Exécution...
Publié : 26 juin 2007, 11:20
Je vais le dire clairement : moi et le surnaturel, ça fait plutôt deux... Néanmoins, je suis ici, aujourd'hui parce que je suis perdu.
Voilà trois nuits que, dans mon sommeil, je me fais exécuter.
J'ai une bonne mémoire des rêves, pourtant je n'arrive à me souvenir que des derniers instants. Habituellement mes rêves sont plutôt étranges, décousus, sans consistance. Là , c'est trop clair pour moi...
Tout ce dont je me souviens, c'est de ceci :
- J'entre avec un homme en uniforme brun dans une petite pièce. Blanche immaculée, haute de plafond. Il y a juste assez de place pour moi et lui. Je sens l'instant fatidique arriver, néanmoins, je reste là paisiblement et avec consentiment.
- Nous échangeons quelques mots étrangement amicaux. Je ne comprends pas grand chose, les mots résonnent dans ma tête. Il m'annonce que je dois mourrir et j'acquiesce.
- En fin de compte, les traits de l'homme se durcissent, il dégaine et tire. Je m'écroule et agonise un instant. Au réveil, le trajet de la balle sur la peau est douloureux, l'instant semble trop réel par rapport aux autres rêves que j'ai pu faire.
Il y a eu trois nuits, et trois fins différentes :
- La première nuit, c'est rapide et sans bavure, je n'ai pas senti grand chose.
- La seconde, la balle a dû rater sa cible, et je me suis vidé rapidement de mon sang par la blessure.
- Troisième nuit, qui me pousse à écrire : la balle ricoche et ressort par la tempe droite. Je me vide lentement de mon sang et souffre énormément. Il est à signaler que ce soir-là , j'ai survécu au tir et ai pu voir les dégâts : mineurs. Entrée à la base du front, près des yeux, sortie juste au-dessus du sourcil, par la tempe, par un petit orrifice.
Je me demande franchement d'où je peux sortir ça. On m'a dit que rêver d'un bourreau serait l'avertissement d'une maladie. Et que survivre signifierait un rétablissement. mais je n'ai encore rien fait...
Voilà trois nuits que, dans mon sommeil, je me fais exécuter.
J'ai une bonne mémoire des rêves, pourtant je n'arrive à me souvenir que des derniers instants. Habituellement mes rêves sont plutôt étranges, décousus, sans consistance. Là , c'est trop clair pour moi...
Tout ce dont je me souviens, c'est de ceci :
- J'entre avec un homme en uniforme brun dans une petite pièce. Blanche immaculée, haute de plafond. Il y a juste assez de place pour moi et lui. Je sens l'instant fatidique arriver, néanmoins, je reste là paisiblement et avec consentiment.
- Nous échangeons quelques mots étrangement amicaux. Je ne comprends pas grand chose, les mots résonnent dans ma tête. Il m'annonce que je dois mourrir et j'acquiesce.
- En fin de compte, les traits de l'homme se durcissent, il dégaine et tire. Je m'écroule et agonise un instant. Au réveil, le trajet de la balle sur la peau est douloureux, l'instant semble trop réel par rapport aux autres rêves que j'ai pu faire.
Il y a eu trois nuits, et trois fins différentes :
- La première nuit, c'est rapide et sans bavure, je n'ai pas senti grand chose.
- La seconde, la balle a dû rater sa cible, et je me suis vidé rapidement de mon sang par la blessure.
- Troisième nuit, qui me pousse à écrire : la balle ricoche et ressort par la tempe droite. Je me vide lentement de mon sang et souffre énormément. Il est à signaler que ce soir-là , j'ai survécu au tir et ai pu voir les dégâts : mineurs. Entrée à la base du front, près des yeux, sortie juste au-dessus du sourcil, par la tempe, par un petit orrifice.
Je me demande franchement d'où je peux sortir ça. On m'a dit que rêver d'un bourreau serait l'avertissement d'une maladie. Et que survivre signifierait un rétablissement. mais je n'ai encore rien fait...