Attaque de zombies et glace
Publié : 18 déc. 2017, 05:31
Bonjour bonsoir bonne nuit
Je viens de faire un rêve que j'ai dû mal à interpréter. A savoir que je suis une sorte de semi lucide : je ne peux pas traverser les murs mais je sais que je rêve et je contrôle mes actions totalement. Je peux aussi décider de me réveiller.
Je ne me souviens pas bien du début. Je suis au rez de chaussé de chez mes grands parents ( ils ne parlent plus a mes parents mais je les vois et je ne suis pas en colère contre eux) ( le rez-de-chaussée souvent considéré comme le sous-sol car semi enterré froid et sans jamais personne.) ( c'était avec mon frère quelque chose que l'on aimait pas vraiment étant petit ) d'ailleurs il est là mon grand frère ( je n'ai qu'un grand frère avec très peu d'écart ) je ne me souviens que de la grand mère dans mon rêve. Il fait nuit noir.
Mon frère regarde son téléphone et annonce qu'il y aura un attaque de zombie dans peu de temps ( une épidémie il dit) . Ma grand mère propose de partir directement pour un endroit que je connais dans mon rêve mais pas dans la vrai vie, c'est un vieux bâtiment en pierre assez claire voir beige avec des trous aux fenêtre porte un immense vis à vis... Pas idéal pour une attaque de zombies. Mon frère argumente sur l'idée d'aller dans un endroit isolé ou au contraire en ville. J'y réfléchis également pendant que nous cherchons de quoi nous défendre un minimum. La campagne offre la possibilité de ne croise aucun zombie mais très peu d'aide en cas d'attaque. La ville peut nous submerger mais offre beaucoup d'aide. Au final je pense que je ne discute plus mais pense seule. Je choisi la ville .Et alors que la meilleure arme présente a la maison est un couteau de cuisine je sors un katana ( très longue et fine épée japonaises ici très longue est servie plutôt comme un pique) je ne me souviens pas de comment je suis arrivé ni pourquoi je suis avec des amis et pas ma famille ( des amis dont je ne connais pas leurs visage qui ne me sont pas particulièrement proche mais j'ai le sentiment que l'on s'entend bien que l'on se fait confiance. ) il fait jour comme en pleine après-midi. Nous arrivons directement dans la rue la plus commerciale de ma ville ( je lemprunte tout les jours et je m'y sens bien j'aime cette rue et ce quartier en pierre claire historique ).
Tout le monde se prépare, panique. Pas moi ni mes amies. Nous prenons des décisions très simplement et rationnellement. L'une d'entre elles nous sort une clé de sa poche et ouvre la porte d'un magasin de bijouterie ( devant lequel je passe tout les jours) elle nous explique en deux mots quelle a travailler ici. Nous entrons et fermons ( aucune animosité envers les autres qui panique dehord il s'agit d'un autre monde sur lequel nous ne pouvons agir nous sommes en décalage d'eux ) nous savons que nous avons encore du temps avant qu'il n'arrive et que nous n'aurons peut être même pas a ce battre. Mes amies descendent les volets en fer. La boutique qui était très claire et lumineuse dû au fait qu'il s'agissait principalement de fenêtre assombrit un peu mais je ne sais d'où vient la lumière qui me permet de si bien voir. Les filles cherche dans la caisse les registres quelque chose ( je ne me rappelle plus quoi) je suis dos au seul mur de cette pièce qui n'est pas une fenêtre. Je les regarde faire de loin, fixe surtout la porte et les gens qui panique dehors me semble bien loin de moi. C'est un décor qui bouge anarchiquement tout seul. J'evalue nos chances, nos moyens de défenses s'ils entrent. Je ne panique pas. Je m'angoisse pas étrangement. Je n'entends pas la cohue dehors. Je la vois mais ny prête pas d'attention. C'est calme et silencieux dans la boutique . Mes amis qui cherchait toute ensembles râlent parce que l'une d'entre elles n'arrive pas à écrire correctement. Je m'approche et propose mon aide. J'essaie d'écrire sur les documents. J'écris mal ce n'est pas beau. J'essaie d'écrire penché, de tourner un peu la feuille. Rien n'y fait c'est un brouillon ( je précise que j'arrive à lire les premier mots ( bonsoir madame ) ). Je sors ( de je ne sais d'où ) un cahier petit format que j'ai souvent ( dans la vraie vie ) avec moi. Ça va beaucoup mieux et je fais la réfection a voix haute qu'avec ce support connu ça va beaucoup mieux.
