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rêve très angoissant

Publié : 23 déc. 2007, 14:01
par raquella
J'ai fait un rêve très étrange et très angoissant cette nuit. J'avais passé la nuit dans la rue de la maison de mes parents. J'ai rêvé que je rêvais de l'homme dont je suis amoureuse pendant que je dormais dehors. C'était très érotique et je crois avoir eu un orgasme (même en vrai). Je me réveille, je prends mes affaires et vais à  la maison de mes parents. Dans mon rêve, ça fait longtemps que je n'y ai pas mis les pieds. Il fait beau et chaud, les voisins sont dehors. J'aperçois ma nouvelle petite sœur, âgée de 2 ou 3 ans, Anna. Elle n'existe pas en vrai. J'ai une amie dont la fille de 2 ans s'appelle Anna, je ne sais pas si ça a un lien. Elle rentre aussi à  la maison. Au moment de franchir la porte, elle se fait électrocuter. Là , mon voisin me demande des excuses. Je suis paniquée, je décide d'appeler le SAMU. Mon père me dit qu'elle est morte. Je pousse un cri terrible, je veux quand même appeler le SAMU, je veux quand même croire qu'elle va s'en sortir. Je vais dans le jardin avec le téléphone, j'y trouve des papiers et des stylos dans l'herbe. Puis des gens inconnus viennent me chercher, ils me ramènent dans le salon et pointent un flingue sur moi. Ma petite sœur Anna est visiblement rétablie et en pleine forme. Dans le salon je crois qu'il y a encore mon père, ma vraie sœur dans la vie, et d'autres gens, mais je ne me souviens que d'eux. Je suis vraiment paniquée. Les gens qui me menacent me posent une série de questions sur le service public de l'emploi je crois. Ça a peut-être un lien avec les entretiens que je passe en ce moment dans la vie réelle. Je réponds bien aux questions, alors on me libère. Puis ma mère descend et nous rejoint dans le salon. Je suis prise de panique à  l'idée qu'ils vont lui faire subir la même chose qu'à  moi. Je me dis qu'elle ne va supporter le choc. Ils (ou plutôt elles, il me semble qu'il n'y a que des femmes parmi les agresseurs) pointent leur arme sur elle et lui demandent de se mettre à  genoux, comme à  moi. Au début, elle plaisante, elle dit « kill me ». Alors je crie : « maman, ne plaisante pas !! » et les agresseuses se font en effet plus menaçantes. Puis elle répond parfaitement à  toutes les questions et il la lâche. Je me dis que je n'aurais pas supporté de voir ma petite sœur (réelle) subir cela, « heureusement », j'étais dans le jardin à  ce moment là . Ensuite, ma mère semble sympathiser avec les agresseuses, elles discutent de choses et d'autres et semblent s'accorder sur bien des points. Elle n'a pas l'air traumatisée alors que je le suis réellement. Une des agresseuse est blonde et elle a les yeux très maquillés. Les agresseuses ont l'intention de partir pour le Brésil le lendemain et ma mère doit y aller aussi, elles décident de partir ensemble. Ensuite on sort de la maison, du côté jardin. Le jardin donne sur la rue alors que ce n'est pas le cas en vrai. Il y a ma chienne que j'ai perdue il y a quelques années et une autre chienne qui lui ressemble, qui serait sa fille et qui s'appelle Lulla. Puis on rejoint ma grand-mère qui est morte il a 5 ans. Elle semble aussi connaître les agresseuses. D'après ce que je comprends, elles sont membres d'une ONG qui se bat pour sauver les poissons du Brésil, pour qu'on arrête de les exporter aux pays riches. On passe par une rivière dans laquelle il y a plein de poissons. Ils plongent et ils meurent. Bientôt il n'y a plus de terre ferme, il n'y a que de l'eau. Les poissons me font peur. Ma grand-mère me tient par le bras et j'arrive à  flotter dans l'air. J'ai envie de lui dire que j'ai été traumatisée par l'agression, que ce ne sont pas des méthodes, qu'on ne peut pas tuer tous les gens qui ne sont pas d'accord avec nous. Je parle bas parce que j'ai peur que les agresseuses m'entendent. Elle ne semble pas m'entendre. On se sépare au métro, je suis alors avec une copine. Je lui parle de ce que je ressens. Un jeune homme nous entend. Il veut apprendre à  me connaître. Je lui explique qu'après ce qu'il s'est passé, j'ai peur des gens. Je veux bien quand même lui laisser mon numéro. Il regarde dans son portable, il me dit qu'il n'y a qu'un nom dans ses contacts : Phénomène ou Phéromone, je sais plus. Et il se jette sur les rails. Je crie. Il remonte sur le quai. Je lui dis : non décidément, je ne pourrai pas sortir avec toi ! ». Il faut dire que dans la vie réelle, c'est un peu ma hantise que des gens se jettent sur les rails devant moi, quand j'attends le métro. Alors il se rejette sur les rails. Des jeunes garçons qui l'accompagnaient, d'une quinzaine d'années, se jettent aussi. Et le métro roule sur eux. Je me réveille à  ce moment là .