La balade a cheval (FALBALA bienvenue :))
Publié : 23 oct. 2017, 13:52
Bonjour,
Voici un reve intense fait cette nuit qui m'a fait du bien.
Mais juste avant ce reve j'ai fait le reve suivant que je resume brievement car ils s'articulent l'un l'autre:
Il y avait une sorte de preparation a un voyage, puis le voyage en tant que tel, avec mes parents (en vrai je suis adulte et ne vis plus avec eux depuis longtemps mais la dans le reve je crois que j'etais adolescente).
Tout etait un peu complique et il y avait trop de monde, notamment des jeunes envahissants, de plus cela se passait beaucoup en interieur, ajoutant a l'impression d'etouffement, mais le stress etait malgre tout relatif. L' environnement etait toujours assez sombre et pluvieux par contre.
Apres je les quitte pour rejoindre mon fiance et la commence mon reve en question (ou je suis adulte comme maintenant):
Je suis alors plongee dans un environnement tres lumineux.
Sur un tres petit parking de centre-ville, je me retrouve dans un camion blanc immacule, a l'arret, avec mon fiance au volant. Nous sommes gares juste devant un petit trottoir soutenant des petits batiments adorables aux toits blancs, un peu en pagode.
Tout est tres clair et lumineux. Nous sommes en pays etranger, comme une petite ville d'été/balneaire charmante des USA ou d'une ile exotique americanisee.
Mon fiance est en attente de livrer quelque chose avec son camion, c'est son metier (en vrai, pas du tout !).
Comme on ne sait pas combien de temps ca va prendre mais que ca va etre long, j'annonce que je vais partir faire une balade en attendant.
Il me demande de lui rapporter un coca.
Comme je sais que je devrais parler en anglais je repete « One coke » plusieurs fois.
Il me dit qu'il me donne les dollars pour aller lui acheter, et me donne un ticket blanc avec marque dessus en gros le chiffre 1, et plein d'autres petites mentions illisibles plus bas.
Je sors du camion et me retrouve a cheval (en vrai, je faisais de l'equitation il y a plus de 15 ans), a avancer tout droit dans une jolie rue du centre-ville pleine de monde et de petits batiments adorables (magasins, habitations, probablement etc).
C'est decidement charmant.
Arrives au bout de la rue, se presente l'embouchure de la mer (environ 30 metres de largeur) avec Londres de l'autre cote.
Mais l'esthetique du Londres que je vois est certainement differente de la vraie. L'embouchure se traverse a pied/a cheval (pas de bateau) mais je ne me souviens pas de la traversee.
Je me retrouve donc de l'autre cote et la, la ville est plus «urbaine» que l'autre.
Je me rejouis de decouvrir Londres pour la premiere fois (en vrai c'est pas une ville qui m'attire pourtant).
Je marche encore a cheval sur des trottoirs et longe des hotels de luxe, croise des portiers, et entre au fur et a mesure dans une ville qui se presente de plus en plus haute et sombre, un peu comme dans Harry Potter. C'est beau et impressionnant mais je n'ai pas peur.
La route se met a monter et tourner et on se retrouve (avec mon cheval) dans un passage recouvert. Il y a un petit parking avec quelques jolis voitures et mini bus de chaque cote, a l'arret mais qui ont tous les phares allumes. Comme il fait tres sombre, ca donne une ambiance mysterieuse un peu.
J'ai l'impression d'avoir vu cet endroit a la TV (???) et me dit « Ah on doit etre au niveau de la gare de la ville la ! » et je regarde un peu mieux l'un des batiments imposant et ancien qui me semble bien une gare.
En meme temps que j'avance, je suis preoccupee par l'argent que j'ai ou n'ai pas, pour acheter le coca de mon fiance.
Je me dis que le ticket est bien etrange pour payer et puis seulement 1 de valeur, ce ne sera pas suffisant.
Je fouille dans mes poches et trouve quelques centimes d'euros et une piece de 1 ou 2 euros. Mais je me dis que ca ne sera toujours pas suffisant et qu'elles ne seront pas acceptees en pays etranger !
Avec mon cheval nous debouchons sur une rue qui monte tres fort en virage et mene a une partie de la ville tres haute.
Je me dis que nous risquons de faire beaucoup d'efforts pour rien et perdre notre temps si au final je ne peux pas acheter le coca.
Il vaut mieux que nous retournions sur nos pas et allions recuperer du vrai argent au camion.
Je nous fais donc faire faire demi-tour et en chemin, mon cheval fait caca. Je le vois a notre ombre chinoise et je le sens a la contraction de son corps sous mes fesses. Donc je me releve un peu pour le soulager. J'ai un peu peur d'avoir des remarques des passants mais je me rends compte que c'est naturel et accepte.
