cheveux se prennent dedans. Je me dépêche.
J'entre dans un passage rectangulaire et j'apparais derrière un bar. Mon collègue est content de me voir. J'ai un décolleté et je ne me gêne pas pour lui mettre sous le nez pour voir sa réaction. Il est comme les autres...
Un autre homme est présent. Son ami. Ils sont tous les deux à l'avant de la locomotive et mon collègue commence à conduire. A ce moment-là , il s'agit d'un bus. Je prépare pendant ce temps des cocktails au bar. Je ne connais pas les recettes alors je cherche une carte présentant les ingrédients de chaque cocktail. J'en trouve une mais je leur apporte finalement deux verres de bière souples. J'ai peur que la bière déborde alors je bois un coup dans chaque verrArrivé près d'eux, je recrache ce que j'ai bu dans une corbeille.
- Je suis désolée, c'est parce que je n'aime pas la bière. Je devais le faire car les verres allaient déborder.
Ils m'ont dévisagée. Que des buveux... Pathétique.
Je suis téléportée devant une maison - ressemblant plutôt à un mobile-home blanc - avec ma mère, ma soeur et mon frère. La porte est ouverte et il y a une mère de famille qui doit avoir la quarantaine. Elle est brune, a de l'embonpoint et est petite comme si son corps était tassé, vêtue d'un T-shirt rose laissant apparaître sa bedaine. Elle se trouve derrière son fils, âgé d'une trentaine d'année, blond aux yeux bleus, habillé d'une chemise à carreaux bleue et tenant son Jack Russell noir et blanc par la peau du cou sur le pas de la porte. D'ailleurs, il tient le chiend de la main droite et la porte de la main gauche tout en nous fixant.
Ma mère discute avec la mère qui attend derrière son fils. Elle a terminé sa conversation. J'ai l'impression qu'elle lui a reprochée quelque chose et qu'elle a eu gain de cause alors on s'en va avec fierté. En partant, je murmure quelque chose mais assez fort pour que le jeune homme m'entende.
- Pose ton chien au sol sale mescou*lles de terroriste de m*rde.
Je remarque qu'il m'a entendue. Il m'appelle. Je me retourne vers lui et il lâche fermement le chien de la hauteur à laquelle il le tenait. Je suis choquée.
- Sale fils de p*te và .
Il reprend le chien par le cou et le jette près de moi. Devant la souffrance de l'animal, je suis furieuse. Je me précipite vers l'individu et entre dans sa maison. Il se recule mais je constate que seule sa mère appréhende la situation. En effet, il a l'air de la maîtriser contrairement à sa mère.
- Tu es dans ma demeure et je ne t'y ai pas invitée.
Il s'empare de son revolver et me vise avec.
- Si je veux, je peux te tuer.
Il a raison mais je ne veux pas me laisser faire et je veux défendre le chien. Au moment où je sens qu'il va quand même me tuer sans raison, je pose rapidement ma main sur le revolver et tiens le bout de son arme puis la retourne contre lui. Il pince ses lèvres et ouvre de grands yeux avant de tirer un coup. Il se tue du coup.
- Quel con.
[Fin].
Je vous remercie d'avance pour les explications que vous pourrez me fournir.
Je vous souhaite une excellente journée/soirée.
[Pn].
Cela fait un moment que je n'ai pas posté mes rêves car je les poste ailleurs désormais dans un recueil de rêves.
Cependant, en ce moment, je dors bien grâce à une activité physique que je fais quotidiennement. J'ai donc retrouvé le sommeil. Je dors tôt (21h30 voire 23h00 mais plus à 02h00 voire 04h00 du matin) et bien. Néanmoins, je fais des cauchemars en ce moment et je n'arrive pas à les interpréter. Le plus récurrent étant la mort de mes Axolotls : écrasés, coupés, déchiquetés, mangés, décapités, etc. Bref. Peut-être que je m'inquiète pour la santé de deux d'entre eux qui deviennent fragiles en ce moment mais je suis certaine que cela concerne également un autre sujet mais je ne sais lequel... Bref.
Aujourd'hui, je vous poste mon rêve du 04/10/17 afin d'avoir des explications sur la partie de la torture du chien. Pour le reste, je pense avoir l'explication mais je poste la totalité car cela concerne un seul et même rêve même si je suis parfois téléportée.
