EDICULES ET RELIQUAIRES DANS LES CHAMPS
Publié : 31 août 2018, 10:18
Bonjour,
j'ai besoin de votre aide pour un rêve bizarre, qui était bien long, le voici :
J'étais dans un très grand champ, un pré énorme, constitué de différents champs (comme un patchwork des champs quand on regarde la Terre de l'avion), chacun avec une plante différente. J'y étais avec ma mère, a priori c'était notre propriété mais je le découvrais.
La terre était un peu vallonnée, les herbes moyennement hautes, comme en été avant la récolte, tout était très très vert et abondant, très ensoleillé, avec un petit vent - une journée idyllique. J'étais très contente d'y être.
Devant moi, les plantes étaient vertes (ces champs verts était presque pas vallonnés) et il y avait comme un bosquet avec quelques arbres, mais un peu espacés entre eux, on voyait à travers. Derrière moi, les champs étaient de couleur du blé doré, ils étaient plus vallonnés et en légère pente descendante, avec moi sur la partie haute et le bas de la pente loin devant. Les plantes étaient aussi abondantes d'un côté que de l'autre.
A un moment, ma mère est rentrée quelque part (je ne sais pas où, parce que je ne voyais aucun bâtiment), en tout cas elle s'est absentée. J'ai pris un tuyau d'arrosage et j'ai commencé à arroser ces plantes, au début devant moi (les champs verts), puis je me suis retournée pour arroser derrière moi (les blés dorés).
L'eau qui sortait du tuyau était très claire, avec un jet fort et régulier. Le tuyau était simple, droit, noir (nous avons un tuyau comme ça), il était extrêmement long, plusieurs centaines de mètres. Sa longueur permettait d'arroser la totalité de cet énorme pré, sauf un angle totalement au fond des champs de blé, tout en bas de la pente, qui était constitué de quelques carrés beaucoup plus petits que les autres champs et ces carrés étaient couverts de petites fleurs plantées de façon très dense, comme un tapis de fleurs, je crois qu'elles étaient dans les tons mauves. Malgré le manque d'arrosage, les fleurs étaient abondantes aussi.
En m'approchant des champs de blé (j'étais encore en haut de la pente, avec les champs verts juste derrière moi), j'ai réalisé qu'il y avait un tout petit édicule au centre de chaque champ, quelques mètres carrées à peine. Je suis entrée dans le premier édicule, en laissant le tuyau dehors, il continuait à arroser les blés. Dans l'édicule, dont l'intérieur était assez ombragé, comme des vieilles maisons abandonnées et renfermées depuis longtemps, il y avait seulement un meuble au centre. C'était comme une grande boîte ou caisse verticale, ou un petit meuble secrétaire, couvert d'un vieux tissu d'ameublement abîmé sur les bords, de couleur vieux jaune doré, qui protégeait la boîte de la poussière. Posé au-dessus, il y avait un objet en porcelaine blanche et bleue, pour la déco (un petit vase, peut-être). J'ai soulevé un bord du tissu, j'ai mis ma main dans la boîte en passant par dessous et j'ai sorti du centre de la boîte un objet cylindrique en vieux métal, laiton a priori, c'était comme un reliquaire. Dedans, il y avait des restes d'une ancienne bougie, j'ai sortie la cire restante avec la mèche, pour le nettoyer, et j'ai reposé l'objet à l'intérieur de la boîte, à sa place. J'ai remis le tissu et je suis sortie. Je ne pense pas avoir apporté la cire avec moi.
J'ai fait pareil dans 2-3 autres édicules, sur les autres champs de blé, tous les édicules étaient aménagés de manière identique, mais la forme de la boîte, de l'objet en porcelaine et de l'objet en laiton dans la boîte était différente à chaque fois. Je me dépêchais pour enlever la cire dans un nombre d'édicules le plus grand possible avant que ma mère ne revienne, je ne voulais pas la perturber.
Dans le dernier édicule où j'ai pu aller, l'objet posé sur la boîte était un grand plateau rectangulaire en porcelaine blanche épaisse, avec des compartiments en relief, comme pour servir de cendrier ou de grand vide-poche. Il était posé à la verticale sur la boîte, en format paysage, comme un tableau et non couché. Dessus, il avait des dessins en bleu comme dans d'autres édicules, mais cette fois il y avait aussi des images et du texte. Le texte était écrit en noir, manuscrit, je ne sais pas ce que ça disait. Les images étaient celles d'un ancien président de la république et sa femme, j'ai compris que c'était le cadeau de l'état offert pour leur mariage. Je l'ai regardé avec intérêt, pendant plusieurs minutes je l'étudiais dans le détail comme le tableau dans un musée, puis je suis sortie en me disant que ma mère devait être là et elle sera affolée de ne pas me trouver.