Nous savons que les zombies arrivent. Les stores finissent de se baisser. Nous sommes toutes dans un coin de la pièce. Je sais qu'elle nous pas d'armes car je n'en ai pas vu mais je sais qu'elles sauront se défendre et que si ce n'est pas le cas j'interviendrai. Nous les entendons passer. Nous ne faisons pas un bruit. Il doit rester moins de vingt centimètre entre le sol et led volets qui descendent . Nous baissons la tête pour ne pas qu'il identifie un visage humain. Dans ma tête nous ne ferons que patienter que la tempêtes passe. Mais au cas où ça tourne mal nous sommes toutes accroupi dans un coin de la pièce. La ce ne sont que trois autres moi, même posture même que de cheval, même arme. Je suis dans le fond a droite. Nous regardons le sol. Il ne sont pas pas entrer. Le relève la tête quand je n'entend plus rien. L'amie qui était devant moi a gelé ( on ne distingue plus qu'une vague formé engloutie de neige avec des stalactiques ) elles est plus proche. Des escaliers en colimaçon qui amène a l'étage supérieur très lumineux ( qu'il n'y avait pas avant ) sont derrière moi. Je me souviens avoir penser " si on te coince dans un coin, échappe toi par le toit " je décide de partir calmement mais je reste devant les reste de mon amie et avant de faire demi tour je me réveille.
Au final j'ai stressé bien plus chez mes grands parents que lors du vrai dangers.et la surcharge émotionnelle forte a été quand mon amie était gelé juste devant moi. C'est pour ça que j'ai décidé de me réveiller à cet instant.
Merci d'être parti e au bout de cette lecteur et merci d'avance pour votre aide
Je viens de faire un rêve que j'ai dû mal à interpréter. A savoir que je suis une sorte de semi lucide : je ne peux pas traverser les murs mais je sais que je rêve et je contrôle mes actions totalement. Je peux aussi décider de me réveiller.
Je ne me souviens pas bien du début. Je suis au rez de chaussé de chez mes grands parents ( ils ne parlent plus a mes parents mais je les vois et je ne suis pas en colère contre eux) ( le rez-de-chaussée souvent considéré comme le sous-sol car semi enterré froid et sans jamais personne.) ( c'était avec mon frère quelque chose que l'on aimait pas vraiment étant petit ) d'ailleurs il est là mon grand frère ( je n'ai qu'un grand frère avec très peu d'écart ) je ne me souviens que de la grand mère dans mon rêve. Il fait nuit noir.
Mon frère regarde son téléphone et annonce qu'il y aura un attaque de zombie dans peu de temps ( une épidémie il dit) . Ma grand mère propose de partir directement pour un endroit que je connais dans mon rêve mais pas dans la vrai vie, c'est un vieux bâtiment en pierre assez claire voir beige avec des trous aux fenêtre porte un immense vis à vis... Pas idéal pour une attaque de zombies. Mon frère argumente sur l'idée d'aller dans un endroit isolé ou au contraire en ville. J'y réfléchis également pendant que nous cherchons de quoi nous défendre un minimum. La campagne offre la possibilité de ne croise aucun zombie mais très peu d'aide en cas d'attaque. La ville peut nous submerger mais offre beaucoup d'aide. Au final je pense que je ne discute plus mais pense seule. Je choisi la ville .Et alors que la meilleure arme présente a la maison est un couteau de cuisine je sors un katana ( très longue et fine épée japonaises ici très longue est servie plutôt comme un pique) je ne me souviens pas de comment je suis arrivé ni pourquoi je suis avec des amis et pas ma famille ( des amis dont je ne connais pas leurs visage qui ne me sont pas particulièrement proche mais j'ai le sentiment que l'on s'entend bien que l'on se fait confiance. ) il fait jour comme en pleine après-midi. Nous arrivons directement dans la rue la plus commerciale de ma ville ( je lemprunte tout les jours et je m'y sens bien j'aime cette rue et ce quartier en pierre claire historique ).