Je suis dans une école. La sonnerie retentit et les élèves remplissent rapidement les couloirs de l'établissement. Je descends les escaliers pour rejoindre l'entrée et je croise par la même occasion un collègue qui attend ses élèves à l'entrée de sa classe. Il me regarde, des sentiments partagés se développent entre nous.
J'arrive au rez-de-chaussée. Il s'agit d'une gare sombre avec une petite locomotive. Un homme penche sa tête depuis la tête de la locomotive et me demande de le rejoindre. Je le reconnais, c'est mon collègue de l'étage supérieur que j'ai rencontré dans le couloir. Je suis contente qu'il m'invite.
Pour le rejoindre, je dois passer sous le wagon rattaché à la locomotive. Je m'y glisse donc dessous et je rampe sur le dos en m'accrochant aux éléments que je rencontre sous le wagon pour avancer vers la tête de la locomotive. Je vois un engrenage. Les poulies tournent, ce qui prouve que la locomotive est en marche mais n'avance pas. J'ai peur que mes cheveux se prennent dedans. Je me dépêche.
J'entre dans un passage rectangulaire et j'apparais derrière un bar. Mon collègue est content de me voir. J'ai un décolleté et je ne me gêne pas pour lui mettre sous le nez pour voir sa réaction. Il est comme les autres...
Un autre homme est présent. Son ami. Ils sont tous les deux à l'avant de la locomotive et mon collègue commence à conduire. A ce moment-là , il s'agit d'un bus. Je prépare pendant ce temps des cocktails au bar. Je ne connais pas les recettes alors je cherche une carte présentant les ingrédients de chaque cocktail. J'en trouve une mais je leur apporte finalement deux verres de bière souples. J'ai peur que la bière déborde alors je bois un coup dans chaque verrArrivé près d'eux, je recrache ce que j'ai bu dans une corbeille.
- Je suis désolée, c'est parce que je n'aime pas la bière. Je devais le faire car les verres allaient déborder.
Ils m'ont dévisagée. Que des buveux... Pathétique.
Je suis téléportée devant une maison - ressemblant plutôt à un mobile-home blanc - avec ma mère, ma soeur et mon frère. La porte est ouverte et il y a une mère de famille qui doit avoir la quarantaine. Elle est brune, a de l'embonpoint et est petite comme si son corps était tassé, vêtue d'un T-shirt rose laissant apparaître sa bedaine. Elle se trouve derrière son fils, âgé d'une trentaine d'année, blond aux yeux bleus, habillé d'une chemise à carreaux bleue et tenant son Jack Russell noir et blanc par la peau du cou sur le pas de la porte. D'ailleurs, il tient le chiend de la main droite et la porte de la main gauche tout en nous fixant.
Ma mère discute avec la mère qui attend derrière son fils. Elle a terminé sa conversation. J'ai l'impression qu'elle lui a reprochée quelque chose et qu'elle a eu gain de cause alors on s'en va avec fierté. En partant, je murmure quelque chose mais assez fort pour que le jeune homme m'entende.
- Pose ton chien au sol sale mescou*lles de terroriste de m*rde.
Je remarque qu'il m'a entendue. Il m'appelle. Je me retourne vers lui et il lâche fermement le chien de la hauteur à laquelle il le tenait. Je suis choquée.
- Sale fils de p*te và .
Il reprend le chien par le cou et le jette près de moi. Devant la souffrance de l'animal, je suis furieuse. Je me précipite vers l'individu et entre dans sa maison. Il se recule mais je constate que seule sa mère appréhende la situation. En effet, il a l'air de la maîtriser contrairement à sa mère.
- Tu es dans ma demeure et je ne t'y ai pas invitée.
Il s'empare de son revolver et me vise avec.
- Si je veux, je peux te tuer.
Il a raison mais je ne veux pas me laisser faire et je veux défendre le chien. Au moment où je sens qu'il va quand même me tuer sans raison, je pose rapidement ma main sur le revolver et tiens le bout de son arme puis la retourne contre lui. Il pince ses lèvres et ouvre de grands yeux avant de tirer un coup. Il se tue du coup.
- Quel con.
[Fin].
Je vous remercie d'avance pour les explications que vous pourrez me fournir.
Je vous souhaite une excellente journée/soirée.
[Pn].