Merci d'avance de vos explications !
j'ai besoin de votre aide pour un rêve bizarre, qui était bien long, le voici :
J'étais dans un très grand champ, un pré énorme, constitué de différents champs (comme un patchwork des champs quand on regarde la Terre de l'avion), chacun avec une plante différente. J'y étais avec ma mère, a priori c'était notre propriété mais je le découvrais.
La terre était un peu vallonnée, les herbes moyennement hautes, comme en été avant la récolte, tout était très très vert et abondant, très ensoleillé, avec un petit vent - une journée idyllique. J'étais très contente d'y être.
Devant moi, les plantes étaient vertes (ces champs verts était presque pas vallonnés) et il y avait comme un bosquet avec quelques arbres, mais un peu espacés entre eux, on voyait à travers. Derrière moi, les champs étaient de couleur du blé doré, ils étaient plus vallonnés et en légère pente descendante, avec moi sur la partie haute et le bas de la pente loin devant. Les plantes étaient aussi abondantes d'un côté que de l'autre.
A un moment, ma mère est rentrée quelque part (je ne sais pas où, parce que je ne voyais aucun bâtiment), en tout cas elle s'est absentée. J'ai pris un tuyau d'arrosage et j'ai commencé à arroser ces plantes, au début devant moi (les champs verts), puis je me suis retournée pour arroser derrière moi (les blés dorés).
L'eau qui sortait du tuyau était très claire, avec un jet fort et régulier. Le tuyau était simple, droit, noir (nous avons un tuyau comme ça), il était extrêmement long, plusieurs centaines de mètres. Sa longueur permettait d'arroser la totalité de cet énorme pré, sauf un angle totalement au fond des champs de blé, tout en bas de la pente, qui était constitué de quelques carrés beaucoup plus petits que les autres champs et ces carrés étaient couverts de petites fleurs plantées de façon très dense, comme un tapis de fleurs, je crois qu'elles étaient dans les tons mauves. Malgré le manque d'arrosage, les fleurs étaient abondantes aussi.
En m'approchant des champs de blé (j'étais encore en haut de la pente, avec les champs verts juste derrière moi), j'ai réalisé qu'il y avait un tout petit édicule au centre de chaque champ, quelques mètres carrées à peine. Je suis entrée dans le premier édicule, en laissant le tuyau dehors, il continuait à arroser les blés. Dans l'édicule, dont l'intérieur était assez ombragé, comme des vieilles maisons abandonnées et renfermées depuis longtemps, il y avait seulement un meuble au centre. C'était comme une grande boîte ou caisse verticale, ou un petit meuble secrétaire, couvert d'un vieux tissu d'ameublement abîmé sur les bords, de couleur vieux jaune doré, qui protégeait la boîte de la poussière. Posé au-dessus, il y avait un objet en porcelaine blanche et bleue, pour la déco (un petit vase, peut-être). J'ai soulevé un bord du tissu, j'ai mis ma main dans la boîte en passant par dessous et j'ai sorti du centre de la boîte un objet cylindrique en vieux métal, laiton a priori, c'était comme un reliquaire. Dedans, il y avait des restes d'une ancienne bougie, j'ai sortie la cire restante avec la mèche, pour le nettoyer, et j'ai reposé l'objet à l'intérieur de la boîte, à sa place. J'ai remis le tissu et je suis sortie. Je ne pense pas avoir apporté la cire avec moi.
J'ai fait pareil dans 2-3 autres édicules, sur les autres champs de blé, tous les édicules étaient aménagés de manière identique, mais la forme de la boîte, de l'objet en porcelaine et de l'objet en laiton dans la boîte était différente à chaque fois. Je me dépêchais pour enlever la cire dans un nombre d'édicules le plus grand possible avant que ma mère ne revienne, je ne voulais pas la perturber.
Dans le dernier édicule où j'ai pu aller, l'objet posé sur la boîte était un grand plateau rectangulaire en porcelaine blanche épaisse, avec des compartiments en relief, comme pour servir de cendrier ou de grand vide-poche. Il était posé à la verticale sur la boîte, en format paysage, comme un tableau et non couché. Dessus, il avait des dessins en bleu comme dans d'autres édicules, mais cette fois il y avait aussi des images et du texte. Le texte était écrit en noir, manuscrit, je ne sais pas ce que ça disait. Les images étaient celles d'un ancien président de la république et sa femme, j'ai compris que c'était le cadeau de l'état offert pour leur mariage. Je l'ai regardé avec intérêt, pendant plusieurs minutes je l'étudiais dans le détail comme le tableau dans un musée, puis je suis sortie en me disant que ma mère devait être là et elle sera affolée de ne pas me trouver.
Merci d'avance de vos explications !