Nous arrivons de nouveau a l'embouchure de la mer en sens inverse et il y a comme un orage qui semble se lever sur nos derniers pas avant d'y venir. J'adore, ca me galvanise.
Il y a des gens qui sont en train de traverser la mer/l'embouchure. Sur la bande de sable sur laquelle nous sommes avant de traverser, il y a une bande de beton pas large, a contourner ou par-dessus laquelle sauter. Comme il y a pas mal de gens sur notre chemin a ce niveau la, qui sont a l'arret et discutent, je ne sais pas trop par ou/ comment passer.
Je laisse donc les renes au cheval pour qu'il decide, car c'est lui qui sait ou ce sera le mieux de poser ses pieds.
Je n'en ai pas encore parle mais nous avons comme une grande complicite le cheval et moi. Mon cheval est grand, beau, robuste et nous nous comprenons naturellement. Il est une personne. Il a un fort caractere mais est pondéré, sage, et sa grande confiance en lui me donne totale confiance en lui également. Je me sens en totale securite avec lui et c'est comme si tout etait "naturel".
Donc je lui laisse les renes et il commence a vouloir passer par un cote mais les gens genent. Il se retracte, se tourne un peu et prend son elan pour nous faire sauter l'obstacle (qui est tres bas par ailleurs) et je me rejouis du galop que nous faisons alors sur le sable.
Vient le moment de traverser l'eau, et je regarde en meme temps en face quelle rue il nous faudra prendre pour revenir jusqu'au camion, car il y a sur la rive- promontoire en face, plusieurs routes alignees et bordees de maisons qui sont differentes mais se ressemblent quand meme pas mal.
De laquelle venions-nous au depart, lorsque nous avions pris notre route ? Je me creuse la cervelle tout en traversant la mer dont je me rassure qu'elle soit peu profonde.
Arrives en face, je nous fais passer devant chaque rue possible en reflechissant toujours a laquelle prendre pour retrouver mon point de depart avec mon fiance dans son camion. Mais je ne me souviens pas. Toutes les rues sont mignonnes a l'esthetique britannique/nord de la France (et non plus station balneaire americaine), sous un soleil mouille d'une pluie qui viendrait de tomber, mais je ne sais pas laquelle prendre.
Je me dis qu'il va falloir repartir sur la rive d'en face de nouveau, pour que j'ai une vision d'ensemble plus large et plus claire de toutes les rues.
Pouf, demi-tour sur l'autre rive, il fait de nouveau bien beau. Mais en regardant en face de loin toutes les rues possibles, je ne sais toujours pas laquelle prendre au final pour revenir au point de depart.
J'ai resserre les renes dans mes mains entre temps pour faire aller le cheval ou je voulais, mais il s'enerve et secoue la tete.
Je comprends qu'il faut que je lui lache les renes, ce que je fais.
Il nous emmene alors a l'arriere d'où nous sommes (donc on s'eloigne de la rive, de l'embouchure), jusqu'a une petite impasse avec des petites maisons mitoyennes absolument craquantes.
Nous sommes au grillage du jardin de celle qui fait l'angle et dans le jardin s'ebattent 3 ou 4 petits chiens de compagnie absolument adorables qui, en nous voyant, s'avancent vers nous, toujours en faisant les fous. Il y a un cavalier king charles et aussi un bichon bolonais ou shi-tzu et une ou deux autres races dont je ne me souviens plus mais qui etaient de petits chiens de compagnie.
Face a ce spectacle qui m'emerveille, je me rends compte tres clairement que « C'est cette vie la que je veux».
Une vie simple et joyeuse avec une petite maison, un petit jardin, et des petits chiens adorables.
Quand ils viennent vers nous, je redoute la reaction de mon cheval et resserre donc les renes pour l'empecher d'etre brutal avec eux a travers le grillage. Mais la encore il s'agace en secouant la tete et je decide de voir, plutôt que de stresser directement. Je lache donc les renes et je fais bien, car il est tout a fait calme et gentil et les renifle tandis qu'ils s'agitent joyeusement autour de son museau.
Sortant de la maison, arrive dans le jardin un jeune homme d'une vingtaine d'annees, delicat, menu a l'allure classique/ un peu vieille France qui vient voir/recuperer les chiens avec un grand sourire. Il est tres avenant et nous parle. Il est tres agreable et apaisant.
Je comprends qu'il s'occupe des chiens de manière professionnelle. Il les garde pour d'autres personnes. Il les toilette aussi, car lorsqu'il prend un petit chien tout noir a poils longs et passe son doigt sur sa truffe, il s'exclame a la vue de son doigt devenu noir, quelque chose comme « Ah voila je ne t'avais pas encore toilette toi ! Il faut qu'on s'en occupe ! »
Il continue de nous parler a mon cheval et a moi, mais je me reveille peu a peu...
