J'aimerais essayer de l'interpréter grace à ce forum!
Je desend du bus devant chez ma mamie et je décide de passer goutter chez elle comme je le fait de temps en temps. J'entre et je l'appelle mais il n'y a personne. La porte au fond du hall d'entrée d'habitude fermée à clef est entrouverte. Je me dirige vers la porte et entre dans un lieu qui me rappelle à la fois une chambre d'hopital et une chambre froide, avec une dizaine de lit alignés où gisent de grands sacs de la taille d'un homme.
A l'intérieur, je peux le voir malgré l'épaisseur du plastique, il y a des êtres humains, vivant je les voit respirer mais leurs peau semble rouges et brulée. Je suis terrifiée, pas par la présence de ses corps qui de toutes évidences souffrent et ne feront pas de mal, mais par le fait qu'ils se trouvent chez ma mamie. Je recommence à l'appeler et j'entend des rales dans une autre pièce que je n'avais jamais vu, où se tient ma mère, une main devant la bouche, les larmes aux yeux, devant le corps d'un homme brulé vif, à peine reconnaissable mais toujours en vie. Mam mamie arrive alors avec des gens semblables à des infirmiers et semble s'occuper du blessé. M a mère m'explique que je n'aurais pas du voir ça et m'emmène dans une autre pièce où elle clarifie la situation. Elle me dévoile qu'elle vient de l'apprendre aussi, ma mamie tient un hopital secret où elle s'occupe de graves brulés condamnés que l'état refuse de prendre en charge à cause de leur couts. Elle ne s'occupe que des cas désespéré et rend leur derniers jours plus "agréables".
Je sors, choquée mais fière de ma grand mère. Là , je vois une moto entrer dans la cour à toute vitesse, le conducteur me voit, s'arrête, enlève son masque et révèle un visage squelettique avec des cicatrices immondes, ses yeux sont vitreux et boursouflés et il n'a plus de peau autour de la bouche, il ne dit rien mais sort une mitraillette de sa sacoche et me tire dessus. J'arrive je ne sais comment sur le balcon puis sur le toit, je cour, je regarde la cour depuis mon toit et je le vois qui crie que lui aussi avait droit à ses soins, qu'il ne comprenais pas pourquoi on ne l'avais refusé. Il me vise et je saute du toit, ce qui me réveille avec un sentiment d'aventure inachevéé.
Voila, éclairez moi s'il vous plait. Je ne me souviens pas bien de certaines scènes je ne les racontes donc pas.