Ma mère me poursuit et veut me tuer.
Publié : 27 oct. 2018, 07:59
Ce rêve peut être une réalité. Ma mère, Complexée, n'accepte que ses enfants allant dans son sens. Dimanche dernier elle m'a poursuivi pour essayer de me gifler, ou si elle a quelque chose dans les mains, elle me le balance à la figure.
Dans ce rêve je suis calme. J'ai dû dire quelque chose qui ne lui a pas plu. Elle me poursuit avec clous, mèche de visseuse électrique, marteau,... comme une folle échappée d'un hôpital psychiatrique. Ma mère veut me tuer. Je me trouve arrivée dans une grande salle de bain avec au dessus, deux petite trappes. Une fois dans la pièce je ferme la porte à clé. Je regarde les trappes voir si je peux passer. Rien pour monter. Dans ma tête « c'est une grande pièce qui sert à rien ». « Je fais comment? » me disais-je. Le temps de me demander ça, je vois la mèche de la visseuse traverser la porte, qui s'entrouvre. La folle furieuse a réussi. Je bloque la porte avec toute la force que je peux. Mais sa folie lui donne une puissance.. elle ouvre en criant et se pointe devant moi rouge de rage en hurlant. La ma tenant les outils est en l'air, prête à faire cette action tant rêvée par leur patronne. à€ ce moment là je continue de rester calme, et réussi à la calmer avec mes mots.
Je sors de la pièce, et me trouve dans une grande salle à manger avec un fou (qui a l'air d'etre Un violeur.) un fou poursuivant des filles pour les insulter les rabaisser, pour les violer ensuite. Ma mère, calmée, m'a rejoint dans la pièce, assise sur un meuble en hauteur, regardant bêtement la scène. Il veut d'abord ma mère, moins active plus près de lui et plus facile d'acces. Une table marron foncé était au milieu. Le violeur était coté longueur, ma mère, devant lui côté largeur.
Un homme dont je sentais, raisonnait comme moi, qui déteste ces hommes machos qui ne respecte pas les femmes. La différence est que cet homme gentil avait la possibilité et la force nécessaire d'achever son adversaire. C'est ce qu'il fit avec le violeur, aplati contre le mur, à présent inanimé. Comme si nous étions en complice , j'je le vois satisfait de son travail et moi aussi. Nous nous regardons sourire complices, tape dans les mains, nous nous sentons comme les plus forts.
Je me disais « un de moins »... mais au fond il reste ma mère.
Dans le rêve je suis angoissée, et je me réveille angoissée, et 1h après, je le suis encore.
Dans ce rêve je suis calme. J'ai dû dire quelque chose qui ne lui a pas plu. Elle me poursuit avec clous, mèche de visseuse électrique, marteau,... comme une folle échappée d'un hôpital psychiatrique. Ma mère veut me tuer. Je me trouve arrivée dans une grande salle de bain avec au dessus, deux petite trappes. Une fois dans la pièce je ferme la porte à clé. Je regarde les trappes voir si je peux passer. Rien pour monter. Dans ma tête « c'est une grande pièce qui sert à rien ». « Je fais comment? » me disais-je. Le temps de me demander ça, je vois la mèche de la visseuse traverser la porte, qui s'entrouvre. La folle furieuse a réussi. Je bloque la porte avec toute la force que je peux. Mais sa folie lui donne une puissance.. elle ouvre en criant et se pointe devant moi rouge de rage en hurlant. La ma tenant les outils est en l'air, prête à faire cette action tant rêvée par leur patronne. à€ ce moment là je continue de rester calme, et réussi à la calmer avec mes mots.
Je sors de la pièce, et me trouve dans une grande salle à manger avec un fou (qui a l'air d'etre Un violeur.) un fou poursuivant des filles pour les insulter les rabaisser, pour les violer ensuite. Ma mère, calmée, m'a rejoint dans la pièce, assise sur un meuble en hauteur, regardant bêtement la scène. Il veut d'abord ma mère, moins active plus près de lui et plus facile d'acces. Une table marron foncé était au milieu. Le violeur était coté longueur, ma mère, devant lui côté largeur.
Un homme dont je sentais, raisonnait comme moi, qui déteste ces hommes machos qui ne respecte pas les femmes. La différence est que cet homme gentil avait la possibilité et la force nécessaire d'achever son adversaire. C'est ce qu'il fit avec le violeur, aplati contre le mur, à présent inanimé. Comme si nous étions en complice , j'je le vois satisfait de son travail et moi aussi. Nous nous regardons sourire complices, tape dans les mains, nous nous sentons comme les plus forts.
Je me disais « un de moins »... mais au fond il reste ma mère.
Dans le rêve je suis angoissée, et je me réveille angoissée, et 1h après, je le suis encore.