Merci d'avance de votre interpretation.
Voici un reve intense fait cette nuit qui m'a fait du bien.
Mais juste avant ce reve j'ai fait le reve suivant que je resume brievement car ils s'articulent l'un l'autre:
Il y avait une sorte de preparation a un voyage, puis le voyage en tant que tel, avec mes parents (en vrai je suis adulte et ne vis plus avec eux depuis longtemps mais la dans le reve je crois que j'etais adolescente).
Tout etait un peu complique et il y avait trop de monde, notamment des jeunes envahissants, de plus cela se passait beaucoup en interieur, ajoutant a l'impression d'etouffement, mais le stress etait malgre tout relatif. L' environnement etait toujours assez sombre et pluvieux par contre.
Apres je les quitte pour rejoindre mon fiance et la commence mon reve en question (ou je suis adulte comme maintenant):
Je suis alors plongee dans un environnement tres lumineux.
Sur un tres petit parking de centre-ville, je me retrouve dans un camion blanc immacule, a l'arret, avec mon fiance au volant. Nous sommes gares juste devant un petit trottoir soutenant des petits batiments adorables aux toits blancs, un peu en pagode.
Tout est tres clair et lumineux. Nous sommes en pays etranger, comme une petite ville d'été/balneaire charmante des USA ou d'une ile exotique americanisee.
Mon fiance est en attente de livrer quelque chose avec son camion, c'est son metier (en vrai, pas du tout !).
Comme on ne sait pas combien de temps ca va prendre mais que ca va etre long, j'annonce que je vais partir faire une balade en attendant.
Il me demande de lui rapporter un coca.
Comme je sais que je devrais parler en anglais je repete « One coke » plusieurs fois.
Il me dit qu'il me donne les dollars pour aller lui acheter, et me donne un ticket blanc avec marque dessus en gros le chiffre 1, et plein d'autres petites mentions illisibles plus bas.
Je sors du camion et me retrouve a cheval (en vrai, je faisais de l'equitation il y a plus de 15 ans), a avancer tout droit dans une jolie rue du centre-ville pleine de monde et de petits batiments adorables (magasins, habitations, probablement etc).
C'est decidement charmant.
Arrives au bout de la rue, se presente l'embouchure de la mer (environ 30 metres de largeur) avec Londres de l'autre cote.
Mais l'esthetique du Londres que je vois est certainement differente de la vraie. L'embouchure se traverse a pied/a cheval (pas de bateau) mais je ne me souviens pas de la traversee.
Je me retrouve donc de l'autre cote et la, la ville est plus «urbaine» que l'autre.
Je me rejouis de decouvrir Londres pour la premiere fois (en vrai c'est pas une ville qui m'attire pourtant).
Je marche encore a cheval sur des trottoirs et longe des hotels de luxe, croise des portiers, et entre au fur et a mesure dans une ville qui se presente de plus en plus haute et sombre, un peu comme dans Harry Potter. C'est beau et impressionnant mais je n'ai pas peur.
La route se met a monter et tourner et on se retrouve (avec mon cheval) dans un passage recouvert. Il y a un petit parking avec quelques jolis voitures et mini bus de chaque cote, a l'arret mais qui ont tous les phares allumes. Comme il fait tres sombre, ca donne une ambiance mysterieuse un peu.
J'ai l'impression d'avoir vu cet endroit a la TV (???) et me dit « Ah on doit etre au niveau de la gare de la ville la ! » et je regarde un peu mieux l'un des batiments imposant et ancien qui me semble bien une gare.
En meme temps que j'avance, je suis preoccupee par l'argent que j'ai ou n'ai pas, pour acheter le coca de mon fiance.
Je me dis que le ticket est bien etrange pour payer et puis seulement 1 de valeur, ce ne sera pas suffisant.
Je fouille dans mes poches et trouve quelques centimes d'euros et une piece de 1 ou 2 euros. Mais je me dis que ca ne sera toujours pas suffisant et qu'elles ne seront pas acceptees en pays etranger !
Avec mon cheval nous debouchons sur une rue qui monte tres fort en virage et mene a une partie de la ville tres haute.
Je me dis que nous risquons de faire beaucoup d'efforts pour rien et perdre notre temps si au final je ne peux pas acheter le coca.
Il vaut mieux que nous retournions sur nos pas et allions recuperer du vrai argent au camion.
Je nous fais donc faire faire demi-tour et en chemin, mon cheval fait caca. Je le vois a notre ombre chinoise et je le sens a la contraction de son corps sous mes fesses. Donc je me releve un peu pour le soulager. J'ai un peu peur d'avoir des remarques des passants mais je me rends compte que c'est naturel et accepte.