Tout le monde se prépare, panique. Pas moi ni mes amies. Nous prenons des décisions très simplement et rationnellement. L'une d'entre elles nous sort une clé de sa poche et ouvre la porte d'un magasin de bijouterie ( devant lequel je passe tout les jours) elle nous explique en deux mots quelle a travailler ici. Nous entrons et fermons ( aucune animosité envers les autres qui panique dehord il s'agit d'un autre monde sur lequel nous ne pouvons agir nous sommes en décalage d'eux ) nous savons que nous avons encore du temps avant qu'il n'arrive et que nous n'aurons peut être même pas a ce battre. Mes amies descendent les volets en fer. La boutique qui était très claire et lumineuse dû au fait qu'il s'agissait principalement de fenêtre assombrit un peu mais je ne sais d'où vient la lumière qui me permet de si bien voir. Les filles cherche dans la caisse les registres quelque chose ( je ne me rappelle plus quoi) je suis dos au seul mur de cette pièce qui n'est pas une fenêtre. Je les regarde faire de loin, fixe surtout la porte et les gens qui panique dehors me semble bien loin de moi. C'est un décor qui bouge anarchiquement tout seul. J'evalue nos chances, nos moyens de défenses s'ils entrent. Je ne panique pas. Je m'angoisse pas étrangement. Je n'entends pas la cohue dehors. Je la vois mais ny prête pas d'attention. C'est calme et silencieux dans la boutique . Mes amis qui cherchait toute ensembles râlent parce que l'une d'entre elles n'arrive pas à écrire correctement. Je m'approche et propose mon aide. J'essaie d'écrire sur les documents. J'écris mal ce n'est pas beau. J'essaie d'écrire penché, de tourner un peu la feuille. Rien n'y fait c'est un brouillon ( je précise que j'arrive à lire les premier mots ( bonsoir madame ) ). Je sors ( de je ne sais d'où ) un cahier petit format que j'ai souvent ( dans la vraie vie ) avec moi. Ça va beaucoup mieux et je fais la réfection a voix haute qu'avec ce support connu ça va beaucoup mieux.
Nous savons que les zombies arrivent. Les stores finissent de se baisser. Nous sommes toutes dans un coin de la pièce. Je sais qu'elle nous pas d'armes car je n'en ai pas vu mais je sais qu'elles sauront se défendre et que si ce n'est pas le cas j'interviendrai. Nous les entendons passer. Nous ne faisons pas un bruit. Il doit rester moins de vingt centimètre entre le sol et led volets qui descendent . Nous baissons la tête pour ne pas qu'il identifie un visage humain. Dans ma tête nous ne ferons que patienter que la tempêtes passe. Mais au cas où ça tourne mal nous sommes toutes accroupi dans un coin de la pièce. La ce ne sont que trois autres moi, même posture même que de cheval, même arme. Je suis dans le fond a droite. Nous regardons le sol. Il ne sont pas pas entrer. Le relève la tête quand je n'entend plus rien. L'amie qui était devant moi a gelé ( on ne distingue plus qu'une vague formé engloutie de neige avec des stalactiques ) elles est plus proche. Des escaliers en colimaçon qui amène a l'étage supérieur très lumineux ( qu'il n'y avait pas avant ) sont derrière moi. Je me souviens avoir penser " si on te coince dans un coin, échappe toi par le toit " je décide de partir calmement mais je reste devant les reste de mon amie et avant de faire demi tour je me réveille.
Au final j'ai stressé bien plus chez mes grands parents que lors du vrai dangers.et la surcharge émotionnelle forte a été quand mon amie était gelé juste devant moi. C'est pour ça que j'ai décidé de me réveiller à cet instant.
Merci d'être parti e au bout de cette lecteur et merci d'avance pour votre aide