Nous arrivons de nouveau a l'embouchure de la mer en sens inverse et il y a comme un orage qui semble se lever sur nos derniers pas avant d'y venir. J'adore, ca me galvanise.
Il y a des gens qui sont en train de traverser la mer/l'embouchure. Sur la bande de sable sur laquelle nous sommes avant de traverser, il y a une bande de beton pas large, a contourner ou par-dessus laquelle sauter. Comme il y a pas mal de gens sur notre chemin a ce niveau la, qui sont a l'arret et discutent, je ne sais pas trop par ou/ comment passer.
Je laisse donc les renes au cheval pour qu'il decide, car c'est lui qui sait ou ce sera le mieux de poser ses pieds.
Je n'en ai pas encore parle mais nous avons comme une grande complicite le cheval et moi. Mon cheval est grand, beau, robuste et nous nous comprenons naturellement. Il est une personne. Il a un fort caractere mais est pondéré, sage, et sa grande confiance en lui me donne totale confiance en lui également. Je me sens en totale securite avec lui et c'est comme si tout etait "naturel".
Donc je lui laisse les renes et il commence a vouloir passer par un cote mais les gens genent. Il se retracte, se tourne un peu et prend son elan pour nous faire sauter l'obstacle (qui est tres bas par ailleurs) et je me rejouis du galop que nous faisons alors sur le sable.
Vient le moment de traverser l'eau, et je regarde en meme temps en face quelle rue il nous faudra prendre pour revenir jusqu'au camion, car il y a sur la rive- promontoire en face, plusieurs routes alignees et bordees de maisons qui sont differentes mais se ressemblent quand meme pas mal.
De laquelle venions-nous au depart, lorsque nous avions pris notre route ? Je me creuse la cervelle tout en traversant la mer dont je me rassure qu'elle soit peu profonde.
Arrives en face, je nous fais passer devant chaque rue possible en reflechissant toujours a laquelle prendre pour retrouver mon point de depart avec mon fiance dans son camion. Mais je ne me souviens pas. Toutes les rues sont mignonnes a l'esthetique britannique/nord de la France (et non plus station balneaire americaine), sous un soleil mouille d'une pluie qui viendrait de tomber, mais je ne sais pas laquelle prendre.
Je me dis qu'il va falloir repartir sur la rive d'en face de nouveau, pour que j'ai une vision d'ensemble plus large et plus claire de toutes les rues.
Pouf, demi-tour sur l'autre rive, il fait de nouveau bien beau. Mais en regardant en face de loin toutes les rues possibles, je ne sais toujours pas laquelle prendre au final pour revenir au point de depart.
J'ai resserre les renes dans mes mains entre temps pour faire aller le cheval ou je voulais, mais il s'enerve et secoue la tete.
Je comprends qu'il faut que je lui lache les renes, ce que je fais.
Il nous emmene alors a l'arriere d'où nous sommes (donc on s'eloigne de la rive, de l'embouchure), jusqu'a une petite impasse avec des petites maisons mitoyennes absolument craquantes.
Nous sommes au grillage du jardin de celle qui fait l'angle et dans le jardin s'ebattent 3 ou 4 petits chiens de compagnie absolument adorables qui, en nous voyant, s'avancent vers nous, toujours en faisant les fous. Il y a un cavalier king charles et aussi un bichon bolonais ou shi-tzu et une ou deux autres races dont je ne me souviens plus mais qui etaient de petits chiens de compagnie.
Face a ce spectacle qui m'emerveille, je me rends compte tres clairement que « C'est cette vie la que je veux».
Une vie simple et joyeuse avec une petite maison, un petit jardin, et des petits chiens adorables.
Quand ils viennent vers nous, je redoute la reaction de mon cheval et resserre donc les renes pour l'empecher d'etre brutal avec eux a travers le grillage. Mais la encore il s'agace en secouant la tete et je decide de voir, plutôt que de stresser directement. Je lache donc les renes et je fais bien, car il est tout a fait calme et gentil et les renifle tandis qu'ils s'agitent joyeusement autour de son museau.
Sortant de la maison, arrive dans le jardin un jeune homme d'une vingtaine d'annees, delicat, menu a l'allure classique/ un peu vieille France qui vient voir/recuperer les chiens avec un grand sourire. Il est tres avenant et nous parle. Il est tres agreable et apaisant.
Je comprends qu'il s'occupe des chiens de manière professionnelle. Il les garde pour d'autres personnes. Il les toilette aussi, car lorsqu'il prend un petit chien tout noir a poils longs et passe son doigt sur sa truffe, il s'exclame a la vue de son doigt devenu noir, quelque chose comme « Ah voila je ne t'avais pas encore toilette toi ! Il faut qu'on s'en occupe ! »
Il continue de nous parler a mon cheval et a moi, mais je me reveille peu a peu...
Merci d'avance de votre interpretation.